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L'iPod, l'objet-culte jalousement protégé par Apple



NEW YORK (AFP), le 01-08-2004
Le succès commercial de l'iPod d'Apple fait des envieux chez ses rivaux et le fabricant à la pomme, condamné aux seconds rôles sur le marché informatique, défend jalousement son titre de leader dans la musique numérique.

Apple, qui ne cesse de se réjouir de l'envolée des ventes de son baladeur numérique, dopées depuis un an par l'iTunes Music Store, a subitement changé de ton en apprenant qu'un concurrent dans la musique en ligne payante comptait profiter lui aussi de ce succès.

Le groupe de Steve Jobs a tout bonnement accusé de piraterie l'éditeur de logiciels RealNetworks, qui propose sur son site de téléchargement une application informatique multistandard permettant le transfert de chansons sur 70 modèles de baladeurs. Dont le fameux iPod.

"Nous sommes effarés que RealNetworks ait adopté des tactiques et une éthique de hacker pour forcer l'accès à l'iPod", a affirmé Apple, qui envisage de porter l'affaire devant la justice.

RealNetworks a bien pris conscience que l'iPod devenait une sorte d'objet-culte, envahissant les rues des grandes villes ou les rames de métro, et il veut faire en sorte que les clients de RealPlayer Music Store n'en soient pas privés par la volonté d'Apple.

"C'est aux consommateurs, et non à Apple, de choisir quelle musique peut aller sur leur iPod", clame l'éditeur, connu d'abord pour ses logiciels média concurrents de Windows.

Mais l'inventeur du Macintosh, réduit depuis vingt ans à moins de 5% du marché des ordinateurs par l'hégémonie des systèmes Microsoft, entend contrôler lui-même l'alimentation de l'iPod, exclusivement réservée à son "Music Store", d'autant que ce dernier surclasse les magasins concurrents.

Si Apple revendique 70% du marché du téléchargement légal, dire qu'il maîtrise aujourd'hui avec son juke-box virtuel au moins 50% du total --téléchargement et simple écoute sur PC par abonnement-- est sans doute plus proche de la réalité, estiment les analystes.

Selon David Card, du cabinet d'études Jupiter Research, ce chiffre reste néanmoins synonyme de suprématie, permettant à Apple d'ignorer les avances de RealNetworks qui lui demandait depuis 2003 d'ouvrir l'accès à l'iPod.

"Sur le long terme, c'est vrai que s'il y a davantage de magasins fournissant de la musique à l'iPod, c'est bon pour les ventes de l'iPod. Mais pour l'instant Apple n'a pas besoin de céder sa technologie sous licence", souligne M. Card.

Pour étendre son influence, le fabricant préfère trouver de nouveaux distributeurs pour ses produits. Comme Hewlett-Packard, qui va commercialiser l'iPod de quatrième génération, ou Motorola, pour lequel sera conçu un logiciel de musique spécialement dédié aux téléphones portables.

C'est encore un joli coup, juge Steven Milunovich, de la banque d'affaires Merrill Lynch. "Faire en sorte que les usagers essaient iTunes sur leur téléphone portable les introduit vers la musique sur baladeur telle que Apple la propose", dit-il. Les ventes d'iPod pourraient à terme en bénéficier.

Nouant des alliances pour asseoir sa domination sur le marché du MP3, "Apple pourrait devenir le +Microsoft+ de la musique", ajoute même M. Milunovich.

Une affirmation contestée par David Card, qui souligne les différences fondamentales: "Microsoft est une plate-forme de logiciels qui veut un maximum d'accords de licences, alors qu'Apple est un fabricant de matériel, utilisant les logiciels pour différencier ce matériel".

Les deux rivaux devraient bientôt se retrouver à nouveau face-à-face puisque Microsoft commencera à tester à la fin août, sur son portail internet MSN, un service de téléchargement à l'unité, a rapporté vendredi le Financial Times.




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Internet: le site internet Lycos racheté par un portail sud-coréen



SEOUL (AFP), le 02-08-2004
Le portail internet sud-coréen Daum Communications Corp a acheté la société américaine Lycos, filiale du portail espagnol Terra Lycos (Telefonica), pour 111,2 milliards de wons (95,3 M USD).

Daum estime que le portail américain, coté au Nasdaq, dégagera des bénéfices d'ici 2005 grâce à l'imposante croissance du marché publicitaire aux Etats-Unis. Daum a ainsi pour objectif de se hisser au rang de leader du secteur en associant la marque Lycos à son propre savoir-faire, a-t-il indiqué.

Cette acquisition sera financée grâce à la trésorerie de Daum et avec des obligations, a encore précisé la société sud-coréenne. Ce rachat avait été annoncé le 29 juillet par le quotidien madrilène El Pais.

La vente exclut Terra Networks USA et la participation de 30% de Terra dans Lycos Europe, a indiqué lundi le portail espagnol. Dans un communiqué publié à Madrid, Terra chiffre cette opération à 105 millions USD, montant considérablement inférieur au prix qu'il avait payé pour l'acquistion de Lycos en 2000.

Ce communiqué explique que cette opération a été précédée par un transfert d'actifs de 435 millions USD de l'américain Lycos à Terra. Il s'agit de Terra Networks USA, portail en espagnol pour la population hispanophone aux Etats-Unis, de la participation de 30% de Terra dans Lycos Europe et "divers autres actifs".

Terra affirme attendre une plus-value de 20 millions d'euros pour la vente de Lycos à Daum Comunications Corp.

Ce désinvestissement s'inscrit dans la stratégie de Terra de renforcer sa présence dans les pays où son propriétaire, le géant espagnol des télécommunications Telefonica, dispose d'une implantation "significative" ainsi que sur les marchés de langue espagnole et portugaise, ajoute le communiqué.

Terra avait acquis Lycos en 2000 par le biais d'un échange d'actions, opération évaluée alors à 10,7 milliards d'euros. Mais le prix de son titre s'est effondré au cours des dernières années à la suite de l'éclatement de la bulle internet.

Terra, présent dans 40 pays et 19 langues, a enregistré une perte nette au 1er semestre 2004 de 69,27 millions d'euros contre une perte de 97,707 millions durant les six premiers mois de 2003.




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   Posté le 03-08-2004 à 15:05:02   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

Suède: des adresses secrètes de particuliers accessibles via internet



STOCKHOLM (AFP), le 03-08-2004
Il est possible via internet d'avoir accès à des adresses de particuliers a priori secrètes, tels celles de politiciens, rapporte mardi le quotidien suédois Dagens Nyheter.

Depuis quelques semaines en effet, une société suédoise, Eniro, propose un service gratuit de recherche d'informations touchant 5,1 millions de personnes possédant un téléphone portable, selon le journal.

D'un simple clic, on peut ainsi se procurer le numéro de portable et l'adresse personnelle de l'abonné, même quand celui-ci désire que cette dernière reste secrète.

Le problème, explique le quotidien, touche les personnes --le plus souvent des employés d'Etat ou de communes, dont certains à des postes exposés-- possédant une "facture partagée".

Le principe de la "facture partagée" touche environ 300.000 personnes en Suède, dont l'abonnement est professionnel, mais qui paient elles-mêmes leurs conversations privées.

Dans ces cas-là, la facture est envoyée au domicile de l'abonné, dont l'adresse privée, liée à l'abonnement, est dévoilée sur internet.



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Une force spéciale vietnamienne va traquer le cybercrime



HANOI (AFP), le 03-08-2004
La police vietnamienne va mettre sur pied le mois prochain une force spéciale pour traquer le cybercrime, a indiqué mardi le ministère de la Sécurité publique.

Cette unité de police aura pour tâche de combattre le nombre croissant des pirates informatiques, ainsi que des reseaux criminels qui utilisent l'internet pour des trafics humain et de drogue, a-t-on expliqué de même source, indiquant que les sites pornographiques seront également visés.

La priorité de cette force sera cependant la poursuite des pirates informatiques qui "développent ou transmettent intentionnellement des virus pour saboter le réseau informatique du pays" et qui encourent une peine puvant aller jusqu'à sept ans de prison, a précisé un responsable du département de la police économique du ministère, dont dépendra cette force.

Le responsable a insisté que la surveillance des dissidents politiques et religieux n'entrerait pas dans les attributions de cette nouvelle force de police. "Si nous découvrons des méfaits, nous en transmettrons l'information aux autres services de la police", a-t-il ajouté.

Le gouvernement vietnamien avait lancé en mai dernier une nouvelle campagne pour empêcher l'utilisation de l'internet à des fins politiques, quelques mois après avoir adopté de nouvelles mesures de contrôle de l'usage de la Toile.

Quelque 4 millions de personnes sur une population de 81 millions ont un accès régulier à l'internet au Vietnam, via notamment les cyber-cafés.




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   Posté le 04-08-2004 à 15:43:07   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

Piratage informatique: projet de loi très dur en Zambie



LUSAKA (AFP), le 03-08-2004
Les députés zambiens ont entamé mardi l'examen d'un projet de loi sans pitié pour les pirates informatiques, qui, s'il est adopté, les punira d'une peine de 15 à 25 ans de prison.

"Les ordinateurs sont utilisés pour des activités criminelles", a déclaré le ministre zambien des Communications, Bates Namuyamba, en défendant au Parlement ce projet de loi qui a le soutien total des banques et de la Société informatique de Zambie, groupement de professionnels du secteur.

Il y a de fortes chances que le projet soit adopté, seul un député d'opposition, Douglas Siakalima, ayant émis des critiques. Il a estimé que les technologies de l'information et des communications étant peu répandues en Zambie, la loi serait difficile à appliquer.

Il a en outre affirmé que le projet n'était qu'une simple "réplique" d'une loi britannique datant de 1990. Le vote sur ce projet doit intervenir jeudi.

Selon des estimations non-officielles, un Zambien sur 1.000 possède un ordinateur.

Le piratage le plus célèbre en Zambie a été commis par un jeune informaticien à l'époque du président Frederick Chiluba, au pouvoir entre 1991 et 2001: il avait réussi à entrer sur le site de la présidence et à remplacer la photo du chef de l'Etat par une caricature.

Il avait été arrêté et inculpé de diffamation à l'encontre du président, mais n'avait pas été condamné, aucune loi relative aux crimes informatiques n'existant à ce jour en Zambie.





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   Posté le 06-08-2004 à 14:57:00   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

Tiscali, l'étoile européenne de l'Internet, menacé de disparition



ROME (AFP), le 06-08-2004
Une étoile de l'univers internet, le groupe italien Tiscali, est contrainte de vendre ses actifs pour pouvoir honorer l'an prochain le remboursement d'une émission obligataire de 250 millions d'euros et éviter la disparition.

Son fondateur, Renato Soru, 47 ans, a été surnommé le "Bill Gates italien". Mais le succès lui a donné l'envie du pouvoir et il a cédé la direction de son groupe pour entrer en politique.

Candidat de l'opposition de centre-gauche en Sardaigne, son île natale, il a pris en juin la présidence de la région à la droite et largement battu son adversaire soutenu par le chef du gouvernement et milliardaire des médias Silvio Berlusconi.

Sa création, Tiscali, pourrait en revanche disparaître si sa nouvelle direction ne parvient pas à tenir sa trésorerie et endiguer son endettement pour regagner la confiance des marchés.

Spécialiste dans la fourniture de services internet, Tiscali a annoncé jeudi soir 65 millions de pertes au second semestre 2004, contre 56,3 millions l'an passé à la même période.

Pour contrer l'effet de ce résultat, le conseil d'administration a approuvé un plan de réduction de 15% des coûts opérationnels au cours des 12 prochains mois et la vente d'actifs pour "garantir le remboursement de l'émission obligataire de 250 millions d'euros venant à échéance en 2005".

Son nouveau patron, le néerlandais Ruud Huisman, a précisé vendredi l'ampleur de l'opération.

"Nous allons nous concentrer sur nos cinq marchés les plus importants: l'Italie, la France, le Royaume Uni, le Benelux et l'Allemagne", a-t-il annoncé au quotidien économique italien Il Sole 24 Ore.

"Nous allons donc céder nos activités au Danemark, en Espagne, en Autriche et en République tchèque", a-t-il précisé.

Ruud Huisman a par ailleurs confirmé le désengagement de Tiscali de Norvège, de Suisse, de Suède et d'Afrique du sud.

"Nous sommes prêts à sacrifier une jambe pour sauver le reste du corps", s'est justifié Ruud Huisman. Le groupe, présent dans quinze pays, se désengage de huit après s'être voulu le concurrent des grands groupes américains et des géants des télécommunications.

"Il ne s'agit pas d'un geste de désespoir. Plutôt un geste de confiance dans l'avenir", a-t-il assuré.

Un autre groupe spécialisé dans l'internet, l'Espagnol Terra, est confronté aux mêmes difficultés avec un endettement de près de 70 millions d'euros et a été contraint de vendre son portail américain Lycos.

Coté en bourse depuis 1999, Tiscali pèse 1,4 milliard d'euros et les marchés se montrent très nerveux devant ses difficultés.

Le titre a vécu jeudi une descente aux enfers à la bourse de Milan. Près de 30 millions d'actions ont été vendues, soit environ 8% du capital et le titre a sombré à 2,43 euros, soit la moitié de sa valeur d'introduction. Renato Soru a conservé 26,43% du capital de son groupe.

Le groupe a besoin d'un financement global de 200 à 250 millions d'euros pour refinancer sa dette, accroître sa solidité financière et soutenir sa croissance, avait annoncé en juin son directeur financier Massimo Cristofori.

Une augmentation de capital pouvant aller jusqu'à 10% du capital, soit 100 millions d'euros a été envisagée, mais elle a été repoussée jeudi.

"Les conditions du marché ne le permettent pas", a expliqué Ruud Huisman.

Le nouveau patron de Tiscali se veut toutefois confiant. "Nous n'avons pas besoin d'un acheteur", a-t-il assuré.

"Le nombre de nos clients augmente à vue d'oeil. Nous aurons 1,7 million de clients Adsl d'ici la fin de l'année et nous pensons améliorer notre offre", a-t-il ajouté.

Tiscali a basé sa stratégie de développement sur l'abonnement gratuit à l'internet.




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   Posté le 06-08-2004 à 14:57:39   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

Les ventes en ligne devraient dépasser les 300 milliards de dollars en 2010



NEW YORK (AFP), le 05-08-2004
Le chiffre d'affaires du commerce de détail sur internet aux Etats-Unis devrait dépasser les 300 milliards de dollars en 2010, dont près d'un tiers dégagé par la catégorie voyage, selon une étude publiée cette semaine par le cabinet Forrester Research.

A 316 milliards de dollars, le e-commerce représenterait 12% du total estimé des ventes de détail en 2010, précise le cabinet d'études. Selon ses projections pour 2004, les ventes en ligne atteindront cette année 144 milliards de dollars soit "près de 7%" du total.

Il y a deux explications à cette évolution : de plus en plus de foyers américains consomment en ligne et les commerçants innovent et améliorent leurs sites web pour attirer davantage de visiteurs.

"Comme de plus en plus de commerçants proposent de venir retirer en magasin ce qui a été acheté en ligne, nous nous attendons à ce que des catégories comme l'équipement de la maison, la santé ou les produits de beauté voient progresser leurs ventes comme l'électronique aujourd'hui", a souligné Carrie Johnson, auteur de l'étude.

Les achats de voyages en ligne (billet d'avion, hôtel, location de voiture etc..) compteront pour 119,1 milliards USD en 2010 contre 52,4 milliards en 2004, prédit-elle.

Si ses ventes représentent nettement moins en valeur, l'informatique est la catégorie la plus prisée pour le shopping en ligne : 54% du total des ventes d'ordinateurs et de logiciels s'effectuera en ligne en 2010.

Dans le coeur des internautes viennent ensuite les voyages (42%), les billets de spectacle (39%), les petits appareils ménagers (29%) et les livres (28%).

En 2009, quelque 40% des foyers américains devraient acheter en ligne contre 33,4% en 2003, conclut l'étude.




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   Posté le 07-08-2004 à 16:57:37   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

L'entrée en Bourse de Google retardée pour des raisons techniques



NEW YORK (AFP), le 06-08-2004
Le processus d'entrée en Bourse (IPO) de Google connaît des complications techniques qui devraient retarder de quelques jours la première cotation sur le Nasdaq de l'action du célèbre moteur de recherche sur l'internet, selon des sources citées vendredi par la presse financière.

Cette IPO, au cours de laquelle Google compte lever jusqu'à 3,3 milliards de dollars en proposant quelque 9% de son capital au public, est l'un des événements financiers les plus attendus de 2004 aux Etats-Unis.

Pour fixer le prix exact d'entrée sur le marché, qu'il anticipe entre 108 et 135 dollars, Google a choisi le procédé très inhabituel des enchères électroniques et a fixé à ce vendredi la date-limite pour recueillir les candidatures des investisseurs souhaitant participer aux enchères.

Mais le processus d'enregistrement des candidats est plus long que prévu, rapporte vendredi le Wall Street journal citant une source proche du dossier. Sa clôture est un préalable au démarrage des enchères et celles-ci devraient durer "au moins plusieurs jours", ajoute le quotidien américain.

Résultat, comme l'affirmait jeudi la chaîne financière CNBC, l'action Google ne devrait vraisemblablement pas être cotée (sous le symbole "GOOG" ) avant la semaine du 16 août. De précédentes informations de presse indiquaient que l'IPO pourrait avoir lieu dès le mardi 10 août.

Sollicitée pour commenter ces informations, la firme californienne est restée muette. Google avait simplement indiqué il y a une dizaine de jours que ses actions seraient livrées aux acheteurs "en ou autour du mois d'aôut".

Par ailleurs, dans un document déposé auprès des autorités boursières (SEC), Google a reconnu avoir omis de signaler l'allocation d'actions couvertes par son programme de stock options, ce qui selon la presse pourrait être considéré comme une violation des lois boursières.





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   Posté le 08-08-2004 à 15:17:27   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

Google: nuages à l'horizon pour l'entrée en Bourse de 2004



NEW YORK (AFP), le 08-08-2004
Soucis techniques, critiques sur le processus d'enchères ou sur le prix trop élevé: l'horizon s'assombrit pour l'introduction en Bourse de Google, censée offrir un retour profitable sur investissement aux créateurs du plus célèbre des moteurs de recherche sur l'internet.

Avec les prix record du pétrole et le recul de la Bourse, le sujet fait la Une des médias économiques depuis quelques jours aux Etats-Unis.

Annoncée comme imminente, l'arrivée de Google sur le Nasdaq pourrait ne pas survenir avant la deuxième quinzaine d'août. Il est question de problèmes sur un site web d'enregistrement des acheteurs, mais aussi, d'après les analystes, du peu d'empressement témoigné pour une action si chèrement vendue.

"Ils ont exclu tout le monde sauf les investisseurs institutionnels" et autres riches fonds d'investissement, a même estimé un cadre dirigeant de la high-tech, cité vendredi par le New York Times.

Google compte vendre au public 24,6 millions d'actions --soit environ 9% de son capital-- à un prix qu'il a anticipé entre 108 et 135 dollars, sachant que le prix définitif d'introduction dépendra du niveau des enchères.

"Il y a cinq ans vous auriez vendu n'importe quoi à ce prix là, aujourd'hui le marché est plus sceptique", analyse George Perry, spécialiste des marchés boursiers à la Brookings Institution.

"Un tel prix requiert beaucoup d'optimisme sur ce que seront leurs résultats dans le futur", ajoute-t-il.

Selon David Menlow, du site spécialisé IPOfinancial.com, la principale inquiétude porte sur la capacité de l'action à conserver un tel niveau élevé quand les échanges auront commencé.

"Je ne pense pas que les investisseurs institutionnels souhaitent participer à des enchères à un prix si élevé. Ils se demandent qui sera là pour soutenir ensuite le titre", indique l'analyste.

Larry Page et Sergey Brin, les cerveaux qui ont créé Google en 1998, tenaient mordicus au procédé des enchères électroniques, enlevant aux banques d'affaires trop mouillées dans les récents scandales leur traditionnelle prérogative d'allocation.

Selon eux, les enchères sont synonymes d'actionnariat plus diversifié. Se traduisant par un prix élevé dès la première cotation (l'offre la plus haute sera retenue) elles évitent l'enrichissement d'un petit nombre avec de rapides allers-retours sur une action en plein envol, un scénario courant à la fin des années 90.

Mais les intentions a priori nobles du duo Page-Brin révèlent aujourd'hui des écueils qu'ils n'avaient pas soupçonnés en avril, en annonçant leur grand projet.

"La malchance pour Google est de faire son entrée sur un marché boursier faible, ce qui réduit forcément l'enthousiasme", poursuit George Perry.

Ebranlée par les prix du pétrole et des mauvaises nouvelles sur l'emploi, la Bourse américaine est retombée vendredi à des niveaux qu'elle n'avait pas connus depuis plusieurs mois.

Le Nasdaq, que Google ambitionne de séduire, a reculé au plus bas depuis fin août 2003, alors qu'il avait déjà perdu 8% sur le seul mois de juillet, marqué par les prévisions décevantes de géants du secteur technologique comme Intel.

Est-ce un mauvais présage? Le 3 août, la firme de nanotechnologies Nanosys, autre étoile montante de la Silicon Valley, a décidé de suspendre son introduction en Bourse, mettant en avant les mauvaises conditions du marché.

Pour David Menlow, il est peu probable que Google renonce à son système d'enchères ou même abaisse sa cible de prix.

Toutefois "si les offres sont plus faibles (en deçà des 108 USD), l'entreprise n'est pas obligée de les accepter", conclut l'analyste.




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   Posté le 10-08-2004 à 14:12:14   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

Introduction en Bourse de Google: prix visé raisonnable, mais contexte boursier risqué



NEW YORK (AFP), le 09-08-2004
La fourchette de prix visée par Google pour sa prochaine introduction en Bourse "apparaît raisonnable", mais la correction subie récemment sur le marché par les valeurs technologiques doit inciter à la prudence, juge lundi une étude de l'agence de notation Standard and Poor's.

"Des facteurs externes de court terme, et non des moindres; le récent sentiment négatif suscité par les titres de la technologie et de l'internet en général, plaident encore davantage pour inviter les investisseurs à la prudence", estime Scott Kessler, auteur de l'étude.

Dans ce texte, second volet d'un rapport dit d'"avant-IPO", M. Kessler rappelle aussi son avertissement du premier volet en juin, à savoir que la standardisation de l'offre de Google (services e-mail, de discussion en ligne..) pour s'aligner sur la concurrence constitue à terme un risque pour l'action, car elle va coûter cher en investissements.

Pour l'instant, les principaux écueils pour l'action, lors des premiers échanges attendus d'ici la fin août sur le Nasdaq, sont la tendance négative sur ce marché boursier (qui a perdu 8% en juillet), mais aussi "le défi que représente une émission d'actions en saison creuse", ajoute M. Kessler.

La deuxième quinzaine d'août est généralement une période de grand calme sur les marchés car beaucoup d'opérateurs sont en congé.

L'analyste de SP évoque aussi des "incertitudes" associées au processus d'enchères électroniques choisi pour l'allocation des actions Google. Le moteur de recherche connaît actuellement des retards dans l'enregistrement des investisseurs désirant participer aux enchères, ce qui diffère le démarrage des enchères elles-mêmes.

En revanche, Standard and Poor's est moins critique avec le prix que Google anticipe pour son action (entre 108 et 135 dollars).

"Nous avons évalué Google par rapport à ses concurrents et pairs", indique Scott Kessler, citant notamment eBay, Yahoo! ou Amazon.com et leurs capacités respectives à dégager des flux de trésorerie.

"Ces analyses suggèrent qu'une juste valeur de Google sur le marché pourrait être entre 121 et 127 dollars l'action, ce qui se situe à l'intérieur de la fourchette fournie par l'entreprise", selon lui.

Même si "un certain nombre de facteurs pourrait peser sur l'évolution à court terme de l'action, cette fourchette apparaît raisonnable", ajoute-t-il.

Google, qui a décidé d'émettre quelque 25,7 millions d'actions à destination du public, compte ainsi lever jusqu'à 3,47 milliards de dollars en entrant en Bourse, normalement d'ici à la fin du mois si ses intentions initiales sont respectées.

Le moteur de recherche a annoncé lundi qu'il émettait plus d'actions que prévu, à destination de Yahoo!, afin de solder une plainte lancée par une filiale du portail internet pour violation de brevets d'invention.




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Microsoft offre une mise à jour de Windows XP axée sur la sécurité



REDMOND (AFP), le 09-08-2004
Microsoft va mettre à la disposition des consommateurs d'ici quelques jours une mise à jour de son système d'exploitation Windows XP axée sur la sécurité, a-t-on appris lundi auprès du numéro un mondial des logiciels.

Service Pack 2 a été mis à la disposition des fabricants d'ordinateurs vendredi et devrait être disponible pour les utilisateurs d'ordinateurs personnels gratuitement "dans quelques jours en anglais", a indiqué Matt Pilla, porte-parole de Microsoft.

La mise à jour sera disponible plus tard dans plus de 20 langues.

Microsoft a investi près d'un milliard de dollars dans Service Pack 2 et d'autres programmes, dont la future version de son système d'exploitation baptisée pour le moment "Longhorn".

"Certaines des technologies mises au point pour Longhorn ont été intégrées au Service Pack 2, essentiellement des fonctions pour la sécurité", a précisé Matt Pilla.

Depuis sa sortie il y a trois ans, Windows XP a été cible de nombreuses attaques.

"Service Pack 2 constitue une étape importante vers notre objectif qui est d'aider les clients à mieux isoler leurs PC et les rendre plus résistants face à des attaques de plus en plus sophistiquées", a déclaré Bill Gates, architecte des logiciels chez Microsoft.

Microsoft s'attend à distribuer Service Pack 2 sur environ 10 millions de PC dans le monde au cours des deux prochains mois.



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   Posté le 11-08-2004 à 15:22:46   Voir le profil de fredchoucas (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à fredchoucas   

T-Online continue sa marche en avant, mais perd des clients hors d'Allemagne



FRANCFORT (AFP), le 11-08-2004
Le premier fournisseur d'accès à Internet en Europe, l'allemand T-Online, a continué sa marche en avant au printemps, mais a perdu des clients hors d'Allemagne sur l'ensemble du premier semestre.

La filiale de l'opérateur de télécommunications Deutsche Telekom a enregistré au premier semestre un bénéfice net de 167,6 millions d'euros (proforma), contre une perte de 71,4 M EUR sur la même période un an plus tôt, a-t-elle annoncé mercredi.

Sur le seul deuxième trimestre, le résultat net ressort à 88,2 M EUR, contre une perte de 40,1 M EUR l'an dernier. Il s'agit du quatrième bénéfice net trimestriel consécutif pour le groupe.

L'excédent brut d'exploitation (EBITDA) ressort à 248,3 M EUR au premier semestre, en hausse de 61,7% sur un an, et à 130,6 M EUR sur le seul deuxième trimestre, en hausse de 61,6% sur un an.

T-Online prévoyait en mai un excédent brut d'exploitation de 400 à 450 M EUR pour l'ensemble de 2004.

Le chiffre d'affaires a progressé de 11,9% sur un an au premier semestre à 988,2 M EUR, et de 11,1% sur un an à 499,5 M EUR au deuxième trimestre. Pour l'ensemble de l'année, l'objectif affiché est d'au moins 2,201 mds EUR.

Ces chiffres confirment le ralentissement progressif de la croissance du groupe, qui se montait encore à plus de 20% à la même époque l'an passé.

Le nombre de clients a progressé de 5,3% au premier semestre, à 13,34 millions pour l'ensemble de groupe.

En réalité, T-Online n'a gagné des clients qu'en Allemagne (+9% à 11,26 millions), mais en a perdu presque 10% dans le reste de l'Europe. Le groupe possède notamment en France le fournisseur d'accès Club internet



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Google décidé à y aller même si la high-tech souffre en Bourse



NEW YORK (AFP), le 12-08-2004
Avec une semaine de retard sur son calendrier, Google clôt jeudi l'enregistrement des candidats aux enchères qui fixeront le prix de son action, et voit se rapprocher à grands pas son rêve de devenir un géant de l'internet en Bourse malgré le contexte tourmenté.

L'enregistrement sera clos jeudi vers 21H00 GMT et les enchères démarreront "rapidement après", indique depuis mardi le site ipo.google.com, invitant comme prévu les seuls ressortissants américains à participer.

Cette annonce a mis fin aux interrogations sur la détermination de la direction du moteur de recherche à mener à bien son grand projet, alors que le marché boursier électronique du Nasdaq est très secoué et que le prix anticipé (108 à 135 dollars) est parfois jugé trop ambitieux.

Afin de pouvoir investir face à la concurrence croissante dans la recherche en ligne, Google est donc bien décidé à lever en Bourse quelque trois milliards de dollars, comme il l'avait annoncé fin avril, laissant entrevoir la plus grosse introduction en Bourse de 2004.

La firme californienne, pour mettre à disposition du public 25,7 millions d'actions, soit 9% de son capital, a choisi le mode des enchères "hollandaises". Les investisseurs indiquent en ligne la quantité d'actions (cinq minimum) et le prix souhaité. Google choisit ensuite le maximum proposé afin, dit-il, que le prix de l'action reflète au mieux la valeur de l'entreprise.

Une fois arrêté le nombre de participants, le prix devrait être fixé en quelques jours et la première cotation pourrait donc intervenir en milieu de semaine prochaine.

"On s'attendait à assister aux premiers échanges la semaine du 9 août", a souligné Scott Kessler, de l'agence de notation Standard and Poor's (SP). Avant de rencontrer des problèmes techniques, Google tablait sur un délai d'une semaine à compter du 30 juillet pour enregistrer toutes les candidatures.

Entrer en Bourse la deuxième quinzaine d'août représente un risque, notent les analystes.

Le volume d'échanges généralement très faible en raison des congés (couplés avec le pont du "Labor Day" tout début septembre) signifie une volatilité accrue pour une action à la marge de progression a priori limitée, si elle est chère au départ.

"Des facteurs externes de court terme, et non des moindres, le récent sentiment négatif suscité par les titres de la technologie et de l'internet en général, plaident encore davantage pour inviter les investisseurs à la prudence", a estimé SP dans une étude publiée cette semaine.

Le portail internet Yahoo!, qui a, de l'avis général, l'activité la plus comparable à celle de Google, a perdu 17% de sa valeur en Bourse depuis les prévisions décevantes émises le 7 juillet en présentant ses résultats.

Après Intel, Amazon.com, InterActiveCorp, Cisco a montré cette semaine que les titres phares du Nasdaq sont attaqués un à un, retombant souvent à leurs plus bas depuis un an.

Selon M. Kessler, les comparaisons avec les concurrents en termes de flux de trésorerie "suggèrent qu'une juste valeur de Google sur le marché pourrait être entre 121 et 127 dollars l'action, ce qui se situe dans la fourchette fournie".

Parlant de prix "raisonnable", l'analyste de SP prend le contre-pied de David Menlow, du site spécialisé IPOfinancial.com, qui critique les ambitions démesurées de Larry Page et Sergey Brin, fondateurs et premiers actionnaires du moteur de recherche.

Avec leurs enchères basées sur un prix élevé, ceux-ci "cherchent à mettre la main sur chaque dollar disponible", juge M. Menlow. Selon lui, les petits investisseurs sont forcément désavantagés.


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Internet: soupçon de cartel entre Deutsche Telekom et Kabel Deutschland



BONN (AFP), le 24-08-2004
Deutsche Telekom et le câblo-opérateur Kabel Deutschland sont impliqués dans une enquête de l'Office anti-cartel sur des soupçons de distorsion de concurrence sur le marché de l'internet à haut débit, a indiqué mardi le président de l'Office.

"On soupçonne qu'il puisse y avoir une restriction (dans les contrats de vente de Kabel Deutschland), que le câblo-opérateur ne puisse pas entrer en concurrence avec Deutsche Telekom dans l'internet rapide", a indiqué le président de l'autorité, Ulf Boege, lors d'une conférence de presse à Bonn (ouest).

Pour l'instant, l'Office n'a "pas encore d'avis définitif" sur la question et mène des "discussions ouvertes" avec Deutsche Telekom, a précisé M. Boege, qui confirmait des informations du quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ).

Kabel Deutschland opère les anciens réseaux de télévision câblée de Deutsche Telekom dans 13 des 16 Etats régionaux allemands. Il avait été racheté au groupe de télécommunications au printemps 2003 par plusieurs fonds d'investissement.

Le groupe télécom a démenti, affirmant par la voix d'un porte-parole que "les contrats avec Kabel Deutschland ne prévoient pas de limitation des activités".

L'Office anti-cartel avait organisé la conférence de presse afin d'expliquer sa décision préliminaire de bloquer le rachat par Kabel Deutschland de ses concurrents dans les 3 Etats allemands où il n'est pas encore présent


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Internet
Une grille des émissions de télévision dans Microsoft Outlook


Calendar Updates a annoncé aujourd'hui le lancement de sa grille des émissions de télévision pour Microsoft Outlook. Ainsi, les utilisateurs de Microsoft Outlook pourront consulter la grille des émissions directement à partir de ce logiciel. Les téléspectateurs pourront facilement ajouter les émissions qui les intéressent à leur calendrier, d'un simple clic. La grille est accessible gratuitement au grand public à l'adresse www.calendar-updates.com
Selon le porte-parole de la société, Greg Titamer : «Nous fournissons déjà plusieurs populaires horaires sportifs pour le calendrier Microsoft Outlook. Grâce à ce nouveau produit, les amateurs peuvent consulter une grille actualisée sans quitter Outlook.»

La caractéristique la plus intéressante de la grille des émissions de télévision de Calendar Updates est la capacité d'ajouter n'importe quelle émission directement au calendrier d'Outlook. L'utilisateur consulte la grille, puis ajoute à son calendrier les émissions qui l'intéressent en cliquant sur l'icône «calendrier» de la grille. Ainsi, l'émission est ajoutée au calendrier de l'utilisateur, avec un aide-mémoire commode.





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Les Etats-Unis de loin premier exportateur mondial de spam



NEW YORK (AFP), le 25-08-2004
Les Etats-Unis sont de loin le premier exportateur mondial de courriels indésirables (pourriels ou spam), devant la Corée du sud et la Chine, tandis que le Canada, cinquième, a réussi en six mois à diviser par deux ses expéditions, selon une étude de la firme de sécurité Sophos.

Quelque 42,5% des spam reçus dans les messageries électroniques à travers le monde proviennent des Etats-Unis, précise cette étude publiée mardi, soulignant le peu d'impact qu'a eu le Can-Spam Act, la loi fédérale entrée en vigueur en janvier pour combattre ce fléau.

"Six mois et des millions de spam plus tard, il est assez évident que la loi Can-Spam a très peu fait avancer son objectif d'endiguer le flot de messages non sollicités", a commenté Chris Kraft, expert du sujet chez Sophos.

Derrière les Etats-Unis, viennent au classement des plus gros exportateurs la Corée du sud (15,4%) puis la Chine incluant Hong Kong (11,6%) et le Brésil (6,2%).

Le Canada, qui se classe cinquième, a fait des progrès en parvenant à diviser par deux --à 2,91% contre 6,8% il y a six mois-- le nombre de pourriels envoyés depuis son territoire, ajoute l'éditeur de solutions de sécurité informatique.

En Corée du sud, le phénomène est inverse. "Ce pays, premier au monde par la proportion d'internautes connectés au haut débit, a presque triplé son pourcentage depuis février", selon Sophos.

Dans ce classement, figurent 12 pays représentant 88% des expéditions mondiales de spam. Le Japon arrive 6ème (2,87%) devant l'Allemagne (1,28%), la France (1,24%), l'Espagne (1,16%), le Royaume-Uni (1,15%), le Mexique et Taïwan (chacun moins de 1%).

Les expéditeurs de spam prennent de plus en plus en otage les ordinateurs de tierces personnes, intermédiaires malgré elles d'environ 40% des expéditions illégales, a encore indiqué Sophos.


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   Posté le 26-08-2004 à 11:49:04   Voir le profil de bambi (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à bambi   

Internet
La police veut l'aide d'Ottawa dans sa lutte contre les crimes électroniques
Presse Canadienne (PC) Greg Joyce



Les chefs de police du Canada ont demandé lundi au gouvernement fédéral des amendements au Code criminel qui les aideraient à combattre la criminalité électronique.
La requête de l'Association canadienne des chefs de police n'est pas nouvelle, mais lundi le président de l'organisme Edgar McLeod a lancé un nouvel appel, en affirmant que la législation actuelle était dépassée et «constituait une menace sérieuse pour la sécurité des citoyens».

M. McLeod, qui est aussi chef du Service régional de police de Cap-Breton, en Nouvelle-Ecosse, a ajouté que la police perdait du terrain dans sa lutte contre la criminalité, à cause de règlements adoptés en 1974, alors que les téléphones fonctionnaient toujours à cadrans.

«La technologie a progressé depuis ce temps, mais les lois n'ont pas suivi, a déclaré M. Edgar, en marge de la conférence annuelle de l'association. Le temps est venu de faire quelque chose.»

Les corps policiers voudraient des changements au code qui rendraient plus facile l'obtention de mandats pour lire les courriels de suspects, suivre leurs allées et venues sur Internet et écouter leurs conversations sur téléphones cellulaires ou sur Internet. Le combat contre la pornographie infantile et l'exploitation des enfants sont au centre de leurs préoccupations, disent-ils.

Pour le moment, les demandes des chefs de police semblent trouver un certain écho au sein du gouvernement. La semaine dernière, la ministre de la Sécurité publique Anne McLellan affirmait devant l'Association des commissions de police que «son ministère étudiait sérieusement la question».

L'industrie des télécommunications n'est pas convaincue cependant que des changements au Code criminel soient nécessaires pour combattre la criminalité sur Internet.

«Les lois actuelles peuvent très bien s'appliquer à ce genre de criminalité, affirme Robert Guerra, directeur de Privateer, une organisation qui se présente comme une coalition de professionnels en informatique et de défenseurs des droits de la personne. Les policiers ont les pouvoirs d'agir en matière de crime électronique, mais ils doivent d'abord obtenir l'autorisation d'un juge avant d'intercepter des conversations sur Internet.»

Peter Barnes, président de l'Association canadienne des télécommunications, affirme pour sa part qu'il en coûterait extrêmement cher à l'industrie pour satisfaire les chefs de police.

«Quelle que soit la solution choisie, il nous faudra trouver une façon de payer pour le temps et les efforts techniques qui seront nécessaires pour conserver les informations demandées par la police», soutient M. Barnes.

«C'est très compliqué comme travail, et très coûteux aussi. A mon avis, nos clients n'ont pas à subventionner une telle entreprise policière.»





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   Posté le 26-08-2004 à 11:49:42   Voir le profil de bambi (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à bambi   

Sécurité Internet
Quand sophisme et marketing vont de pair
Nelson Dumais collaboration spéciale -Journal de Montréal


On se croirait en philo 101 en train de lire Socrate pour les nuls. «Si tu ne l’as pas bloqué, tu l’as reçu et lu. — Tu ne l’as pas bloqué? Donc tu l’as lu!» J’exagère à peine en imaginant ce sophisme pour caractériser l’approche marketing de Rampall Software, une entreprise du Massachusetts qui fabrique DidTheyReadIt?
Je vous parle ici d’un service Internet disponible chez nous (www.didtheyreadit.com), un service à prix raisonnable grâce auquel on peut savoir si nos correspondants ont soi-disant bel et bien lu nos courriels.

«Big-brotherisme» ou simplisme?
La techno est simple. De façon transparente, un petit témoin (cookie) est rattaché à nos courriels et en informe le serveur de Rampall dès leur réception dans les ordinateurs des destinataires.

Dans la minute même, le serveur nous envoie un «rapport» comme quoi telle machine située à telle adresse IP et utilisant tel fureteur sous tel système d’exploitation a reçu à telle heure notre message envoyé à telle autre heure.

Évidemment, des gens crient au «big-brotherisme» ou au cafardage (Rampall est effectivement spécialisée dans ce genre de produit). Car avec cette bricole, plus moyen de prétendre qu’un courriel n’a jamais été reçu ; le principe est un peu similaire à celui du courrier recommandé.

Voilà pourquoi je me suis livré à quelques tests, ce qui m’a permis de me rendre compte que ce service ne changeait pas grand-chose. Qu’il s’agissait d’une tempête dans un verre d’eau. Ou presque!

Tant et aussi longtemps qu’un courriel visé par DidTheyReadIt? n’est pas ouvert, le serveur de Rampall n’en est pas avisé.

Mais aussitôt que, dans la liste des nouveaux courriels reçus, vous lui placez son titre en surbrillance soit pour le détruire sans le lire, soit pour le consulter plus tard avec 72 autres messages qui, selon vous, ont la même priorité, soit pour l’envoyer dans votre poubelle antipourriel, le témoin entre en action et informe l’expéditeur que son courriel a été lu.

Sauf qu’il ne l’a jamais été et ne le sera peut-être jamais.

Pas vraiment utile
J’ai fait part de ce constat aux gens de Rampall et leur ai demandé pourquoi ils avaient appelé leur service DidTheyReadIt? (L’ont-ils lu?) au lieu de DidTheyReceiveIt? (L’ont-ils reçu?).

Leur réponse a été très franche. Le mot «read» a été préféré à «receive» pour d’évidentes raisons de marketing.

«We believe DidTheyReadIt? is a catchier name (un nom qui frappe davantage)», m’a écrit un porte-parole de l’entreprise.

Bref, Rampall offre un service en apparence utile, mais qui ne l’est pas vraiment. Car DidTheyReadIt? permet de prouver qu’un courriel a été reçu mais n’indique en rien qu’il a été lu.

Vous croirez que tel chef du personnel a lu le CV que vous lui avez fait parvenir par courriel alors qu’il n’a fait que le placer à la corbeille.

Demandez aux experts, la seule façon de prouver hors de tout doute qu’un courriel a été lu est que le destinataire clique sur un bouton de confirmation que l’expéditeur aurait placé au bas de son courriel.

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   Posté le 26-08-2004 à 11:50:18   Voir le profil de bambi (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à bambi   

Moteur de recherche
La barre Google
Pierre Boisvert collaboration spéciale -Journal de Montréal

Google, on le sait, offre des services de recherches en ligne grâce, notamment, à son puissant moteur de recherche. Si vous faites partie des dizaines de millions d’utilisateurs de Google, vous pourriez peut-être envisager d’insérer la barre Google à la barre d’outils de votre navigateur Internet…
Cet utilitaire, offert gratuitement par Google, se présente sous la forme d’une barre d’outils qui vient se greffer à celles de votre navigateur Web. De cette façon, elle reste constamment à la portée lorsque l’on a besoin d’effectuer des recherches.

En plus de faire les recherches dans Google sans qu’on ait à se rendre sur le site Web du populaire moteur de recherche, cette barre d’outils offre des avantages multiples. Ainsi, cette petite application permet à son utilisateur de gagner du temps grâce à une fonction de navigation par nom. Cette dernière consiste à saisir des noms à la place des adresses Web (URL). Naturellement, le principal avantage de cet outil est de permettre de lancer des recherches sur le Web à partir du site que l’on visite.

Les recherches s’affichent dans votre navigateur de la même façon qu’elles s’afficheraient si vous vous étiez sur le site Web de Google. Un surligneur, qui a pour tâche de mettre en évidence les termes de la recherche, facilite la lecture des informations repérées.

Autre fait intéressant, la barre Google offre l’avantage d’éliminer certains irritant de la navigation Web comme les fenêtres pop-up. Plusieurs apprécieront cette fonction. Comme sur le site Web, l’outil de recherche permet de limiter sa recherche aux pages d’un pays en particulier.

Il est également possible de facilement personnaliser la présentation de la barre d’outils, et la mise à jour de l’application se fait automatiquement.

Un ajout indispensable pour tous ceux qui utilisent régulièrement la page de recherche de Google.

Barre d’outils Google
Nécessite: Windows 95 ou plus récent. L’option Blocage de pop-up est disponible pour Internet Explorer 5.5 ou plus récent.
Coût: gratuit sur le site Google:
http://toolbar.google.com/intl/fr/

La grosse mise à jour
Microsoft devrait rendre disponible dans un avenir très proche la plus importante mise à jour jamais effectuée pour l’un de ses systèmes d’exploitation. S’adressant aux utilisateurs de Windows XP, cette mise à jour, connue sous le nom de SP2 (Service Pack 2), risque d’en surprendre plus d’un.

À la base de cette imposante mise à jour, c’est la sécurité des utilisateurs qui a été prise en considération. Conséquemment, lorsque cette dernière sera installée, le logiciel effectuera d’office une foule de modifications qui auront pour but de sécuriser l’environnement Windows. Ainsi, les paramètres de sécurité seront alors réglés à leur plus haut niveau. Naturellement, plusieurs utilisateurs de Windows XP auront à configurer les différents outils de sécurité de Windows pour continuer leurs activités normales lorsqu’elles utilisent des services Internet.

De plus, des dizaines de logiciels populaires risquent de subir les contrecoups de cette mise à jour. On en trouve la liste sur le site de Microsoft.

Présentement, une version du SP2 est disponible sur le site de Microsoft. Cette version, du SP2 français, a été conçue pour les informaticiens et les développeurs. Cette dernière permet, par exemple, de mettre à jour plusieurs PC sur un réseau. Microsoft recommande aux particuliers d’attendre la publication de la mise à jour « moins volumineuse et plus appropriée » qui sera rendue disponible (probablement en septembre) au moyen de Windows Update ou de la fonction « Mises à jour automatiques » de Windows.

En attendant, et afin d’être prêt à vivre ce passage à SP2 en toute sérénité, pourquoi ne pas se renseigner sur le site de Microsoft ?

Windows XP, SP2
Nécessite: Windows XP
Coût: gratuit
www.microsoft.com/canada/french/



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   Posté le 27-08-2004 à 12:33:23   Voir le profil de bambi (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à bambi   

Internet
Des «spammeurs» arrêtés aux États-Unis
Associated Press (AP)


Le département américain de la Justice a procédé à une série d'arrestations visant des pourvoyeurs de courriers électroniques indésirables (spams ou pourriels en français) dans le cadre d'une campagne nationale de répression contre l'escroquerie sur Internet, a annoncé mercredi une association de professionnels du marketing.
La Direct Marketing Association, qui a proposé 500 000 dollars pour aider le FBI et le département de la Justice dans leur enquête, a précisé que les arrestations faisaient suite à un an d'investigations. Les détails de l'opération «Slam Spam» devraient être annoncés jeudi.

Plus d'une centaine de personnes ont été arrêtées et des mandats de perquisition émis. L'enquête porte sur de nombreux cas de «phishing», terme qui désigne des courriels qui semblent provenir d'institutions financières et d'autres entreprises légales mais qui sont en fait un moyen frauduleux utilisé pour amener l'utilisateur à communiquer son numéro de carte bancaire et d'autres informations personnelles. Cette campagne de répression porte également sur des cas de pornographie et l'utilisation de spams pour infecter les ordinateurs avec des virus.

Les autorités sont également intervenues contre un réseau présumé d'échange illégal de fichiers protégés par des droits d'auteur. Des mandats de perquisition ont été exécutés par le FBI au Texas, dans l'État de New York et dans le Wisconsin, ciblant des serveurs informatiques permettant d'échanger illégalement de la musique, des films, des logiciels et des jeux.

Les mandats de perquisition visaient les opérateurs du réseau plutôt que les utilisateurs, a précisé le FBI.



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   Posté le 27-08-2004 à 12:34:13   Voir le profil de bambi (Offline)   http://www.hitgratuit.org/membres/Funtasia/in.php3?id=7   Envoyer un message privé à bambi   

Internet
Lutte efficace du Canada contre le spam
Canoë

Sophos, un des leaders mondiaux des éditeurs de logiciels antivirus et anti-spam d'entreprise, a dévoilé cette semaine les résultats de sa dernière enquête sur les pays d'où sont émis la plupart des messages de spam.
Ses experts ont analysé l'ensemble des messages de spam reçus par son réseau mondial de «pots de miel» (honeypots) et en ont extrait la liste des douze principaux pays émetteurs.

Les États-Unis dominent largement ce classement, avec 42,53% du spam diffusé dans le monde.

«Près de neuf mois après le vote le la loi dite «CAN-SPAM», la tentative des États-Unis d'adapter sa législation anti-spam n'a eu que peu d'effet. Le pays reste de loin le plus gros émetteur de spam dans le monde», commente Annie Gay, directrice générale de Sophos France. «Le Canada, lui, a fait quelques progrès et divisé par deux sa part du spam émis dans le monde, de 6,8% il y a six mois à 2,9% aujourd'hui.»

«La seule motivation des spammeurs est de voir grossir mois après mois leur compte en banque. Beaucoup d'entre eux se sont lancés dans le piratage d'ordinateurs appartenant à des utilisateurs innocents pour envoyer leurs messages», poursuit Annie Gay. «Une grande partie des PC à l'origine des envois de spam voient en fait leur connexion à haut débit exploitée à distance par des pirates. Ces ordinateurs «zombies» (des PC infectés par des pirates ou des auteurs de virus) émettent environ 40% du spam dans le monde, à l'insu de leurs propriétaires.»

Sophos recommande aux utilisateurs de ne pas acheter de produits par l'intermédiaire de messages non sollicités, et d'installer sur leur passerelle de messagerie une solution globale capable de les protéger à la fois contre le spam et les virus.

«Plusieurs mesures ont été suggérées pour venir à bout du spam (depuis la facturation de l'envoi des courriels jusqu'à la création des mécanismes d'authentification de l'expéditeur), mais elles ne suffiront pas à résoudre le problème. Seule une combinaison de technologies, de législations internationales et de changements du comportement des usagers permettra d'arrêter le spam», conclut Annie Gay.

Liste des pays:



42,53% États-Unis
15,42% Corée du Sud
11,62% Chine (& Hong-Kong)
6,17% Brésil
2,91% Canada
2,87% Japon
1,28% Allemagne
1,24% France
1,16% Espagne
1,15% Royaume-Uni
0,98% Mexique
0,91% Taiwan
11.76% Autres



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