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| Posté le 01-07-2004 à 11:29:44
| Logiciels Pour les joueurs de loteries Pierre Boisvert - collaboration spéciale - Journal de Montréal Êtes-vous le genre de joueur de loto à prendre en note les résultats des tirages afin de les décortiquer et de faire vos mises en fonction des statistiques et des probabilités? Si c’est le cas, vous pourriez grandement vous simplifier la vie. Vous n’avez qu’à laisser travailler Loto Excel Universel, un logiciel spécialement conçu pour aider ses utilisateurs à choisir des numéros en fonction des statistiques basées sur les tirages passés. Comme tout logiciel d’aide à la sélection des chiffres, Loto Excel présente une foule d’analyses statistiques complètes et complexes. Loto Excel intègre les deux aspects des loteries à boules bonus (avec un numéro complémentaire) en analysant tous les types de combinaisons (de 2 à 6 numéros pour un jeu simple et de 7 à 10 numéros pour un jeu multiple). Il serait en fait le seul logiciel du genre à donner des comptes rendus sur des combinaisons de plus de six numéros, ce qui est un élément essentiel pour les joueurs de jeu multiple dans la détermination de leurs choix. De plus, pour tous les types de numéros, de combinaisons et même de rangs à l’intérieur d’une combinaison (par exemple, 5 numéros sur 6, 4 numéros sur 6, etc.), il est possible d’afficher presque instantanément l’historique des sorties et des écarts. Période d’analyse Les historiques sont modulables. Vous pouvez ainsi choisir une période d’analyse dans le temps. Cette analyse est accompagnée d’un résumé des statistiques propres au sujet étudié. En plus de couvrir la grande majorité des loteries jouées dans le monde, Loto Excel permet de prendre en compte ou non le numéro complémentaire pour le calcul des statistiques. Ainsi, le logiciel propose deux modes d’analyse, le mode simple et le mode complémentaire qui, comme son nom l’indique, prend en compte le numéro complémentaire. Cette fonction permet d’analyser un numéro ou une combinaison selon deux points de vue différents. Loto Excel Universel travaille à partir d’un algorithme très évolué qui est capable de distinguer les combinaisons de votre loto, c’est le TEA (Tri par Écart Avancé). Ce dernier permet de savoir, par exemple, quelles sont les combinaisons à 6 numéros (parmi des millions !) les plus à l’écart pour le rang 3 numéros sur 6. C’est un outil très performant. Il permet d’émettre des distinctions entre les différentes combinaisons du loto grâce à des résultats découlant de calculs astronomiques effectués en profondeur et avec une rapidité déconcertante. Le TEA a été mis en place dans le but de passer au peigne fin la totalité des combinaisons des différentes loteries. Les résultats obtenus sont d’autant plus intéressants qu’ils sont issus d’une recherche englobant tous les numéros et toutes les combinaisons possibles. Le logiciel dispose aussi d’un mode de consultation des gains évolué et permet une mise à jour continuelle des tirages grâce au réseau Internet. Loto Excel dispose d’un moteur de recherche de combinaisons qui s’adapte à tout type de loterie à boules. Un outil qui pourrait se révéler fort utile aux joueurs des Lotto 6/49, Québec 49, Super-7, Ontario 49, BC 49 et Western 6/49. Un logiciel d’aide à la sélection de combinaisons de loto vraiment complet… Loto Excel Universel 1.0 Nécessite : Windows 95 ou plus récent Coût : 59,50 euros pour la version Lite (environ 98 $). On peut télécharger une version d’essais limités dans ses fonctionnalités et à 30 jours sur le site : www.lotoexcel.com. Contre les moustiques C’est l’été. Comme chaque année, les moustiques se réunissent régulièrement dans votre cour pour profiter, eux aussi et à leur manière, de vos BBQ. C’est certain que ces petites bestioles seraient beaucoup plus gentilles si elles ne s’invitaient pas de la sorte pour s’abreuver de votre sang ou se nourrir de votre chair. En fouillant dans Internet, j’ai découvert un petit logiciel qui a la prétention de pouvoir éloigner ces insectes déplaisants, c’est Anti-Moustique. Comment ça fonctionne ? Et bien, le principe est simple, tout comme l’utilisation du logiciel : Anti-Moustique est un utilitaire qui sert à vous protéger des moustiques en produisant un son du domaine des ultrasons, que nous ne pouvons entendre, qui aurait la propriété d’éloigner les moustiques. Pour l’utiliser, il n’y a qu’à cliquer sur le bouton « activer » du logiciel. Il faut évidemment que des haut-parleurs soient reliés à l’ordinateur. De plus, ça ne coûte rien de l’essayer, il est distribué gratuitement dans Internet. Anti-Moustique Nécessite : Windows 98 ou plus récent Coût : gratuit sur le site http: //perso.wanadoo.fr/sylvain.souzy/ moustique/
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| Posté le 01-07-2004 à 11:30:23
| Logiciels Inspiration 7.5: quand il importe de bien structurer sa pensée Nelson Dumais - collabotation spéciale - Journal de Montréal Les psys me corrigeront, mais les humains me semblent agir essentiellement de deux façons pour pondre un document: soit qu’ils le structurent avant d’en commencer la production, soit qu’ils le fassent au fil de sa création. Dans le premier cas, ils se feront des plans ou des schémas qu’ils suivront à la lettre. Surtout s’ils ont à livrer des textes complexes, des documentaires télés ou des sites Web. Dans l’autre, ils partiront à l’aventure sur une page blanche sans avoir la moindre idée de quoi aura l’air leur produit final. Ce sera, par exemple, le cas d’un… chroniqueur informatique dont la prestation ne dépassera jamais une simple page de journal. Incroyablement facile Selon les personnalités, les deux méthodes pourront livrer des fruits de qualité, mais aussi des bides de fond de baril. La méthode ne remplacera jamais le talent, la connaissance ou l’intelligence. Il est en effet possible de posséder parfaitement un sujet et de pouvoir le jeter sur papier sans devoir utiliser des aides méthodologiques ou des logiciels d’organisation de la pensée. Reste que cette façon de procéder ouvre la porte à l’incohérence et aux oublis. D’où l’intérêt d’un logiciel comme Inspiration, un classique en son genre fabriqué depuis 22 ans aux États-Unis par Inspiration Software (www.inspiration.com). Avec une base de 10 millions d’utilisateurs (surtout dans le milieu scolaire), ce produit Mac/PC (109 $ CA) qui en est à sa version 7.5 est désormais disponible dans la langue de Félix grâce à des accords avec la firme québécoise De Marque (www.demarque.com) qui vient d’en entreprendre la commercialisation francophone. Moi, le rédacteur bordélique, je me suis servi d’Inspiration pour produire un texte pas trop jojo. Vous savez, ce genre de truc qu’on ne sait jamais par quel bout prendre. Or, j’ai bien aimé mon expérience ; en tout cas, dans l’ensemble. Sans jamais devoir lire le fichier d’aide, en furetant seulement à travers les menus du logiciel, je suis arrivé à me servir de toutes les fonctions qui pouvaient m’être utiles. Comme si j’avais toujours connu ce produit. J’avais le choix de travailler soit en mode graphique, soit en mode plan, un peu à la manière de PowerPoint. J’ai évidemment utilisé la première option, avec laquelle j’ai pu littéralement «dessiner mes idées». Une case jaune ici, des cases secondaires orange là, là et là, un deuxième point dans une case bleue plus loin, et ainsi de suite. Le tout avec les flèches tissées à volonté. J’ai même pu remplacer mes cases par des objets (clip-arts) ; Inspiration en offre une grande variété. Exportation en format HTML J’ai toutefois éprouvé des difficultés en mode plan. Disons que je n’ai pas bien compris comment je pouvais y faire respecter mes choix hiérarchiques, ceux-là mêmes que j’avais bidouillés avec mes petites cases couleur. C’est comme si les sous-points que je rajoutais à une idée déjà décortiquée, alors que j’étais en train d’en définir une nouvelle (le cerveau humain ne fonctionne jamais de façon parfaitement linéaire ; il lui arrive d’avoir des flashs), allait s’inscrire dans la nouvelle idée et non là où ils devraient être. Dingue ! Alors que tout semblait beau en mode graphique, c’était le capharnaüm en mode plan. J’ai essayé de comprendre le truc, mais n’y suis pas arrivé. Y être parvenu, j’aurais pu transférer mon document dans Word ou dans PowerPoint de Microsoft ; une fonction est effectivement prévue à cette fin. Sauf que je n’en avais rien à cirer. J’étais amplement satisfait d’avoir pu exporter mon document en format HTML et d’avoir pu ainsi le placer sur une page Web. En effet, chacune de mes idées principales comportait des hyperliens utiles. Soit dit en passant, j’ai remarqué que le code HTML généré par Inspiration était des plus propres. Cet agréable logiciel transforme le document en fichier GIF et utilise simplement une commande AREA SHAPE pour conserver bien vivants tous nos hyperliens. En un mot, Inspiration est idéal pour les remue-méninges, la ponte de concepts ou l’élaboration de documents et sait séduire par sa grande facilité. Cela, même si on est bordélique et… qu’on s’y complaise.
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| Posté le 01-07-2004 à 11:31:05
| Internet La Cour Suprême rejette la loi contre la pornographie en ligne Associated Press (AP) La Cour suprême des États-Unis a décidé de bloquer la mise en oeuvre d'une loi de 1998 destinée à protéger les enfants contre la pornographie en ligne, en invoquant la libre expression des adultes. Par 5 voix contre 4, la Cour suprême a estimé que des technologies telles que les filtres sont susceptibles de mieux protéger les enfants contre la pornographie en ligne, tout en présentant moins de risques pour le libre choix des adultes. De nombreux fournisseurs d'accès à internet ou entreprises de logiciels proposent aujourd'hui sur le marché des systèmes de filtrage qui permettent de bloquer l'accès à certaines catégories de sites internet, au choix des utilisateurs. La loi, connue sous le nom de COPA (Child online protection act, loi sur la protection des enfants sur internet) avait été signée par le président Bill Clinton en 1998 et est soutenue par l'administration Bush. Elle prévoit d'obliger les adultes à recourir à des codes d'accès ou à s'enregistrer avant de pouvoir accéder à des sites pornographiques. Les contrevenants encourent de peines de prison et des amendes pouvant atteindre 50 000 dollars. Mais la loi est contestée par de nombreuses personnes sans rapport avec la pornographie, telles que des artistes, des libraires, un sexologue en ligne ou encore une association d'information gynécologique en ligne. Et la Ligue des droits civiques (ACLU) estime qu'on risquerait avec cette loi de faire un criminel de quiconque proposerait en ligne à des adultes du matériel sexuellement explicite. Mardi, la majorité de la Cour suprême a estimé que le juge de Philadelphie qui avait initialement bloqué la mise en oeuvre de la loi, en 1998, avait eu raison d'estimer que celle-ci était inconstitutionnelle. Cinq des juges ont estimé qu'il existe «un potentiel de risque extraordinaire» pour le droit à la libre expression en si cette loi était appliquée. La Cour suprême ne déclare cependant pas définitivement inconstitutionnelle la loi. Elle renvoie l'affaire au juge de Philadelphie, ce qui permettra aussi au gouvernement de tenter de faire valoir de nouveau, au regard des technologies les plus récentes, que la loi n'est pas inconstitutionnelle. Le Congrès cherche depuis des années un moyen de protéger la jeunesse contre la pornographie en ligne, sans pour autant contrevenir au premier Amendement garantissant la libre expression. En 1996, la Cour suprême avait déjà rejeté, à l'unanimité, un premier projet de loi sur la protection de la jeunesse.
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| Posté le 01-07-2004 à 11:31:42
| Internet Les fournisseurs internet n'ont pas à écoper pour le piratage Presse Canadienne (PC) La Cour suprême du Canada décrète que les fournisseurs de services par internet n'ont pas à verser de droits aux musiciens et chanteurs victimes de piratage. La Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique échoue ainsi dans sa tentative de retirer des redevances de ces entreprises, simplement parce qu'ils fournissent la technologie permettant le téléchargement de musique.
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| Posté le 02-07-2004 à 11:06:05
| Internet Le jugement sur le piratage et la lutte à la porno infantile Presse Canadienne (PC) Les fournisseurs de service internet ont longtemps soutenu qu'ils ne sont pas responsables de ce qui transite par leurs réseaux, et la décision rendue mercredi par la Cour suprême semble renforcer leur position. Selon les observateurs, ce jugement, s'il pourrait orienter les efforts futurs pour combattre le téléchargement de fichiers musicaux, n'aura pas d'impact sur les dispositions du code criminel relatives à la pornographie juvénile, ni sur la législation qui pourrait être utilisée pour combattre la pornographie. «La loi sur le droit d'auteur diffère des lois qui s'appliquent à la pornographie juvénile, commente Richard Owens, professeur en droit à l'Université de Toronto. Ce sont des sections distinctes de la loi.» Dans leur décision, les neuf juges ont estimé que les fournisseurs de services internet n'ont pas à verser de redevances aux auteurs et compositeurs de musique téléchargée illégalement par les internautes ou diffusée en direct sur des sites internet audio, et ne sont pas liés par la loi fédérale sur le droit d'auteur. Tom Copeland, le président de l'Association canadienne des fournisseurs internet, reconnaît que le jugement n'établit aucun lien avec la question de la pornographie juvénile. Les fournisseurs ne tenteront pas non plus d'utiliser ce jugement pour contrer les efforts visant à enrayer la pornographie juvénile, a-t-il dit. Ce ne serait pas «approprié moralement», a-t-il souligné. Quant à ceux qui sont en première ligne de la bataille contre la pornographie juvénile sur internet, ils font peu de cas du jugement de la Cour suprême. «La musique n'est pas illégale, mais la pornographie juvénile l'est», souligne le détective Ian Lamond, de la section des crimes sexuels de la police de Toronto. «Le partage de fichiers musicaux est une sorte de marché semi-clandestin, alors que la pornographie juvénile est spécifiquement mentionnée comme étant une infraction au Canada.» Le gouvernement fédéral mène actuellement des consultations publiques sur les obligations des fournisseurs de service internet en ce qui a trait à la pornographie juvénile et aux autres crimes perpétrés sur internet.
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| Posté le 02-07-2004 à 16:58:41
| Microsoft poursuit son avancée dans le secteur des moteurs de recherche WASHINGTON (AFP), le 02-07-2004 Microsoft vient d'annoncer une refonte de sa page de recherche sur Internet, la première étape de l'offensive du géant américain des logiciels qui doit lui permettre de mieux concurrencer Yahoo et Google. L'actualisation de la page de recherche disponible via le site de Microsoft MSN.com marque le commencement d'un programme de développement dont le coût sera de 100 millions de dollars. Jeudi, Microsoft a également présenté une version préliminaire de son futur moteur de recherche qui doit remplacer avant la fin de l'année le système de recherche Overture de Yahoo utilisé jusqu'ici par MSN. A moyen terme, Microsoft entend directement concurrencer Google et Yahoo sur le créneau des moteurs de recherche. "C'est encore un jeune marché, qui présente de multiples occasions", a commenté Yusuf Mehdi, vice-président de Microsoft sur la chaîne CNBC. "Le marché représente aujourd'hui 3 milliards de dollars, mais doit progresser de 30 à 40% par an pendant les 5 à 8 prochaines années. Nous sommes déterminés à proposer aux 350 millions d'utilisateurs de MSN des possibilités dont ils ne disposent pas aujourd'hui sur Yahoo ou Google", a-t-il ajouté. Un récent rapport publié par Standard and Poor's relève que Google est le moteur de recherche préféré de 48% des Internautes qui ont recours à cette technologie, contre 20% pour Yahoo, 14% pour MSN et 7% pour America Online. Membre de la rédaction en chef du site Searchenginewatch.com, Danny Sullivan considère que Microsoft risque de connaître quelques difficultés pour combler son retard sur Yahoo et Google dans le domaine des moteurs de recherche. Après avoir testé la version préliminaire du nouveau moteur de recherche de Microsoft, il a estimé qu'il était "bon, mais qu'il ne remplacerait pas en l'état Google, Yahoo ou Ask Jeeves. Il va falloir qu'ils l'améliorent pendant les mois qui viennent". "Pour moi, c'est un peu du déjà vu. Il n'y a pas de différence dans le traitement des résultats par rapport aux concurrents de Microsoft qui, compte tenu de leur expérience, sont meilleurs", a-t-il poursuivi. Pour M. Sullivan, il est improbable que Microsoft parvienne un jour à dépasser ses rivaux ou même à revenir à leur hauteur. "Ils veulent augmenter leur part de marché, mais ils n'y parviendront pas avec ce qu'ils ont dévoilé aujourd'hui. Ils ne sont toujours qu'un acteur du marché parmi d'autres." Yusuf Mehdi a démenti les rumeurs de rachat par Microsoft du moteur de recherche Ask Jeeves. "Pour l'instant, notre approche est plutôt axée sur un développement en interne", a-t-il commenté. Le modèle économique des moteurs de recherche, popularisé par Google, consiste à diffuser aux internautes de la publicité ciblée en fonction des mots clés qu'ils entrent dans le moteur. "C'est un modèle très profitable, qui génère des revenus substantiels", a indiqué M. Sullivan. Google a dévoilé fin avril son intention de lever 2,7 milliards de dollars lors d'une introduction en bourse, qui devrait s'avérer la plus importante dans l'histoire du "web".
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| bambi | Simplement Moi ! | Administrateur | | 8393 messages postés |
| Posté le 03-07-2004 à 12:01:54
| Un tas de boue vendu 1000$ sur Internet AgenceNews L’agence Reuters rapportait cette semaine que de la boue ramassée le week-end dernier pendant le festival musical de Glastonbury, en Grande-Bretagne, s'est vendue 490 livres sterling, soit près de 1000$ canadiens, sur le site Internet de vente aux enchères ebay. Cette vente devrait largement compenser le billet d'entrée, ainsi que les trombes d'eau reçues par les festivaliers. Dans l’offre de vente, le vendeur promet que la boue devrait arriver encore bien humide dans un sac de plastique et qu’elle serait encore recouverte de la rosée de Glastonbury. La boue a été ramassée devant la scène sur laquelle se sont produits Oasis, Morrissey et Paul McCartney. Ce souvenir avait été mis à prix 99 pences, soit environ 2$. Le vendeur a promis de reverser la moitié de la somme à des associations caritatives.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 05-07-2004 à 13:30:11
| Sony lance en Europe son service de musique en ligne PARIS (AFP), le 05-07-2004 Le groupe Sony lance lundi Connect, son site internet de vente de musique en ligne pour l'Europe où seront téléchargeables des chansons à partir de 99 centimes d'euro. Le patron de Sony Connect Europe, Robert Ashcroft, a annoncé ce lancement pour le 5 juillet, avec quelques semaines de retard sur la date prévue initialement, dans une interview au Figaro paru le 1er juillet. "Nous allons démarrer en France, au Royaume-Uni et en Allemagne le 5 juillet", a-t-il indiqué, précisant que "l'ouverture dans les autres pays de l'Europe, comme la Suisse, l'Autriche, les Pays-Bas et les pays nordiques, est prévue pour la fin de l'année". "Les versions espagnole et italienne de Sonny Connect seront en ligne au printemps 2005", a spécifié M. Ashcroft. Pour justifier le retard pris par le lancement européen de Connect, initialement annoncé pour juin, le patron de Sony Connect Europe a invoqué "de grands projets informatiques qui prennent du temps à finaliser". Selon lui, ce délai a toutefois permis de "trouver des accords avec les cinq majors et environ 150 maisons de disques indépendantes" dont les contrats sont "au service juridique en cours de signature". M. Ashcroft s'étonne des 700.000 titres disponibles revendiqués par son concurrent, le "iTunes Music Store" d'Apple. "Je ne comprends pas comment Apple calcule ses fameux 700.000 titres", dit-il, "nous avons signé avec tout le monde et nous n'arrivons pas à ce chiffre car nous proposerons 500.000 titres en téléchargement". Sur Connect, a-t-il indiqué, "les chansons seront disponibles à partir de 99 centimes d'euro avec une gamme de prix différente pour les nouveautés". Parti après Apple, Sony a cependant "l'ambition d'être le leader (européen) sur ce nouveau marché de la musique", selon M. Ashcroft. Pour "mettre l'accent sur les contenus localisés", Sony Connect Europe a conclu des accords locaux, comme en France où "l'éditorial du site (sera) conçu et produit par la rédaction des Inrocks", a ajouté M. Ashcroft. Contrairement à iTunes Music, localisé au Luxembourg avec une TVA de 3%, Sony Connect, basé à Berlin, se verra appliquer une TVA de 16%. "Cela ne permet pas de dégager des bénéfices", estime M. Ashcroft qui rappelle cependant que "la règle chez Sony, c'est que chaque activité soit rentable" et assure: "nous n'y dérogerons pas". Il confirme également qu'une campagne de promotion sera lancée avec le géant américain du fast food McDonald's sur le modèle de celle déjà en cours aux Etats-Unis, à Porto Rico et au Canada pour offrir des téléchargements gratuits sur Connect.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 06-07-2004 à 14:15:38
| Sony vient concurrencer Apple dans la musique en ligne en Europe PARIS (AFP), le 05-07-2004 Sony emboîte le pas d'Apple en lançant lundi en Europe son site de musique en ligne Connect, avec l'ambition de s'imposer sur ce marché mais aussi de favoriser la vente de ses lecteurs enregistreurs numériques portables. L'inventeur du walkman ouvre son site Sony Connect en France, Grande-Bretagne et Allemagne, qui permettra aux internautes de télécharger un morceau parmi 300.000 titres proposés, vendus à partir de 0,99 centime d'euros --le même prix qu'Apple--, les nouveautés étant facturées plus cher. Les seul baladeurs pouvant lire les morceaux téléchargés seront ceux acceptant les normes de compression promues par Sony. Parti après Apple, qui a lancé son site européen iTunes Music le 15 juin, "Sony a l'ambition d'être le leader (européen) sur ce nouveau marché de la musique", indiquait récemment Robert Ashcroft, vice-président network services de Sony Europe. Ce lancement intervient avec quelques semaines de retard, justifiés par la nécessité de finaliser de grands projets informatiques. Pour se distinguer, le groupe japonais met en avant sa stratégie adaptée à chaque pays en insistant sur les contenus "localisés", comme en France où l'éditorial du site sera conçu et produit par les rédactions des Inrocks. Mais il entend surtout tirer partie de ce site pour doper les ventes de ses lecteurs enregistreurs numériques portables dont de nouveaux modèles sont lancés simultanément. "Nous avons déjà vendu plus de deux millions de lecteurs portables rien qu'en Europe, qui se connectent automatiquement à notre service en ligne", a indiqué le président de Sony Europe Chris Deering. "Nous allons compléter notre gamme en lançant en août deux nouveaux walkman, de haute capacité, ce qui fera de notre site le seul disposant d'une gamme complète de lecteurs intégrés", a-t-il précisé. Le nouveau lecteur lancé par Sony, le NW-HD1, de la taille d'une carte de crédit dispose d'une mémoire de 20 gigabits, permet de stocker jusqu'à 13.000 titres ou 900 disques CD avec une autonomie allant jusqu'à 30 heures. En mai, le groupe avait déjà lancé en Europe et aux Etats-Unis un nouveau baladeur (le Hi MD) stockant la musique sur des Mini-Disc d'une capacité d'un gigaoctet. Au total, Sony alignera 14 produits pouvant utiliser les services de Connect, a dit M. Ashcroft à l'AFP. Le groupe japonais, qui avait bouleversé les habitudes des amateurs de musique en imposant le walkman, doit cette fois courir après l'iPod d'Apple et son site de téléchargement de musique. Apple a vendu 85 millions de titres depuis le lancement d'iTunes en avril 2003 et revendique 70% des ventes de musique légale en ligne aux Etats-Unis. Mais les deux géants de l'électronique, en voulant favoriser les ventes de leurs produits, limitent l'élargissement du marché de la musique puisque chacun utilise son propre format de compression de fichiers, limitant la lecture des morceaux téléchargés à des produits électroniques précis. Sony utilisera le format Atrac, "que nous avons jugée le plus performant et le plus économe de l'énergie des appareils, a dit M. Ashcroft. De nombreux acteurs se positionnent pour investir prochainement le marché européen de la musique en ligne, dont le britannique OD2, récemment racheté par un groupe américain, Microsoft, Napster de l'éditeur informatique Roxio, les distributeurs traditionnels VirginMega et Fnac.fr. La France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne représentent 62% des ventes de musique en Europe et 23% des ventes mondiales.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 06-07-2004 à 14:16:10
| Commerce équitable: Artisans du Monde contre l'alliance avec CDiscount PARIS (AFP), le 05-07-2004 La Fédération Artisans du Monde, l'un des grands acteurs français du commerce équitable, a condamné lundi l'alliance entre le site d'e-commerce CDiscount et la centrale d'achat du commerce équitable Solidar'Monde, pour vendre des produits du commerce équitable sur Internet. CDiscount, filiale du distributeur Casino, connue pour des offres de CD et DVD à prix cassés, avait annoncé fin juin la mise en vente sur son site de 800 produits du commerce équitable, en partenariat avec Solidar'Monde. Pour Artisans du Monde, il s'agit d'une "alliance contre nature entre le commerce équitable et le discount", car elle "peut contribuer à décrédibiliser un commerce équitable qui met en avant l'engagement dans la durée avec les producteurs, les délais de paiement et un prix juste payé aux producteurs, et non la recherche des prix les plus bas à la consommation, qui se fait au détriment des producteurs". La démarche du commerce équitable "ne vise pas seulement à créer des niches pour quelques producteurs, mais s'inscrit dans une modification des règles et des pratiques du commerce international", estime Artisans du Monde. "Dans l'immédiat, bien qu'actionnaire non majoritaire de Solidar'Monde, et membre du conseil de surveillance, la Fédération ne peut s'opposer à cette décision prise par le directoire" (de Solidar'Monde) mais "dans les prochains jours nous aborderons la question avec nos partenaires actionnaires de Solidar'Monde", a averti Artisans du Monde. Solidar'Monde, l'une des nombreuses centrales de l'Association européenne du commerce équitable, fournit notamment Artisans du Monde. Elle travaille avec environ 70 groupements de producteurs du Tiers monde. Les produits du commerce équitable souffrent d'un problème chronique de distribution. Ils sont actuellement vendus soit par un réseau de petits magasins, souvent tenus par des bénévoles, soit via des grandes surfaces qui limitent généralement l'offre de ces produits à quelques labels connus.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 07-07-2004 à 14:48:04
| La communauté internationale se penche sur l'épidémie du spam GENEVE (AFP), le 07-07-2004 Une soixantaine de pays ont commencé mercredi à Genève à se pencher sur les moyens d'enrayer l'épidémie de "pourriels" (spams), ces courriers électroniques non-sollicités qui représenteraient aujourd'hui près de neuf courriels (e-mails) reçus sur dix. "C'est une maladie qui s'est répandue à la surface du globe. Nous sommes face à une épidémie que nous devons maîtriser", a déclaré Robert Horton, directeur de l'Autorité australienne de communications, qui préside une conférence de trois jours organisée par l'Union internationale des télécommunications (UIT). Selon certaines études, les "pourriels" représenteraient désormais entre 75% et 85% des courriers électroniques reçus par chaque ordinateur connecté à l'internet, a rapporté l'UIT. "C'est nettement plus agaçant qu'il y a encore un an, lorsque la proportion devait être de l'ordre de 35% et que les gens pouvaient peut-être supporter ça jusqu'à un certain point", a déclaré M. Horton à la presse. "Les gens deviennent moins patients aujourd'hui et sont prêts à cesser d'utiliser l'internet pour le travail ou pour la vie privée", a-t-il estimé. La réunion qui s'est ouverte à Genève, la première jamais organisée à propos du pourriel, doit permettre de renforcer la coopération internationale nécessaire pour endiguer le fléau dans un délai de deux ans, a-t-il espéré. Comme première étape, les organismes de régulation du secteur devraient mettre en place un annuaire international de contacts dans chaque pays, le problème du pourriel étant souvent traité par différents organismes. Les participants devraient également échanger des idées à propos des différents types de législations qui sont actuellement mises en place dans plusieurs pays comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Corée du Sud.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 07-07-2004 à 14:48:38
| Vingt millions d'années pour décrypter un nouveau système de Fujitsu TOKYO (AFP), le 07-07-2004 Le géant japonais des technologies de l'information Fujitsu a mis au point un système de cryptage de carte de crédit qui ne pourrait être violé qu'en vingt millions d'années, a-t-il annoncé mercredi. Un super ordinateur met 10 à 20 ans à décrypter les codes des systèmes actuels, a précisé un porte-parole de Fujitsu, Makoto Okada. La technologie de Fujitsu a été développée essentiellement pour sécuriser l'usage des cartes à circuits intégrés, a-t-il poursuivi. "Cette technologie améliore la sécurité des cartes de crédit et autres cartes à circuits intégrés", a expliqué le porte-parole. "Elle ne prend pas beaucoup de place dans les micro-processeurs. Nous avons également conçu un circuit capable de gérer de l'information à grande vitesse" à partir de cette nouvelle technologie de cryptage, a ajouté M. Okada. Fujitsu a utilisé la technique de cryptage "RSA" pour parvenir à cette avancée technologique. Le système RSA (du nom de ses inventeurs Rivest, Shamir et Adleman) est le système cryptographique à clé publique le plus connu. La nouvelle technologie de Fujitsu utilise des codes de 2.048 chiffres comme "clés", contre 1.024 chiffres pour les clés issues de la méthode de cryptage RSA, selon M. Okada.
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| Posté le 07-07-2004 à 14:49:26
| Le piratage de logiciels aurait coûté 7,5 mds USD à l'Asie-Pacifique en 2003 SINGAPOUR (AFP), le 07-07-2004 Le piratage de logiciels informatiques a coûté à l'Asie-Pacifique plus de 7,5 milliards de dollars l'an dernier, a indiqué mercredi l'Alliance des fabricants de logiciels commerciaux (BSA). Ce chiffre place l'Asie au second rang mondial derrière l'Europe occidentale, où les pertes ont atteint 9,6 mds USD. En termes de taux de piratage, le continent se classe quatrième, avec 53% des logiciels installés dans les ordinateurs provenant du piratage, selon BSA, qui compte parmi ses membres Microsoft, Adobe, McAfee et Sybase. Le Vietnam et la Chine figurent cependant au premier rang mondial au classement des pays, avec un taux de 92% chacun. L'Indonésie est quatrième avec 88%. Le taux mondial était de 36% en 2003. Aucune comparaison valable ne peut être faire avec 2002, le périmètre d'investigation ayant nettement changé, selon BSA. "Le piratage continue à être un problème significatif en Asie-Pacifique", a déclaré le directeur régional de BSA, Jeffrey Hardee. Une réduction de 10% du piratage permettrait la création de 1,1 million d'emplois et représenterait un accroissement de 15 mds USD des recettes de l'Etat, a souligné le responsable.
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| Posté le 09-07-2004 à 11:40:42
| Piratage La GRC procède à la saisie de 3000 enregistrements illicites de concerts Presse Canadienne (PC) Alors qu'elle annonçait la saisie de 3000 enregistrements illicites de concerts d'artistes tels que Bruce Springsteen, Shania Twain et les Rolling Stones, jeudi, la police a estimé que les nouvelles technologies facilitaient la tâche des pirates. Les enregistrements en question ont été saisis à la mi-juin, lors d'une vente organisée dans un hôtel d'Hamilton, en Ontario. L'affaire n'a toutefois été rendue publique qu'après le dépôt de cinq accusations contre un suspect, Victor Patrick Avalis, âgé de 43 ans, d'Hamilton. M. Avalis pourrait écoper d'une amende pouvant atteindre un million $ ou d'une peine maximale de 25 ans de prison. Il s'agit de l'une des plus importantes saisies d'enregistrements pirates de spectacles de l'histoire du Canada. Parmi les artistes enregistrés à leur insu, au pays et aux États-Unis, figurent des vedettes canadiennes telles qu'Avril Lavigne, Bryan Adams, Neil Young et Shania Twain, ainsi que des musiciens de renommée internationale, notamment Springsteen, les Stones et les Who. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a annoncé avoir confisqué 1140 DVD, 1570 cassettes VHS, 340 CD, 50 cassettes audio et cinq CD-R, le 13 juin, à Hamilton. De l'équipement permettant de faire des copies des enregistrements a également été saisi. Les autorités ont estimé que le matériel saisi pouvait valoir jusqu'à 100 000 $ sur le marché noir. «Il s'agit de concerts difficiles à trouver sur le marché, ils sont uniques», a affirmé la caporale Michelle Paradis, de la GRC, tout en reconnaissant que certains, les plus récents, n'étaient «pas si mauvais».
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| Posté le 09-07-2004 à 11:41:35
| Le nombre de ménages utilisant Internet a crû en 2003 Presse Canadienne (PC) Au moins une personne «utilisait régulièrement Internet en 2003» dans 64% des ménages du pays, selon Statistiques Canada. L'an dernier, le nombre de ménages utilisant Internet a continué de croître, indique Statistique Canada. Dans quelque 7,9 millions (64 pour cent) des 12,3 millions de ménages au pays, au moins une personne «utilisait régulièrement Internet en 2003», à la maison, au travail, à l'école, dans un café, une bibliothèque ou ailleurs. C'est 5 pour cent de plus qu'en 2002, une hausse nettement inférieure à celles de 24 et 19 pour cent observées en 2001 et 2000. Les ménages ayant adopté Internet, note l'agence fédérale, «sont surtout ceux à revenu élevé», chez qui les gens «font partie de la population active, avec des enfants qui habitent encore à la maison ainsi que les personnes au niveau de scolarité plus élevé». L'utilisation à domicile est la plus répandue, 6,7 millions de ménages avaient au moins un usager sous leur toit en 2003, en hausse de 7 pour cent en écart annuel. Ce groupe constitue 55 pour cent du nombre total de ménages, par rapport à 51 pour cent en 2002. Par ailleurs plus de ménages «à plus faible revenu» ont adopté cet outil. Ainsi 45 pour cent de la tranche de revenu entre 24 000 $ et 40 000 $ (soit 1,3 million de maisonnées) avaient un internaute au moins à la maison en 2003, comparé à 32 pour cent en 2002. Ce groupe économique présente «la plus forte croissance de branchement à Internet à domicile, au travail» et ailleurs. Par contre, la proportion de ménages usagers «est demeurée relativement inchangée dans le quartile de revenu inférieur» au précédent. Parmi les 6,7 millions de ménages branchés à domicile, environ 4,4 millions s'offraient la haute vitesse par câble coaxial ou ligne téléphonique en 2003, contre 56 pour cent l'année d'avant. En même temps, la part d'internautes roulant à faible vitesse a baissé, passant de 44 pour cent en 2002 à 35 pour cent l'an dernier. Les détaillants en Internet ont accru leurs dépenses d'infrastructure pour la haute vitesse, «se faisant concurrence pour fournir aux abonnés une plus large gamme de services en direct», signale l'agence. Dans la clientèle de la haute vitesse, 61 pour cent l'obtenaient par le câble et 39 pour cent par connexion téléphonique, aussi appelée ligne numérique d'abonné (LNA). En 2003, les usagers de LNA ont augmenté de presque 30 pour cent, contre un gain de seulement 21 pour cent du côté du câble. Cet écart pourrait tenir «au prix compétitif de la LNA par rapport au câble» ou encore à la plus grande disponibilité d'une ligne téléphonique à haute vitesse dans certains secteurs. Moins de musique? En termes de contenu, 38 pour cent des internautes à domicile «ont déclaré télécharger de la musique en 2003», bien moins que le sommet de 48 pour cent atteint en 2001. Ce recul est peut-être dû à «une campagne lancée par l'industrie de la musique contre les téléchargements de musique faits sans payer», avance l'agence. Dans 65 pour cent des ménages, en 2003, au moins un internaute naviguait pour se renseigner sur la médecine ou la santé, versus une part de 61 pour cent en 2001. Cet usage venait au troisième rang en termes de popularité, après le courrier électronique et le furetage. Dans le groupe à domicile, 57 pour cent des ménages utilisaient la télématique pour accéder aux services bancaires, nettement plus que la part de 44 pour cent en 2001.
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| Posté le 09-07-2004 à 11:48:03
| Logiciels Lutte au piratage de logiciels: le Canada en retard Presse Canadienne (PC) L'Alliance canadienne contre le vol de logiciels (ACCVL) déplore aujourd'hui que le Canada soit «loin derrière les États-Unis» dans la lutte au piratage. Citant l'étude publiée de concert avec la Business Software Alliance (BSA), l'ACCVL estime que 35 pour cent des applications logicielles étaient piratées en 2003 au Canada, contre 22 pour cent aux USA. Selon l'ACCVL, l'impact du piratage au Canada est «considérable» et il a représenté 990 millions $ CA en ventes au détail perdues. Le taux de piratage de 35 pour cent au Canada se compare à celui de 36 pour cent à l'échelle internationale, où le manque à gagner totalisait 29 milliards $ US (38 milliards $ CA) en 2003. L'étude a été menée par International Data Corporation (IDC), de Framingham, Massachusetts. «C'est évident que le piratage devient un inconvénient concurrentiel pour nous, en privant le pays de ventes au détail, de recettes fiscales et d'emplois», note un communiqué de l'ACCVL, qui réunit des éditeurs de logiciels comme Adobe, Apple, Avid, Borland, Internet Security Systems, Macromedia, Microsoft, Sybase, Symantec et Veritas. Ce syndicat professionnel souhaite collaborer avec les acteurs du marché canadien «y compris tous les ordres de gouvernement», afin que la lutte au piratage «soit menée efficacement». Il juge en outre «décevant que le Canada n'arrive pas à suivre des pays tels que la Suède et le Royaume-Uni» dans cette lutte. En Amérique du Nord, le taux de piratage informatique est de 23 pour cent, causant des pertes de 7,2 milliards $ US (9,5 milliards $ CAN). En Amérique latine par contre, le taux atteint 63 pour cent et les pertes y sont évaluées à 1,7 milliard $ CAN. La région Asie-Pacifique est à 53 pour cent, avec des pertes dépassant les 10 milliards $ CAN. En Europe de l'Est, avec un taux de 71 pour cent, les pertes totalisent 3,8 milliards $ CAN, alors que l'entité Moyen-Orient-Afrique montrait un taux de 56 pour cent et un manque à gagner de 1,3 milliard $ CAN. Pour l'Union européenne, l'étude fait état d'un taux de piratage de 37 pour cent et de pertes de 8 milliards d'euros (13,1 milliards $ CAN). Par ailleurs, à Bruxelles, la BSA en a appelé aux pays de l'UE pour que ceux-ci adaptent, dans leur législation nationale, une directive européenne adoptée en mars, pour la lutte au piratage. Suivant la directive, la contrefaçon serait passible de poursuites civiles et de sanctions, comme la saisie d'actifs et de comptes en banque. La BSA déplore aussi que moins de la moitié des 25 pays membres de l'UE aient mis en vigueur une autre directive de l'UE, de 2001. Celle-ci harmonise la sauvegarde du droit d'auteur, restreint la notion de «copie privée» et interdit l'exploitation commerciale de contenus trouvés sur des sites Internet.
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| Posté le 09-07-2004 à 11:48:36
| Logiciels L'usage des logiciels en français tarde à s'imposer dans les entreprises Presse Canadienne (PC) L'utilisation des logiciels en français progresse dans les PME québécoises, mais tarde à s'imposer dans les grandes entreprises montréalaises, révèle des études rendues publiques l'Office de la langue française. Dans les faits, à peine quatre travailleurs sur 10, dans les entreprises de plus de 80 employés situées à Montréal, ont fait le choix d'utiliser des logiciels informatiques en français, selon les résultats des enquêtes menées en 2001 auprès de 2400 sociétés. L'usage des logiciels en français est cependant un peu plus répandu dans les moyennes entreprises de la métropole, c'est-à-dire celles comptant entre 50 et 80 employés, où le taux d'utilisation atteint 58 pour cent. Dans les sociétés de 10 à 49 employés, toujours dans la région de Montréal, un peu plus de la moitié des travailleurs, soit 54 pour cent, ont opté pour des logiciels en français. Ailleurs au Québec, les progrès sont nettement plus significatifs. De fait, les résultats obtenus à la suite des interviews réalisées avec les travailleurs des entreprises établies dans l'ensemble du Québec révèlent que 69 pour cent des employés de petites entreprises utilisent les logiciels en français, et 67 pour cent des employés de moyennes entreprises font de même. Par ailleurs, l'analyse des réponses recueillies parmi les travailleurs révèle une donnée préoccupante pour les concepteurs de matériel informatique en français. En effet, les francophones qui préfèrent utiliser les logiciels en anglais le font par habitude, et aussi parce qu'ils sont persuadés qu'ils sont de meilleure qualité que les versions françaises. Les répondants ont déploré, notamment, les mauvaises traductions et la méconnaissance de la terminologie française. Sans surprise, les données confirment que ce sont les francophones qui font davantage le choix d'utiliser les logiciels en français. Les résultats montrent entre autres que si les personnes avaient le choix, les francophones préfèreraient utiliser les versions en français seulement (75 pour cent) alors que les anglophones et les allophones opteraient pour les versions en anglais (76 pour cent). Outre la langue maternelle, plusieurs facteurs déterminent la langue des produits informatiques utilisés dans les compagnies, souligne l'Office. Ainsi, les logiciels en français sont plus utilisés dans les entreprises dont le siège social est situé à l'extérieur de la région métropolitaine, de même que dans celles qui n'ont pas d'installations à l'extérieur du Québec. Il en va de même dans les sociétés où les propriétaires sont francophones, où le français est la langue la plus utilisée au travail et où les clients tout comme les fournisseurs sont principalement établis au Québec.
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| bambi | Simplement Moi ! | Administrateur | | 8393 messages postés |
| Posté le 25-07-2004 à 12:12:12
| Internet Microsoft veut vendre son magazine Slate mais demeurer partenaire L'éditeur de logiciels Microsoft a indiqué qu'il discute la vente de Slate, son magazine publié sur internet. Selon Scott Moore, un responsable de la division MSN, cinq ou six compagnies de médias sont des acheteurs potentiels. Déjà approché pour vendre Slate, le groupe d'informatique dit envisager pour la première fois de mener effectivement une transaction. En fait, Microsoft préfère un partenariat qui aiderait notamment à accroître les revenus publicitaires de Slate, et qui permettrait que le magazine demeure accessible via les différents sites de MSN. M. Moore ajoute que Microsoft ne s'opposerait pas non plus à ce que le contenu de Slate se retrouve ailleurs, sur Internet ou sur papier. Il a également assuré que la compagnie de Redmond, en banlieue de Seattle, poursuivra la publication du magazine même si elle n'arrive pas à trouver un preneur.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 27-07-2004 à 15:59:23
| RealNetworks veut vendre de la musique que le iPod d'Apple puisse lire SEATTLE (AFP), le 27-07-2004 L'éditeur de logiciels américain RealNetworks lance mardi une application informatique qui permettra bientôt aux clients de sa musique en ligne d'écouter leurs chansons sur quasiment tous les baladeurs numériques, y compris le célèbre iPod d'Apple. C'est la première fois que le fabricant à la pomme ne contrôlera pas l'alimentation du iPod en chansons, puisque jusqu'à présent, pour une question d'encodage, le baladeur ne lit que ce qui provient de sa librairie musicale iTunes. Avec son logiciel Harmony, proposé mardi sur "www.real.com", RealNetworks veut mettre fin au tandem exclusif iTunes-iPod. Il promet à ses clients qu'ils pourront transférer leurs téléchargements en toute sécurité "sur tous les appareils en vogue dont le iPod d'Apple et les baladeurs des marques Creative, iRiver, RCA, Rio, Samsung et palmOne", selon un communiqué publié lundi. Harmony pourra alimenter tous les baladeurs utilisant les formats numériques FairPlay d'Apple, Windows Media Audio de Microsoft et Helix de RealNetworks, ajoute-t-il. L'éditeur testera dès mardi cette nouvelle application sur son site de téléchargement à l'unité RealPlayer 10.5. Elle sera disponible "plus tard dans l'année" pour les autres produits musicaux dont Rhapsody, juke-box virtuel accessible sur abonnement. "Avant Harmony, les consommateurs achetant de la musique numérique se retrouvaient contraints d'utiliser un certain type de lecteur. Harmony change tout ça. La compatibilité est la clé pour amener la musique numérique vers les masses", a commenté le fondateur et PDG de RealNetworks, Rob Glaser. Le communiqué cite également les "majors" du disque BMG et EMI et le groupe de rock américain Pearl Jam, saluant tous une initiative apportant "davantage de souplesse et de choix" pour les clients. Le lancement de Harmony se fait sans l'autorisation d'Apple, et il n'est pas exclu que le groupe se retourne contre RealNetworks pour violation de la propriété intellectuelle, écrivait lundi le New York Times citant des analystes. D'après Josh Bernoff, du cabinet d'études Forrester Research, Apple devrait certainement pouvoir changer son système de cryptage pour que le logiciel de RealNetworks ne puisse plus transférer les chansons sur le iPod. Mais dans ce cas, ajoutait le quotidien new-yorkais, cela forcerait tous les possesseurs de iPod à télécharger une nouvelle application. Le iPod vire au phénomène de société aux Etats-Unis. Ses ventes explosent depuis l'apparition au printemps 2003 du magasin de musique en ligne iTunes Music Store, fournisseur naturel du baladeur. Au trimestre clos en juin, Apple a vendu 860.000 exemplaires du iPod à travers le monde, soit presque trois fois plus que sur la même période de 2003.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 27-07-2004 à 16:00:03
| Des moteurs de recherche dont Google et Yahoo! victimes du virus MyDoom NEW YORK (AFP), le 26-07-2004 Plusieurs des sites de recherches sur l'internet les plus utilisés au monde, dont Google et Yahoo!, ont été victimes lundi d'une attaque du virus informatique Mydoom, ont indiqué des experts en sécurité informatique ainsi que Google lui-même. Selon la société de sécurité MessageLabs, Google, Yahoo!, mais aussi Lycos et Altavista ont connu des perturbations de leur service car le programme MyDoom.O a utilisé les adresses de ces moteurs pour collecter davantage de noms de domaines à travers le web. Le virus Mydoom est de type ver, qui se répand sans aucune intervention humaine via les messageries électroniques. Le programme W32.MyDoom.O est la 15ème variante du virus depuis son apparition au début de l'année, a précisé MessageLabs, soulignant en avoir intercepté en quelques heures 23.000 exemplaires, dont le premier lundi vers 8H40 GMT au Royaume-Uni. "Le moteur de recherche Google a subi des retards d'exécution pendant une courte période tôt dans la journée à cause du virus MyDoom qui a inondé les grands moteurs proposant des recherches automatiques", a expliqué Google dans un communiqué, sans préciser les zones géographiques où les recherches ont été perturbées. Selon la firme, les dommages ne sont pas significatifs et le service normal "devrait être rétabli sous peu". Vers 21H00 GMT, une porte-parole de Google n'était pas en mesure de confirmer la fin de l'incident, même si les recherches n'étaient plus paralysées dans plusieurs pays touchés au cours de la journée, dont la France. "Un petit pourcentage de nos usagers et réseaux qui ont le virus MyDoom ont été affectés pendant une plus longue période", a ajouté Google. L'attaque intervient le jour même où le moteur Google a précisé son projet d'introduction en Bourse, où il compte lever désormais jusqu'à 3,3 milliards de dollars. Aucun élément ne permettait toutefois de relier les deux événements. "Comme Mydoom.O contient des liens de sites web et auto-execute des recherches sur des sites précisément ciblés, le virus se traduit par des attaques de déni de service visant Lycos, Altavista, Yahoo et Google. Que cela soit ou non l'intention initiale, ça semble être le résultat", a indiqué le directeur technologique de MessageLabs, Mark Sunner, cité dans un communiqué.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 28-07-2004 à 16:19:11
| France: signature d'une charte contre la "piraterie" de la musique sur internet PARIS (AFP), le 28-07-2004 Les fournisseurs d'accès à internet et les auteurs et producteurs de musique ont signé mercredi à Paris une charte destinée à lutter contre la "piraterie" de la musique sur internet et à développer l'offre de musique légale en ligne. Cette signature, à l'Olympia, s'est faite en présence des trois ministres associés à ce plan, Nicolas Sarkozy, ministre de l'Economie et Finances, Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture et de la Communication et Patrick Devedjian, ministre délégué à l'Industrie. Elle devrait être le premier volet d'une lutte anti-piraterie élargie par la suite à d'autres oeuvres, comme les oeuvres cinématographiques. La charte prévoit "des mesures concrètes et efficaces en faveur du respect de la propriété intellectuelle", a expliqué M. Sarkozy, citant "l'envoi de messages d'avertissement à tout abonné qui se livre à des actes de piraterie, l'absence de campagnes de publicité associant le haut débit et le téléchargement illicite, la généralisation des clauses contractuelles permettant de résilier les abonnements en cas d'actes de piraterie, la suppression des renvois vers des sites de téléchargement illicite, la réalisation d'une expertise sur le filtrage". Pour lutter contre la piraterie, la charte prévoit également des mesures destinées à développer l'offre légale de musique : "l'augmentation du catalogue en ligne de 300.000 à 600.000 titres" d'ici la fin 2004, "la mise en oeuvre d'une tarification claire et compétitive, des actions publicitaires pour informer et orienter les internautes vers cette offre légale, l'accélération de la numérisation des oeuvres et la mise à disposition des catalogues dans des conditions non discriminatoires et transparentes au profit de toutes les plateformes de distribution en ligne", a-t-il expliqué.
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| fredchoucas | Administrateur | | 8568 messages postés |
| Posté le 29-07-2004 à 14:33:46
| Haut débit: le conseil de la concurrence émet des réserves sur la Charte de France Télécom PARIS (AFP), le 29-07-2004 Le conseil de la concurrence a émis des réserves, assorties de recommandations, sur la charte proposée par France Télécom aux départements pour accélérer le déploiement du haut débit sur leur territoire, a-t-il annoncé mercredi dans un communiqué. Le conseil de la concurrence avait été saisi en avril par l'Autorité de régulation des télécommunications (ART), qui s'inquiétait des risques juridiques posés par cette charte, et d'un éventuel abus de position dominante de France Télécom. La charte assure aux collectivités signataires une couverture en haut débit en avance sur le calendrier prévu par le gouvernement dans le cadre de l'aménagement numérique du territoire. Mais France Télécom demande en contrepartie aux collectivités la promotion des usages du haut débit. Depuis son lancement en janvier, la convention de France Télécom a séduit plus de la moitié des départements (une soixantaine à ce jour). Le conseil de la concurrence, qui a dû se prononcer "uniquement sur la base du document-type" fourni par l'opérateur historique, "compte tenu du refus de France Télécom de lui communiquer les conventions déjà signées", a émis trois réserves, portant sur les conditions d'accès, entre France Télécom et ses concurrents, aux informations sur la demande locale en haut débit. Le conseil a recommandé que les informations relatives à la demande locale, recueillies par France Télécom dans le cadre de la convention, soient exclues de la clause de confidentialité présente dans la charte, et que ces informations soient accessibles dans les mêmes conditions à tous les opérateurs, surtout lors d'appels d'offres publics sur les télécoms. L'ART s'est dit "satisfaite" de cette décision. "Le conseil a répondu de façon claire à nos interrogations, qui portaient essentiellement sur la confidentialité de certaines informations (recueillies par France Télécom dans le cadre de la convention, ndlr) et la transparence (pour les concurrents, ndlr)", a indiqué un porte-parole. "Maintenant, les départements sont informés des précautions qu'ils vont devoir prendre lorsqu'ils lancent un appel d'offres", a-t-on ajouté. France Télécom a pour sa part indiqué, dans un communiqué, "se féliciter de cet avis" et qu'il allait le suivre "sans réserve". Selon l'opérateur, "le Conseil souligne, comme le font les conventions elles-mêmes, la nécessité d'éviter tout privilège en termes d'informations fournies par les conseils généraux sur la demande locale et d'assurer pour tous les opérateurs l'accès à ces informations". Faisant écho aux recommandations du conseil de la concurrence, "France Télécom souscrit sans réserve à ces principes, qui sont explicitement mentionnés dans le préambule des conventions", a fait valoir le groupe. Dans ses réserves, le conseil de la concurrence avait notamment relevé que "la convention-type contient des dispositions contradictoires" en termes de transparence de l'information et d'aides financières éventuelles. France Télécom a sur ce point rétorqué qu'"aucune convention signée, pas plus que la convention-type, ne prévoit le versement de subvention".
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