Sujet :

Parutions Québec/Mai!

bambi
   Posté le 01-05-2004 à 13:10:49   

Orages sur le Nil T. 3 : Le Voleur d’éternité
Messadié, Gerald




Veuve de Tout-Ankh-Amon, la jeune princesse Ankhensep-Amon devient reine pour la seconde fois : elle épouse son propre grand-père, Aÿ. Elle a 21 ans, lui 55. L’objet de ce mariage est de préserver la dynastie. Union contre nature aux yeux de l’époque, elle l’est aussi pour la jeune reine, qui ne pardonne pas à Aÿ sa responsabilité dans les morts de ses prédécesseurs, y compris celle d’un amant qu’elle a tendrement aimé. Après tant d’années d’intrigues, Aÿ a enfin conquis l’objet suprême de ses ambitions : le trône de pharaon. Mais il se trouve d’une part en butte aux intrigues renouvelées de son rival de toujours, le général Horemheb, que soutient une grande partie de l’armée. Et, d’autre part, la dynastie royale ne compte plus aucun descendant mâle. Or, le pays le sait et s’agite. Sous le regard tourmenté d’Ankhensep-Amon, Aÿ s’efforce de pallier ces deux menaces quand l’âge l’emporte. La crise est ouverte. Horemheb, qui n’a cure de la continuité dynastique, s’empare du trône avec une brutalité inouïe. Il saccage les tombeaux royaux, prive les morts de leurs trésors et, pis encore, de leur première garantie d’éternité : leurs noms. Ankhensep-Amon écrit alors au roi hittite Souppiloulioumas l’une des lettres les plus pathétiques de l’histoire : « Ma dynastie se meurt. Envoie-moi un prince que je puisse épouser, je lui donnerai le royaume d’Égypte… »
Auteur
Romancier, historien et auteurs d’essais sur les croyances, les cultures et les religions, Gerald Messadié est né en Égypte, en 1931, où il vécut jusqu’à l’âge de 19 ans. Il a raconté le Caire de sa jeunesse et les archéologues qu’il a côtoyés, dans 25, rue Soliman Pacha (Lattès, 2001). Parmi ses oeuvres, la tétralogie « L’homme qui devint Dieu » (Robert Laffont, 1988 à 1995), mais aussi David, roi (Lattès, 1999), L’Affaire Marie-Madeleine (Lattès, 2002), et la trilogie « Jeanne de l’Estoille » (l’Archipel, 2003).



Date de parution
2004-05-01

bambi
   Posté le 13-05-2004 à 16:56:05   

Perdant, Le
Bisaillon, Martin





Historien de formation, journaliste et recherchiste, Martin Bisaillon fait partie de la nouvelle génération d’intellectuels. En s’attaquant à une fi gure aussi mythique que René Lévesque, le jeune écrivain risque gros. D’aucuns l’accuseront d’être à la solde du gouvernement fédéral, mais Bisaillon n’a rien d’un fédéraliste. Rejetant les idées reçues, il a profi té du recul historique pour analyser froidement le parcours politique de René Lévesque. Ses conclusions sont dévastatrices : celui qui a incarné l’idée de la souveraineté du Québec pendant presque trois décennies est un perdant sur toute la ligne.
L’auteur
Martin Bisaillon est titulaire d’une maîtrise en histoire. Il a été recherchiste à l’émission Zone libre et a collaboré à la série Le Canada, une histoire populaire diffusée à Radio-Canada et à la CBC.
bambi
   Posté le 13-05-2004 à 16:56:40   

Imani mon amour
Porter,Connie




Avec un réalisme sombre transcendé par la poésie de son écriture, Connie Porter dresse le portrait lumineux d’une jeune Noire américaine qui lutte pour sa survie et celle de son enfant. Un roman porté par une langue authentique, remarquable de sensibilité.
À Buffalo, ghetto de New York où les Blancs ne s’aventurent pas et où les dealers sont rois, Tasha, quinze ans, passe son temps à courir. Elle court pour être à l’heure au lycée, pour récupérer son bébé à la crèche et surtout pour ne plus penser à celui qui la violée. Mais dans un monde où règnent la violence et le chaos, l’espoir, si fort soit-il, ne suffit pas toujours à surmonter les drames…

bambi
   Posté le 13-05-2004 à 16:57:53   

L'art de vivre au Québec
Dorion, Henri




Propose de découvrir la belle Province aux quatre saisons, depuis l'été indien jusqu'à la vie souterraine à Montréal en hiver, lors de balades le long des lacs, du Saint-Laurent ou dans les îles de la Madeleine, de connaître les spécialités et l'artisanat et d'entrer dans des intérieurs québécois : maisons victoriennes ou de style colonial français, cabanes en billots de bois... Avec des adresses.

bambi
   Posté le 13-05-2004 à 16:58:27   

L'espace d'une vie
Taylor-Bradford, Barbara


bambi
   Posté le 13-05-2004 à 16:59:03   

Hell's Angel
Barger, Ralph




«Je roulais en tête de toute la bande, et je sentais qu'aucune puissance ne pourrait nous arrêter. C'était comme si j'étais devenu le chef Crazy Horse, menant la charge à la tête de centaines et de centaines de motos filant toutes à 130 à l'heure. Les gens, dans les petites villes, entendaient le grondement de nos bécanes longtemps avant de nous apercevoir [...]. Je ne possédais pas des millions de dollars, je n'étais pas non plus en couverture de Time Magazine. Mais ce que j'avais, c'était le respect. Le respect de ceux qui comptaient sur moi. Après tout, je me suis dit, j'étais Sonny Barger. J'étais un Hell's Angel.»

bambi
   Posté le 13-05-2004 à 16:59:42   

Histoire de Maîtresses
Abbott, Elizabeth




Au XVIIIe siècle, la princesse indienne Pocahontas tourne le dos aux forêts de l’Amérique du Nord pour suivre son amant anglais dans les rues de Londres. Dans la France du XVIIe siècle, Madame de Montespan ne jouit pas seulement des faveurs du Roi-Soleil, mais à titre de maîtresse royale se révèle une figure clé de Versailles. Avant d’être l’un des philosophes les plus importants du Xxe siècle, Hannah Arendt fut aussi en, son temps, la disciple et la maîtresse du philosophe Martin Heidegger. De nos jours enfin, chacun peut suivre dans les journaux la patiente conquête du cœur du prince Charles par une certaine Camilla Parker-Bowles, puissantes rivale contre laquelle même la beauté et la jeunesse d’une Lady Di n’ont pu rien faire.
Qu’ont en commun toutes ces femmes?
Elles font partie de cette catégorie qui, suivant les époques, a hanté les coulisses de l’histoire, en a récrit à sa façon le déroulement ou a fait les délices des journaux à potins. On les appelle des maîtresses, parfois des concubines. Avec fougue et conviction, Elizabeth Abbott évoque leur vie mouvementée, souvent douloureuse. Même près du pouvoir, ces femmes l’ont elles jamais détenu? Suivons-les et relisons l’histoire à travers leur regard. Cela change tout.