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|  Posté le 03-07-2004 à 11:52:07   
| PGA - Triple égalité en tête de l'omnium Western; Woods se qualifie à la peine
Presse Canadienne
Tiger Woods a vu sa balle accrocher le sommet d'un saule et tomber 30 verges devant lui. Un autre élan a fait avancer la balle de quelques pieds. Finalement, à sa troisième tentative, il a dégagé l'allée, toujours à 40 verges du fanion.
S'il y avait une journée où sa séquence extraordinaire de qualification pour les deux dernières rondes aurait pu prendre fin, c'est bien celle-là. Mais comme il l'a si souvent fait, Woods s'est sorti d'impasse vendredi, calant un coup roulé de 60 pieds pour obtenir ses deux premiers birdies consécutifs qui lui ont permis de sauver la mise à l'omnium Western.
"Il suffit de toujours faire de son mieux, a-t-il dit. Les vieux avaient l'habitude de dire: `Tu ne peux donner des demi-mesures'. Il faut toujours donner son maximum et c'est la façon dont j'ai toujours joué."
Woods a terminé la journée avec une carte de 73 pour un total de 143 après deux rondes, ce qui lui a permis de se qualifier pour le week-end pour une 126e fois consécutive, la plus longue séquence dans l'histoire de la PGA.
"On pourrait croire qu'il se retrouve dans une situation où il est tellement acculé au pied du mur qu'il est presque impossible de s'en sortir, et pourtant il trouve une façon de s'en tirer, a mentionné Charles Howell III, le co-meneur avec Matt Gogel et Steve Lowery.
"Je pense honnêtement qu'on peut lui attacher une main dans le dos et lui demander de jouer en gaucher, et il trouverait le moyen de se qualifier."
Stephen Ames est le seul Canadien à s'être qualifié pour la suite du tournoi. Le golfeur de Calgary a ramené une carte de 73 et il accuse un recul de quatre coups derrière les meneurs, tandis que Mike Weir de Bright Grove s'est contenté d'un 78 pour un total de 152.
Même s'il a été à la peine pendant les deux premières rondes, Woods n'est pas largué.
Howell (67), Gogel (64) et Lowery (68) ont seulement sept coups d'avance, à 136. Le meneur de la première ronde Loren Roberts se retrouve à trois coups après une ronde de 75.
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| Posté le 03-07-2004 à 11:52:48
| Boxe - Leonard Dorin prédit une véritable bagarre contre Gatti
Presse Canadienne
L'ex-champion des poids légers Leonard Dorin deviendra citoyen canadien, lundi, mais il devra attendre un peu avant de célébrer.
Et pour cause, puisque Dorin disputera le plus important combat de sa carrière lorsqu'il montera dans le ring, le 24 juillet, à Atlantic City, pour affronter le spectaculaire bagarreur Arturo Gatti, un montréalais d'origine qui est devenu l'un des boxeurs les plus populaires de la planète.
"Peu importe qui gagne, ce sera un titre pour Montréal, a confié Dorin, vendredi, après son entraînement. Quand je suis arrivé au Canada (en 1998) et que j'ai vu Gatti, je me suis dit: `Wow, quel formidable boxeur'.
"Maintenant, mon rêve de l'affronter se concrétise."
Dorin, son épouse Monica, et leurs trois enfants ont rendez-vous au bureau de la citoyenneté, lundi, pour prêter serment comme nouveaux Canadiens.
Il n'a pas renié son pays d'origine, la Roumanie, mais ses deux enfants les plus âgés, Adrian, 9 ans, et Alexander, 6 ans, parlent couramment français et ils se sont adaptés à la vie nord-américaine. Sa plus jeune, Vanessa, est née en octobre.
"Je suis très fier, pour moi et pour mes enfants, a poursuivi le boxeur de 34 ans. Deux d'entre eux sont nés ici, c'est donc normal que je devienne Canadien."
Et une victoire aux dépens de Gatti assurerait Dorin d'au moins quelques autres combats d'importance à la télévision américaine à l'avenir.
Opposer Gatti (37-6) et Dorin (22-0-1) n'a demandé aucun effort pour le promoteur de Gatti (Main Event), le promoteur de Dorin (InterBox) et le réseau câblé américain HBO. Les téléspectateurs ont démontré qu'ils aiment le style bagarreur de Gatti.
Dorin, même s'il n'est pas aussi connu, a montré le même genre de courage en remportant, le 5 janvier 2002, le titre des poids légers de l'Association mondiale de la boxe contre l'Argentin Raul Balbi lors d'un combat sanglant où les deux boxeurs ont échangé plus de 2000 coups.
Il avait défendu sa couronne de façon convaincante contre ce même Balbi, en Roumanie, quatre mois plus tard. Dorin avait de nouveau été impressionnant au printemps 2003 lorsqu'il a livré un verdict nul au champion de l'IBF, Paul Spadafora.
Il a perdu sa ceinture des poids légers lorsqu'il a été incapable de respecter la limite des 135 livres en vue d'un combat contre la Panaméen Miguel Callist à Bucarest, l'automne dernier.
"J'espère que c'est ce que les gens veulent _ voir du sang et beaucoup de coups, a précisé Dorin, qui a participé aux Jeux olympiques au sein de l'équipe roumaine. Ils veulent voir de la boxe comme dans le bon vieux temps et c'est ce qu'ils auront.
"Peu importe qui l'emportera. Ce sera un bon combat pour les amateurs. Ce sera comme revenir 50 ans en arrière. Du sang et des coups à profusion. C'est ça la boxe."
Dorin poursuit son entraînement à Montréal et il se rendra aux Etats-Unis le 18 juillet pour finaliser sa préparation.
Après le combat, il pensera à sa nouvelle citoyenneté.
"Je célébrerai après le combat, a-t-il dit. Pour l'instant, je ne consomme pas de bière. "Seulement de l'eau."
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| Posté le 04-07-2004 à 11:45:06
| Le retour de Ezra Landry lance les Alouettes
Presse Canadienne | Le 4 juillet 2004 - 00:36
Ezra Landry a traversé le terrain d'un bout à l'autre après une tentative de placement raté, samedi soir, et les Alouettes de Montréal ont soutiré une victoire de 19-9 face aux Argonauts de Toronto.
Landry, qui mesure cinq pieds quatre pouces et pèse 160 livres, a semé la consternation parmi les 23 923 spectateurs réunis au SkyDome lorsqu'il a capté le ballon après la tentative de placement de 49 verges de Noel Prefontaine à 9:51 du troisième quart.
Le diminutif spécialiste des retours de bottés a franchi la distance de 110 verges, brisant de ce fait l'égalité de 9-9.
Les Alouettes, qui détenaient une avance de 9-3 après 30 minutes de jeu, ont arraché Landry de l'unité d'entraînement des Eskimos d'Edmonton la semaine dernière.
Matt Kellett, le botteur de précision des Alouettes, a confirmé la victoire en inscrivant un placement de 26 verges à mi-chemin du dernier quart.
Kellett avait auparavant réussi des placements de 37, 27 et de 25 verges, en première demie.
Prefontaine a obtenu deux placements et un simple. Les Argonauts ont marqué leurs deux autres points à la suite d'un touché de sûreté concédé par Kellett, en première demie.
Avec ce triomphe, les Alouettes (3-0) ont rejoint les Renegades d'Ottawa au premier échelon du classement de la division Est. Les deux clubs s'affronteront pour la première fois de la saison, vendredi soir prochain, à Montréal.
De leur côté, les Argonauts (1-2) sont demeurés au quatrième et dernier rang de la division Est.
A leurs deux derniers matchs, face aux Renegades et aux Alouettes, ils n'ont inscrit que 19 points, et aucun touché.
Le majeur de Landry a ajouté du piquant à un match dominé par des défenses tenaces, de sévères plaqués et de puissants bottés de dégagement, alors que les deux formations bataillaient pour obtenir la meilleure position possible sur le terrain.
Le vétéran quart Damon Allen a quitté la rencontre tôt au dernier quart après avoir été plaqué par Duane Butler, des Alouettes, derrière la ligne de mêlée.
Allen (10-en-29, 108 verges) a cédé sa place à Michael Bishop, dont la première passe a été interceptée.
Les Argonauts ont raté une chance en or de prendre les devants au troisième quart, après que Antonious Bonner eut récupéré un échappé de Dave Stalla et retourné le ballon jusqu'à la ligne de sept des Alouettes.
Mais après une passe incomplète et une perte de neuf verges, les Argonauts ont dû se contenter d'un placement de 23 verges de Prefontaine, qui leur permettait néanmoins de créer l'égalité 9-9.
Avec deux minutes à jouer à la dernière période et le ballon à la ligne de 45 des Alouettes, le demi de sûreté Barron Miles a intercepté une passe de Bishop dans la zone des buts.
Les Alouettes l'ont emporté malgré l'absence de Jeremaine Copeland. Le receveur vedette a raté un deuxième match consécutif en raison d'une blessure à une cuisse.
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| Posté le 04-07-2004 à 11:45:51
| Baseball - Halladay blanchit les Expos et les Jays gagnent 2-0
Presse Canadienne | Le 4 juillet 2004 - 00:35
Roy Halladay est de nouveau en santé et en forme. Les Expos l'ont appris à leurs dépens samedi quand le droitier format géant a espacé cinq coups sûrs en sept manches pour permettre aux Blue Jays de Toronto de battre leurs rivaux canadiens 2-0 devant une autre foule peu impressionnante de 8831 spectateurs au Stade Hiram Bithorn.
Halladay (7-5) en était à son troisième départ après un séjour sur la liste des blessés. Il lançait des balles de feu. Il a retiré six frappeurs sur des prises et n'a donné qu'un seul but sur balles.
Son joueur de troisième but Eric Hinske lui a donné un sérieux coup de main en attaque avec quatre coups sûrs, dont deux doubles, égalant ainsi une marque personnelle.
Il a marqué les deux points des siens, chaque fois à la suite de simples de Chris Gomez.
La veille, c'est Livan Hernandez qui avait blanchi l'adversaire quand les Expos l'avaient emporté 2-0.
Halladay a eu le dessus sur Tony Armas (1-3), qui a bien fait durant le peu de temps qu'il a passé au monticule. Il a quitté après un délai de 36 minutes à cause de la pluie.
En quatre manches, Armas n'a permis que quatre coups sûrs et un seul point. Mais c'était déjà trop face au gagnant du trophée Cy Young dans la Ligue américaine, l'an dernier, et qui était en possession de tous ses moyens.
Armas a rivalisé coup pour coup avec Halladay au cours des premières manches, même après avoir accordé deux simples aux Jays en première.
Mais en quatrième, il a cédé un double à Hinske, un coup le long de la ligne du premier.
Quelques instants plus tard, soit après un but sur balles et un retrait sur des prises, Hinske inscrivait le premier point à la suite d'un simple de Gomez.
Il y a bien eu un jeu au marbre, mais le relais de Brad Wilkerson, qui n'était ni bon ni mauvais, est arrivé trop tard.
Après la pluie, les Expos ont bousillé une belle chance en fin de quatrième. Tony Batista était installé au premier quand Orlando Cabrera a frappé une chandelle derrière le marbre.
Gregg Zaun a capté la balle à genoux près de la grille. Batista, on se demande bien pourquoi, s'était éloigné du premier coussin et il a été doublé facilement.
Armas n'est pas revenu au monticule. Il n'avait effectué que 69 tirs, mais vu qu'il avait déjà sauté un tour après s'être plaint de raideurs à l'épaule après son départ du 24 juin, on n'a voulu prendre aucun risque.
T.J. Tucker a connu une manche sans histoire en cinquième, mais Sun-Woo Kim a été accueilli par un autre double de Hinske dans la droite, son troisième coup sûr du match, en sixième.
Et le scénario ressemblait étrangement à celui de la quatrième reprise quand, après deux retraits, Gomez y est allé d'un autre simple au centre pour pousser Hinske au marbre une autre fois.
Gomez a obtenu un autre simple en neuvième face à Luis Ayala, son troisième coup sûr du match.
Après deux retraits en septième, Carl Everett a redonné espoir aux Expos avec un solide simple dans la droite et Brian Schneider a soutiré un but sur balles.
Mais Halladay a retiré le frappeur suppléant Terrmel Sledge pour mettre fin à ce semblant de remontée.
Vinnie Chulk et Jason Frasor ont fermé la porte pour les Jays dans les dernières manches.
Frasor, une recrue, a mérité un huitième sauvetage, son deuxième face aux Expos.
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| Posté le 04-07-2004 à 17:47:44
| Finale de l'Euro-2004 Grèce-Portugal: les Portugais sont prévenus
LISBONNE (AFP), le 04-07-2004
L'effet de surprise dont a largement bénéficié la sélection grecque depuis le début de l'Euro-2004 de football ne jouera pas face au Portugal, dimanche soir à Lisbonne, pour une finale dont seule désormais l'affiche est inattendue.
Qui eut dit il y a trois semaines que la rencontre décisive pour l'attribution du titre européen serait la réplique exacte du match inaugural que le Portugal, grand favori, avait perdu (2-1) à la surprise générale contre une Grèce alors considérée comme très menu fretin?
Nul n'attendait les Hellènes à ce rendez-vous. Jamais, au long de leur parcours, ils n'ont eu la faveur du pronostic. Toujours, le style de jeu, tout de sueur, d'abnégation et de réalisme, imposé par leur entraîneur allemand Otto Rehhagel était jugé obsolète, vraiment trop fruste.
Sans avoir rien concédé à l'esthétisme, les Grecs ont néanmoins écrit la première ligne d'un palmarès international jusqu'alors vierge de toute performance notoire. Reste seulement à savoir si ce sera en lettres d'or ou d'argent.
La présence en finale du Portugal, pays organisateur, est moins insolite, même si la Selecçao n'avait encore jamais disputé l'ultime rencontre d'un tournoi majeur.
Elle s'en était au moins approchée en n'échouant à trois reprises qu'en demi-finale (Euros 1984 et 2000, Mondial 1966).
Ce passé, le soutien acquis du public et l'expérience de son entraîneur Luiz Felipe Scolari, l'homme qui a mené en 2002 le Brésil à son cinquième titre mondial, font du Portugal un favori logique.
C'est bien ce qu'il doit craindre. Car, face à la Grèce, la France puis la République tchèque l'étaient tout autant, voire davantage. Elles n'en sont tombées que de plus haut.
Le programme de la finale dimanche:
(19h45 locales, 18h45 GMT): Portugal - Grèce, à Lisbonne (stade da Luz)
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| Posté le 04-07-2004 à 17:48:33
| Cyclisme: Cancellara remporte le prologue du Tour de France devant Armstrong
LIEGE (AFP), le 04-07-2004
Le Suisse Fabian Cancellara (Fassa Bortolo), un débutant dans le Tour de France cycliste, a endossé samedi le premier maillot jaune de l'édition 2004 après sa victoire dans le prologue de Liège devant l'Américain Lance Armstrong.
Dimanche, le Tour de France ignore les côtes des grandes classiques dans sa première étape wallonne qui relie Liège à Charleroi sur la distance de 202,5 kilomètres.
Samedi, dans le prologue, le coureur suisse Cancellara, qui est âgé de 23 ans, a réussi des débuts fracassants en s'imposant à plus de 53 km/h de moyenne. Il a devancé de deux secondes Armstrong, au terme des 6100 mètres du parcours tracé dans la ville de Liège.
L'Espagnol Jose Ivan Gutierrez, champion de son pays du contre-la-montre, a pris la troisième place, à 8 secondes, devant une foule plus nombreuse encore que les prévisions des autorités locales (200.000 personnes).
L'Australien Brad McGee, vainqueur du prologue du Tour l'an passé, s'est classé quatrième, à 9 secondes. Il a été légèrement désavantagé par quelques gouttes de pluie qui sont tombées à son passage.
Dans ce prologue, Armstrong a fait sensiblement mieux que ses rivaux directs pour la victoire finale.
Le quintuple vainqueur du Tour a pris 15 secondes à l'Allemand Jan Ullrich et 16 secondes à l'Américain Tyler Hamilton.
Par rapport au Texan, l'Espagnol Iban Mayo a cédé 19 secondes et son compatriote Roberto Heras 35 secondes. L'Italien Ivan Basso a déboursé pour sa part 27 secondes.
Cancellara, professionnel depuis 2001, s'est classé cette année 4e de Paris-Roubaix. Il a gagné la semaine passée le titre de champion de Suisse du contre-la-montre.
"Je pensais bien finir sur le podium car c'était un parcours pour les gros rouleurs", a déclaré le Suisse après avoir franchi la ligne. "Il fallait un peu de chance avec le vent changeant. J'attends avec impatience les prochains jours".
Les classements du prologue
1. Fabian Cancellara (SUI/FAS) les 6,1 km en 6:50.(moyenne: 53,6 km/h) 2. Lance Armstrong (USA/USP) à 0:02.3. Ivan Gutierrez (ESP/BAL) 0:08.4. Bradley McGee (AUS/FDJ) 0:09.5. Thor Hushovd (NOR/C.A) 0:10.6. Oscar Pereiro (ESP/PHO) 0:11.7. Jens Voigt (ALL/CSC) 0:11.8. Christophe Moreau (FRA/C.A) 0:12.9. Bobby Julich (USA/CSC) 0:12.10. George Hincapie (USA/USP) 0:12.11. José Enrique Gutierrez (ESP/PHO) 0:14.12. Angel Vicioso (ESP/LIB) 0:15.13. Levi Leipheimer (USA/RAB) 0:15.14. Carlos Sastre (ESP/CSC) 0:15.15. Kurt Asle Arvesen (NOR/CSC) 0:16.16. Jan Ullrich (ALL/MOB) 0:17.17. Floyd Landis (USA/USP) 0:18.18. Tyler Hamilton (USA/PHO) 0:18.19. Viacheslav Ekimov (RUS/USP) 0:19.20. Andrea Peron (ITA/CSC) 0:19.21. Danilo Hondo (ALL/GRL) 0:19.22. Marc Wauters (BEL/RAB) 0:19.23. Santos Gonzalez (ESP/PHO) 0:19.24. Andreas Kloeden (ALL/MOB) 0:19.25. Daniel Becke (ALL/BAL) 0:20.26. Iban Mayo (ESP/EUS) 0:21.27. Igor Gonzalez Galdeano (ESP/LIB) 0:21.28. Tom Boonen (BEL/QST) 0:21.29. Benjamin Noval (ESP/USP) 0:22.30. Vladimir Karpets (RUS/BAL) 0:22..... Classements annexes:
. Points (général): 1. Fabian Cancellara (SUI/FAS) 15 pts2. Lance Armstrong (USA/USP) 123. Ivan Gutierrez (ESP/BAL) 104. Bradley McGee (AUS/FDJ) 85. Thor Hushovd (NOR/C.A) 66. Oscar Pereiro (ESP/PHO) 57. Jens Voigt (ALL/CSC) 48. Christophe Moreau (FRA/C.A) 39. Bobby Julich (USA/CSC) 210. George Hincapie (USA/USP) 1 . Equipes (étape): 1. US Postal 21:02.2. CSC à 0:06.3. Phonak 0:11.4. Fassa Bortolo 0:14.5. Baléares 0:18. . Equipes (général): 1. US Postal 21:02.2. CSC à 0:06.3. Phonak 0:11.4. Fassa Bortolo 0:14.5. Baléares 0:18.6. Crédit Agricole 0:20.7. Rabobank 0:26.8. Liberty 0:29.9. T-Mobile 0:30.10. fdjeux.com 0:31.11. Gerolsteiner 0:37.12. Euskaltel 0:40.13. Cofidis 0:43.14. Domina Vacanze 0:44.15. AG2R 0:50.16. La Boulangère 0:51.17. Quick Step 0:56.18. Lotto 1:05.19. Saeco 1:05.20. Alessio 1:06.21. RAGT 1:12.
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| Posté le 04-07-2004 à 17:50:50
| F1: Michael Schumacher remporte le Grand Prix de France
MAGNY-COURS (AFP), le 04-07-2004
Michael Schumacher (Ferrari) a remporté le Grand Prix de France, dixième épreuve du Championnat du monde de Formule 1, dimanche sur le circuit de Nevers/Magny-Cours.
L'Allemand a enlevé sa neuvième victoire de la saison, la soixante-dix-neuvième de sa carrière, en devançant l'Espagnol Fernando Alonso (Renault) et le Brésilien Rubens Barrichello (Ferrari) qui a arraché la troisième place sur le podium en dépassant l'Italien Jarno Trulli (Renault) dans le dernier tour, à quelques hectomètres de l'arrivée seulement.
Pourtant, Alonso et Renault croyaient en leurs chances, le pilote espagnol menant la course trente-six tours sur les soixante-dix de l'épreuve. Mais il n'y a décidément rien à faire contre le sextuple champion du monde, contre la Scuderia.
Au prix d'une stratégie audacieuse, quatre arrêts contre trois à ses adversaires, Michael Schumacher parvenait à repousser Alonso et Renault et filait vers un nouveau succès.
Tandis que derrière, Barrichello s'imposait à Trulli et Jenson Button (BAR-Honda), les deux McLaren-Mercedes de David Coulthard et Kimi Raikkonen terminant aux 6e et 7e places devant Juan Pablo Montoya (Williams- BMW).
"C'est après le deuxième arrêt que nous avons décidé de passer de trois à quatre arrêts. C'était un peu optimiste mais sans risque, il n'y a pas de plaisir", se réjouissait le vainqueur.
Michael Schumacher et Ferrari creusaient un peu plus l'écart sur leurs adversaires, Renault confortant sa deuxième place chez les constructeurs.
Le classement du GP de France: 1. Michael Schumacher (ALL/Ferrari), les 308,586 km en 1 h 30:18.133(moyenne: 205,035 km/h) 2. Fernando Alonso (ESP/Renault) à 8.3293. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) à 31.6224. Jarno Trulli (ITA/Renault) à 32.0825. Jenson Button (GBR/BAR-Honda) à 32.4846. David Coulthard (GBR/McLaren-Mercedes) à 35.5207. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) à 36.2308. Juan Pablo Montoya (COL/Williams-BMW) à 43.4199. Mark Webber (AUS/Jaguar-Cosworth) à 52.39410. Marc Gene (ESP/Williams-BMW) à 58.16611. Christian Klien (AUT/Jaguar-Cosworth) à 1 tour12. Giancarlo Fisichella (ITA/Sauber-Petronas) à 1 tour13. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) à 1 tour14. Cristiano Da Matta (BRE/Toyota) à 1 tour15. Olivier Panis (FRA/Toyota) à 2 tours16. Nick Heidfeld (ALL/Jordan-Ford) à 2 tours17. Giorgio Pantano (ITA/Jordan-Ford) à 3 tours18. Gianmaria Bruni (ITA/Minardi-Cosworth) à 4 tours Les autres concurrents n'ont pas été classés
Les classements du Championnat du monde:
Classement des pilotes: 1. Michael Schumacher (ALL) 90 pts2. Rubens Barrichello (BRE) 683. Jenson Button (GBR) 484. Jarno Trulli (ITA) 465. Fernando Alonso (ESP) 336. Juan Pablo Montoya (COL) 257. Takuma Sato (JAP) 148. Ralf Schumacher (ALL) 129. David Coulthard (GBR) 1210. Giancarlo Fisichella (ITA) 1011. Kimi Raikkonen (FIN) 1012. Felipe Massa (BRE) 513. Olivier Panis (FRA) 514. Cristiano Da Matta (BRE) 315. Mark Webber (AUS) 316. Nick Heidfeld (ALL) 317. Timo Glock (ALL) 218. Zsolt Baumgartner (HUN) 1 Classement des constructeurs: 1. Ferrari 158 pts2. Renault 793. BAR-Honda 624. Williams-BMW 375. McLaren-Mercedes 226. Sauber-Petronas 157. Toyota 88. Jordan-Ford 59. Jaguar-Cosworth 310. Minardi-Cosworth 1
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| Posté le 04-07-2004 à 17:53:01
| Tennis à Wimbledon: Federer part avantagé face à Roddick en finale
LONDRES (AFP), le 04-07-2004
Le Suisse Roger Federer (N.1), tenant du titre, part nettement avantagé dans la finale du simples messieurs du 118e tournoi sur gazon de Wimbledon, qui l'oppose dimanche à l'Américain Andy Roddick (N.2) et réunit pour la première fois depuis 1982 les deux premières têtes de série.
Non content d'être le champion sortant, Federer a terminé beaucoup plus aisément sa demi-finale samedi que Roddick n'a pu le faire. Globalement, il a passé 2 heures 19 minutes de moins que son adversaire sur les courts depuis le début du tournoi.
Sur la route de la finale, les deux joueurs n'ont perdu qu'un set, ce qui avait déjà été le cas de Federer l'an dernier. Néanmoins, alors qu'il avait gagné 116 jeux et en avait perdu 67 à ce stade de la compétiton en 2003, le Suisse en a gagné 117 et n'en a perdu que 57 cette année.
Chez les femmes, la Russe Maria Sharapova (N.13) l'a emporté samedi triomphalement en finale sur l'Américaine Serena Williams (N.1), tenante du titre depuis deux ans, 6-1, 6-4 en 73 minutes, samedi.
A 17 ans et 2 mois, Sharapova est devenue la deuxième plus jeune gagnante de Wimbledon après la Suissesse Martina Hingis, victorieuse en 1997 à 16 ans et 9 mois. Nullement impressionnée par l'événement, la jeune Russe s'est affirmée dans le premier set en s'emparant résolument, insigne exploit, deux fois du service de son adversaire pour mener 3-1, puis 5-1.
Dans l'affaire, ses tendres nerfs s'étaient avérés plus solides que ceux de sa coriace aînée. Cela allait devenir patent dans le deuxième set. Quatrième Russe ayant accédé à la finale d'un tournoi du Grand Chelem depuis 1974, elle est la deuxième à en gagner un, un mois après la victoire d'Anastasia Myskina à Roland-Garros.
Cette victoire lui vaudra de passer de la 15e place du classement mondial à la 8e lundi. Elle lui rapporte 560.500 livres (834.000 EUR), contre 280.250 livres (417.000 EUR) pour Serena Williams, dont la soeur, Venus (N.3), finaliste l'an dernier contre elle, avait disparu dès le deuxième tour.
Le programme de dimanche:
. Central (à partir de 13h00 GMT):
Finale du simple messieurs
Roger Federer (SUI/N1) - Andy Roddick (USA/N.2)
Finale du double mixte
Todd Woodbridge-Alicia Molik (AUS/N.8) - Bob Bryant-Lindsay Davenport (USA/N.7) ou Wayne Black-Cara Black (ZIM/N.6) (la dernière demi-finale sera jouée auparavant)
. Court 1 (à partir de 12h00 GMT):
Finale du double messieurs
Jonas Bjorkman-Todd Woodbridge (SUE/AUS/N.1) - Julian Knowle-Nenad Zimonjic (AUT/SEM/N.16)
. Court 2 (à partir de 11hOO GMT)
Finale du double dames
Cara Black-Rennae Stubbs (ZIM/AUS/N.6) - Liezel Huber-Ai Sugiyama (AFS/JAP/N.5)
. Court 3 (à partir de 12h00 GMT)
Finale du simple juniors jeunes gens
Gaël Monfils (FRA/N.1) - Miles Kasiri (GBR)
. Court 18 (à partir de 12hOO GMT)
Finale du simple juniors jeunes filles
Katerina Bondarenko (UKR/N.6) - Ana Ivanovic (SEM/N.3)
Résultats de la 13e journée
. Simple dames (finale): Maria Sharapova (RUS/N.13) bat Serena Williams (USA/N.1) 6-1, 6-4 . Simple messieurs (demi-finales): Roger Federer (SUI/N.1) bat Sébastien Grosjean (FRA/N.10) 6-2, 6-3, 7-6 (8/6) Andy Roddick (USA/N.2) bat Mario Ancic (CRO) 6-4, 4-6, 7-5, 7-5 . Double messieurs (demi-finales): Julian Knowle/Nenad Zimonjic (AUT/SEM/N.16) battent Mark Knowles/Daniel Nestor (BAH/CAN/N.5) 6-2, 3-6, 6-3, 6-7 (7/9), 6-3 Jonas Bjorkman/Todd Woodbridge (SUE/AUS/N.1) battent Wayne Arthurs/Paul Hanley (AUS/N.7) 7-5, 7-5, 7-6 (7/4) . Double dames (demi-finales): Liezel Huber/Ai Sugiyama (AFS/JAP/N.5) battent Martina Navratilova/Lisa Raymond (USA/N.3) 7-6 (7/4), 7-5 Cara Black/Rennae Stubbs (ZIM/AUS/N.6) battent Virginia Ruano Pascual/Paola Suarez (ESP/ARG/N.1) 7-6 (9/7), 4-6, 6-4 . Double mixte (demi-finales): Todd Woodbridge/Alicia Molik (AUS/N.8) battent Paul Hanley/Ai Sugiyama (AUS/JAP/N.5) 6-4, 7-6 (7/3) . Simple juniors garçons (demi-finales): Miles Kasiri (GBR) bat Scoville Jenkins (USA/N.11) 7-6 (7/5), 7-6 (7/3) . Simple juniors filles (demi-finales): Ana Ivanovic (SEM/N.3) bat Viktoria Azarenka (BLR/N.9) 6-0, 1-6, 12-10
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| Posté le 04-07-2004 à 17:59:11
| Marcel Desailly met fin à sa carrière d'international de football
PARIS (AFP), le 04-07-2004
Le capitaine de l'équipe de France de football Marcel Desailly, 35 ans (116 sélections), a annoncé dimanche qu'il "mettait un terme à sa carrière internationale à partir de maintenant", lors de l'émission Téléfoot sur TF1.
"Je mets un terme à ma carrière internationale à partir de maintenant", a-t-il indiqué. "Il arrive un moment donné où il faut bien que j'arrête, a-t-il expliqué. Il faut bien que cela aille un peu moins bien."
"Oui, je suis moins performant, a-t-il reconnu, parce que je n'arrive plus à réaliser autant d'allers-retours que je pouvais le faire par le passé. Je compense quand même par une expérience."
"Il y a eu des moments forts, il y a eu des hymnes incroyables, il y a eu émotions fantastiques, le public. C'est ça la vraie émotion, c'est le match, le dépassement de soi, toutes ces choses qui font qu'en bleu la vie est vraiment rose."
Desailly, recordman des sélections en Bleus, a vécu sa dernière sélection lors de France-Croatie (2-2) lors de l'Euro-2004 au Portugal.
Comme lui, trois joueurs ont officiellement confirmé leur retraite au terme de l'Euro-2004 de football, les Néerlandais Jaap Stam et Frank de Boer, et le Portugais Rui Costa. Plusieurs devraient les imiter dans les prochaines semaines.
Trois autres Français ayant fait leurs débuts en phase finale d'une compétition internationale à l'Euro-1996, Bixente Lizarazu, Zinédine Zidane et Lilian Thuram s'interrogent sur leur avenir en sélection.
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| Posté le 04-07-2004 à 17:59:57
| Le rugbyman néo-zélandais Jonah Lomu a trouvé un donneur de rein
AUCKLAND (AFP), le 04-07-2004
L'ailier néo-zélandais Jonah Lomu, véritable légende du rugby, espère se faire transplanter un rein d'ici la fin de l'année et évoque déjà son retour sur les pelouses avant la Coupe du monde 2007, selon le presse néo-zélandaise.
Trois amis du joueur se sont déclarés volontaires pour lui donner un rein et l'un d'entre est considéré comme compatible, selon le Sunday News. "Il y en a un qui passe les derniers tests donc j'espère qu'elle (l'opération) aura lieu avant la fin de l'année", a déclaré au quotidien Jonah Lomu, touché en 1996 par le syndrome néphrétique, une maladie génétique rare qui pourrait le laisser sur une chaise roulante s'il ne bénéficiait pas d'une transplantation.
Selon le Sunday News et Radio New Zealand, l'opération pourrait même avoir lieu d'ici un mois.
A 29 ans, le trois-quart aile connu pour ses chevauchées mémorables avec le maillot des All Blacks, évoque du même coup ses espoirs de revenir sur le terrain pour la Coupe du monde 2007.
"Tout dépend du succès de la transplantation", a cependant déclaré l'international aux 37 essais en 63 sélections.
Lomu avait disputé son premier match en sélection à l'âge de 19 ans et 45 jours, le 26 juin 1994 contre la France. Après s'être distingué lors de deux Coupes du monde (finaliste en 1995, demi-finaliste en 1999), il ne fut pas retenu dans le groupe néo-zélandais pour le Mondial 2003.
Sa dernière sélection remonte au 23 novembre 2002 contre le pays de Galles à Cardiff.
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| Posté le 05-07-2004 à 13:20:39
| Euro-2004: la Grèce championne d'Europe
LISBONNE (AFP), le 05-07-2004
A cinq semaines des jeux Olympiques d'Athènes, la Grèce s'est adjugée la première médaille d'or et a provoqué la surprise, dimanche à Lisbonne, en remportant l'Euro-2004 de football, grâce à son collectif, au terme d'un tournoi passionné à défaut d'être passionnant.
La victoire de la Grèce ne souffre néanmoins d'aucune discussion.
Les hommes de l'Allemand Otto Rehhagel ont en effet battu deux fois le Portugal, lors du match d'ouverture (2-1) et en finale (1-0), devancé l'Espagne (1-1) dans la première phase comme ils l'avaient fait en qualification, battu le champion en titre, la France (1-0), en quart puis le grand favori, la République Tchèque (1-0), en demi-finale.
Pourtant, comme au Mondial-2002, même si la finale Brésil-Allemagne (2-0) avait permis de sauver les apparences, l'Euro-2004 a été marqué par un nivellement par le bas des valeurs, en raison notamment des performances décevantes des grandes nations.
Une finale entre deux pays classés respectivement, au début du tournoi, aux 20e (Portugal) et 34e (Grèce) places par la Fédération internationale (FIFA), illustre les problèmes que rencontrent les grandes sélections pour récupérer à temps leurs joueurs usés par une saison interminable dans les meilleurs clubs du Vieux continent.
Consciente du problème, ne serait-ce que pour offrir aux télévisions un produit qui assure un audimat record, l'Union européenne de football (UEFA) a décidé d'engager une grande réflexion pour essayer de sensibiliser les Fédérations sur l'importante vitrine que sont les équipes nationales. Ce n'est pas la Grèce, qui n'avait jamais remporté un titre majeur, qui dira le contraire.
Cet Euro-2004, riche en couleurs, a quand même connu plusieurs moments forts, aussi bien sur le plan émotionnel que sportif, et toujours dans une ambiance de connaisseurs passionnés.
Sur le plan strictement comptable, cette XIIe édition est dans la bonne moyenne avec 77 buts marqués, soit une moyenne de 2,48 buts par rencontre, dont 64 buts lors de la première phase où l'on a enregistré un seul gros score (Suède-Bulgarie, 5-0).
Cette première partie de l'Euro a d'ailleurs été marquée par deux matches qui resteront dans les annales.
C'est tout d'abord l'ancien champion d'Europe, la France, qui a fait illusion en s'imposant contre l'Angleterre (2-1) avec deux buts de Zinédine Zidane, sur des coups de pied arrêtés, dans les trois minutes de temps additionnel. Cela ne devait pourtant être qu'un feu de paille pour la deuxième nation au classement FIFA qui a perdu ses deux titres en deux ans.
Mais c'est sans doute le 19 juin, à Aveiro, que s'est disputé le match le plus plein de cet Euro, entre la République Tchèque et les Pays Bas (3-2). Qualité de jeu, renversement de situation, exploits individuels, maîtrise collective: les deux équipes ont offert à cette occasion un festival qui aurait mérité une finale.
Lors de cette 1re phase, l'Italie a été la seule équipe invaincue a être éliminée au 1er tour (1 victoire et 2 nuls) en raison d'un nul entre la Suède et le Danemark (2-2) qui ne prêtait pourtant pas le flanc à la moindre suspicion.
La suspension pour trois matches de la vedette Francesco Totti, pour un crachat détecté par la vidéo, n'est sans doute pas étrangère à cette contre-performance des finalistes de l'édition 2000.
L'Allemagne, à la recherche d'un fonds de jeu et d'un buteur, et l'Espagne, où Inaki Saez n'a pas trouvé la bonne alchimie, ont également quitté l'Euro par la petite porte.
L'Angleterre, avec un David Beckham transparent (un penalty et un tir au but manqués), n'est guère allée plus loin. Elle a été sortie en quarts de finale par le Portugal au terme d'une époustouflante série de tirs au but conclue par un tir victorieux du gardien portugais Ricardo, un des nombreux jokers de Luiz Felipe Scolari, dont la sélection avait fait hurler le Portugal... avant l'Euro.
Les Portugais venant également à bout des Pays-Bas en demi-finale, notamment grâce à un but tout en finesse technique de Maniche (2-1), tout le monde misait alors sur une finale Portugal-République Tchèque, le dernier favori en course et seule équipe invaincue du tournoi.
Mais c'était sans compter sur le sélectionneur allemand des Grecs, Otto Rehhagel, pour qui "seule la victoire est belle". En trois ans, ce Helenio Herrera (ex-entraîneur espagnol de l'Inter, inventeur du "Catenaccio" ) du XXIe siècle a bâti une équipe en allant à la pêche aux quatre coins de l'Europe. Avec pour but de récupérer et motiver des joueurs de talent qui, à l'image du défenseur Dellas, fréquemment remplaçant à l'As Rome, sont souvent mal voire pas utilisés.
Les Tchèques, comme la France en quarts de finale, sont ainsi venus s'engluer dans le double rideau défensif de Rehhagel, passé maître dans l'art de faire déjouer ses adversaires en paralysant ses points forts.
Un but en argent de Dellas (le premier et le dernier en compétition d'équipes nationales), reprenant de la tête un corner au premier poteau - alors que les Tchèques n'avaient pas encaissé le moindre but sur corner en deux ans - scellait le sort du dernier favori.
Les coéquipiers de Nedved, blessé en première période, n'ont eu que le titre de meilleur buteur de Milan Baros (5 buts) pour se consoler de ce nouvel échec.
En finale, le Portugal, à l'image d'un Cristiano Ronaldo paralysé par l'enjeu, n'a lui pas supporté la pression. Pourtant, Scolari, fort des leçons du match d'ouverture, avait aligné cinq nouveaux joueurs par rapport au 12 juin. Mais les Grecs étaient intouchables.
Ils ont répondu aux actions désordonnées des Portugais par un marquage individuel impitoyable au service d'un collectif parfaitement rodé. Le but de la tête d'Angelos Charisteas est finalement venu récompenser l'équipe la plus réaliste de l'Euro.
Mais réalisme a rarement rimé avec plaisir.
Tandis que les instances du football européen faisaient un peu grise mine, le Portugal avait la gueule de bois lundi matin. Comme pour oublier leur déception, certains médias portugais titraient dès lundi sur la signature de Giovanni Trapattoni à Benfica.
Ainsi, la vie continue. Les Russes, seuls vainqueurs des nouveaux champions d'Europe (2-1), ont déjà repris leur Championnat. Les phases préliminaires des Coupes d'Europe de clubs ont également débuté.
Et dans le fond, c'était un peu normal que des Grecs s'imposent dans le marathon du football professionnel.
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| Posté le 05-07-2004 à 13:21:50
| Tour de France cycliste: Kirsipuu remporte de justesse la 1re étape
CHARLEROI (AFP), le 05-07-2004
Le vétéran estonien Jaan Kirsipuu (AG2R) s'est imposé d'extrême justesse dans le sprint d'arrivée de la première étape du Tour de France cycliste, dimanche à Charleroi, où le Suisse Fabian Cancellara (Fassa Bortolo) a gardé le maillot jaune.
Lundi, le Tour effectue une première incursion en France dans sa deuxième étape longue de 197 kilomètres entre les villes belges de Charleroi et de Namur et qui devrait encore être favorable aux sprinteurs.
L'examen de la photo-finish a été nécessaire pour départager les deux premiers au terme des 202,5 kilomètres d'une première étape rendue difficile par la pluie.
Kirsipuu, qui avait levé la main après avoir franchi la ligne, a été conforté dans son impression par le jury. Il a été désigné vainqueur devant l'Australien Robbie McEwen et le Norvégien Thor Hushovd qui avait lancé le sprint de loin.
La quatrième place est revenue à l'Allemand Danilo Hondo devant un coéquipier de Kirsipuu, le Français Jean-Patrick Nazon.
Le favori du sprint, l'Italien Alessandro Petacchi, s'est classé seulement huitième. Petacchi, mal placé, a été gêné par McEwen et a été contraint de couper son effort.
De nombreuses chutes ont émaillé la première partie de course, sur une chaussée glissante.
Mais, contrairement à ce qui avait été annoncé dans un premier temps, l'Australien Brad McGee n'a pas dû son retard à l'une d'entre elles.
Le premier maillot jaune du Tour du Centenaire (2003), qui souffre du dos, a passé une mauvaise journée. Il a été distancé à plusieurs reprises avant de lâcher prise dans la partie finale et de céder plus de six minutes malgré le secours de son coéquipier de la Fdjeux.com, le champion d'Australie, Matthew Wilson.
L'équipe Fassa Bortolo, travaillant à la fois pour Cancellara et Petacchi, a réduit à néant l'échappée de cinq coureurs (Voigt, Renier, Tombak, Bettini, Eisel) qui ont compté jusqu'à 3 min 45 sec d'avance (km 55).
Malgré l'opiniâtreté de l'Allemand Jens Voigt, la jonction est intervenue à 71 kilomètres de l'arrivée avant que l'équipe italienne soit de nouveau mise à contribution par une fugue du Belge Marc Wauters et du Danois Jakob Piil à 48 kilomètres de l'arrivée.
Le duo a défendu son avance (1 min 45 sec aux 20 kilomètres) d'arrache-pied mais a dû baisser pavillon dans les rues de Charleroi, à 1600 mètres de la ligne.
Au sprint, contre le vent, Kirsipuu a voulu prendre le sillage de l'Italien Stefano Zanini, la rampe de lancement habituelle du Belge Tom Boonen (victime pour sa part d'un saut de chaîne). Il a changé d'avis quand Zanini s'est relevé, conscient de l'absence de son sprinteur, et a suivi Hushovd avant de le déborder.
McEwen, qui a jeté son vélo sur la ligne, a échoué à quelques centimètres de Kirsipuu, tout heureux de gagner pour la quatrième fois sur le Tour.
L'Estonien, dont le patronyme veut dire "cerisier" dans la langue de son pays, a déjà enlevé les étapes de Challans (1999) et de Strasbourg (2001), toutes deux au sprint, ainsi que celle de Rouen (2002).
"Je ne pensais pas gagner au sprint. Je n'étais pas en très bonne condition avant le Tour et j'ai fait un mauvais prologue. J'ai seulement pris confiance au dernier sprint intermédiaire", a déclaré Kirsipuu qui, à près de 35 ans (il fêtera son anniversaire le 17 juillet), possède l'expérience nécessaire pour surmonter les mauvaises passes.
Depuis ses débuts professionnels en 1992, l'Estonien, qui réside le plus souvent pendant la saison cycliste près de Chambéry, compte quelque 116 victoires à son palmarès. Pour l'équipe de Vincent Lavenu, à laquelle il est fidèle depuis ses débuts -une rareté dans le monde professionnel!-, la présence de Kirsipuu reste une aubaine appréciée.
Les classements:
Le classement de la 1e étape: 1. Jaan Kirsipuu (EST/A2R) les 202,5 km en 4 h 40:29.(moyenne: 43,3 km/h) 2. Robbie McEwen (AUS/LOT) à 0:00.3. Thor Hushovd (NOR/C.A) 0:00.4. Danilo Hondo (ALL/GRL) 0:00.5. Jean-Patrick Nazon (FRA/A2R) 0:00.6. Baden Cooke (AUS/FDJ) 0:00.7. Kurt Asle Arvesen (NOR/CSC) 0:00.8. Alessandro Petacchi (ITA/FAS) 0:00.9. Erik Zabel (ALL/MOB) 0:00.10. Allan Davis (AUS/LIB) 0:00. Le classement général 1. Fabian Cancellara (SUI/FAS) 4 h 47:11.2. Thor Hushovd (NOR/C.A) à 0:04.3. Lance Armstrong (USA/USP) 0:10.4. Jens Voigt (ALL/CSC) 0:15.5. Jose Ivan Gutierrez (ESP/BAL) 0:16.6. Oscar Pereiro (ESP/PHO) 0:19.7. Christophe Moreau (FRA/C.A) 0:20.8. Bobby Julich (USA/CSC) 0:20.9. George Hincapie (USA/USP) 0:20.10. José Enrique Gutierrez (ESP/PHO) 0:22.
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| Posté le 05-07-2004 à 13:22:40
| Tennis à Wimbledon: Roger Federer conserve son titre
LONDRES (AFP), le 04-07-2004
Le Suisse Roger Federer, champion sortant et tête de série N.1, conserve son titre en battant l'Américain Andy Roddick (N.2) 4-6, 7-5, 7-6 (7/3), 6-4, en 2 h 30 min, dans la finale du simple messieurs du tournoi de tennis sur gazon de Wimbledon, dimanche.
Egalement vainqueur des Internationaux d'Australie à Melbourne au début de l'année, le N.1 mondial a obtenu ainsi son troisième titre dans les tournois du Grand Chelem, le sixième cette saison et le dix-septième dans sa carrière, à 22 ans.
Avec 24 victoires de suite sur gazon, Federer est devenu le deuxième meilleur spécialiste du genre derrière le Suédois Bjorn Borg, qui en avait aligné 41 entre 1976 et 1981.
Souvent dans une situation difficile jusqu'au dernier break intervenu dans le 7e jeu du quatrième set, qui lui permit de mener 4-3, Federer est resté impertubable tout en jouant à un nouveau bien inférieur à celui de la finale de l'an dernier face à un adversaire émoussé par sa demi-finale de la veille.
Ayant reçu un chèque de 602.500 livres (895.640 euros), il conserve la première place du championnat ATP de la saison et du classement technique. Roddick, 21 ans, a reçu un chèque de 301.250 livres (447.820 EUR) et reste 3e du championnat ATP et 2e du classement technique.
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| Posté le 05-07-2004 à 13:24:04
| Les Grecs dans l'allégresse au stade da Luz
LISBONNE (AFP), le 04-07-2004
Devant un stade médusé, à l'exception du virage hellène, l'équipe grecque a longuement savouré sa victoire inattendue en finale de l'Euro-2004 de football, dimanche au stade da Luz à Lisbonne, quelques minutes après avoir battu le Portugal en finale (1-0).
Après être allés saluer leurs supporteurs, les joueurs d'Otto Rehhagel se sont dirigés vers le centre du terrain où, très sportivement, Luiz Felipe Scolari, le sélectionneur brésilien du Portugal, ne manqua pas de les féliciter.
C'est le capitaine Theodoros Zagorakis, le drapeau grec mis en cape, qui a alors soulevé le trophée Henri-Delaunay que lui a tendu le Suédois Lennart Johansson, président de l'Union européenne de football (UEFA).
Un déluge de confettis a salué ce couronnement avant que n'éclate un feu d'artifice tiré du toit du stade.
De leur côté, les Portugais, dont certains d'entre eux s'étaient effondrés sur la pelouse au coup de sifflet final, essayaient tant bien que mal de se consoler. Beaucoup d'entre eux, trop affectés, refusaient ensuite de porter la médaille des vaincus.
Dépités, et imitant leurs supporteurs, ils ont rapidement quitté le terrain, suivant les pas de Luis Figo et de Rui Costa, les deux plus fameux représentants d'une génération en or qui aura échoué dans son ultime chance de conquête d'un titre.
Pendant ce temps-là, les Grecs n'en finissaient plus de tourner autour du terrain, au rythme des chants ininterrompus de leurs supporteurs.
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| Posté le 05-07-2004 à 13:25:07
| Euro-2004: déclarations
LISBONNE (AFP), le 04-07-2004
Luiz Felipe Scolari (sélectionneur brésilien du Portugal): "Cela fait mal. C'est difficile à accepter, mais il faut l'accepter, ils ont été meilleurs. Une inattention peut conduire à une défaite. Je veux m'excuser au nom de tous parce que nous n'avons pas réussi à donner la joie ultime de l'Euro à tous les Portugais. Ne vous laissez pas abattre par une défaite, nous avons encore beaucoup à faire pour le Portugal".
- Otto Rehhagel (sélectionneur allemand de la Grèce): "C'est un jour fantastique pour le football grec et pour le football européen. Aujourd'hui, nous avons joué avec nos propres forces et la sélection grecque a écrit un chapitre historique de son football ici. Il va y avoir des scènes (de jubilation) inimaginables à Athènes quand nous allons rentrer lundi. Angelos Charisteas (auteur du but de la victoire) a été l'une des vedettes de ce tournoi".
- Angelos Charisteas (attaquant et buteur de la Grèce): "Je suis très heureux, très ému. Nous sommes la meilleure équipe de football d'Europe. Je crois que ce moment est unique, on ne le revivra peut-être jamais et je crois qu'on le méritait. Nous sommes arrivés à ce niveau en gagnant contre de très de grandes équipes et aujourd'hui nous avions face à nous une très bonne équipe portugaise. Malgré tout on a pu remporter le trophée. C'est le plus grand moment de ma carrière".
- Le président portugais Jorge Sampaio a demandé aux Portugais de "ne pas gâcher la fête", félicitant les joueurs de la sélection lusitanienne d'être parvenus en finale de l'Euro-2004 de football, malgré la défaite contre la Grèce dimanche.
"Nous avons perdu le dernier match, mais il faut maintenir le haut niveau auquel nous sommes arrivés, c'est la première fois que nous allons en finale", a-t-il estimé. "J'espère que nous n'allons pas gâcher la fête aujourd'hui et demain. Nous avons perdu le dernier match, cela arrive, mais nous y sommes arrivés avec beaucoup de dignité, de brio et de classe", a souligné M. Sampaio.
- Theodoros Zagorakis (capitaine de la Grèce, élu homme du match): "Je ne peux pas exprimer ce que je ressens, je n'ai pas les mots, c'est plus que de la joie. Je veux féliciter tous ceux qui sont impliqués dans cette victoire. Nous avons fait quelque chose de grand, d'historique ici, au Portugal. Nous dédions cette Coupe à tous les Grecs à travers le monde".
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| Posté le 05-07-2004 à 13:31:43
| Nigel Mansell est "consterné" par l'évolution de la Formule 1
LONDRES (AFP), le 05-07-2004
L'ancien pilote britannique Nigel Mansell s'ennuie tellement en regardant les Grands Prix de Formule 1 qu'il éteint en général son téléviseur quelques tours après le départ, a confié le champion du monde 1992, réputé en son temps pour sa conduite flamboyante en course.
"Je suis consterné de voir comment les règlements nuisent à la Formule 1", dit Mansell, bientôt 51 ans, dans un entretien publié lundi par le Times.
Il déplore notamment que les rebondissements soient désormais cantonnés aux stands, faute de dépassements.
Le dernier pilote recruté par Enzo Ferrari avant sa mort en 1988 regrette aussi que la règle imposant un seul moteur par voiture et par week-end de course profite surtout à Ferrari et à son "incroyable record de fiabilité".
Autre source d'ennui selon Mansell, "les voitures sont trop faciles à conduire". Résultat, "les jeunes pilotes les plus inexpérimentés peuvent monter dans une Formule 1 et la conduire efficacement".
"La Formule 1 est le pinacle des sports mécaniques et de l'excellence technologique, mais elle devrait aussi être le test suprême de conduite, plaide Mansell. Ce n'est plus le cas et il est maintenant presque impossible d'évaluer les pilotes".
"Vous ne pouvez juger personne, poursuit-il, tant que vous ne supprimez pas les aides techniques et ne remettez pas les voitures sous le contrôle des pilotes. Et il n'y a pas que les courses. Les amateurs sont choqués de voir à quel point les qualifications sont devenus ennuyeuses", déplore l'ancien champion.
Si la domination de Ferrari et de son sextuple champion du monde, l'Allemand Michael Schumacher, est monotone, elle n'en est pas moins "fantastique", concède-t-il. L'ancien pilote anglais est admiratif de la "continuité" et de la "stabilité" des Rouges.
Par contraste, "McLaren semble s'être plus inquiétée de son nouveau et merveilleux centre technique et a oublié qu'elle est, d'abord et avant tout, une écurie de course", persifle Mansell.
Quant à Williams, l'écurie avec laquelle il a conquis son titre mondial et 28 de ses 31 victoires en F1, "elle débutera la prochaine saison avec deux nouveaux pilotes. (...) C'est comme prendre le départ avec une main attachée dans le dos".
"J'ai essayé de défendre la F1 parce qu'elle a tant compté pour moi pendant tant d'années", explique celui que ses supporteurs anglais appelaient "le Lion". "Mais même moi, je ne peux plus continuer à défendre l'indéfendable".
"En général, raconte Mansell, je m'assois pour regarder le départ d'un Grand Prix, mais après quelques tours, je m'aperçois que je n'arrive plus à regarder et j'éteins (le poste). J'en suis à ce point-là".
Mansell a couru 185 Grands Prix entre 1980 et 1995. Il a aussi été champion de Formule Indy dès sa première saison dans la discipline américaine, en 1993.
Sa vie actuelle est partagée entre les affaires et le golf. Il a réussi dimanche son premier parcours en-dessous du par lors d'une compétition de professionnels vétérans.
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| Posté le 06-07-2004 à 14:05:41
| Des pavés au menu de la 3e étape du Tour de France
NAMUR (AFP), le 06-07-2004
Deux secteurs pavés figurent au menu de la troisième étape du Tour de France cycliste ce mardi entre Waterloo et Wasquehal sur une distance de de 210 kilomètres.
Le départ a été donné à 12h24 locale (10h24 GMT) à 185 coureurs, sous le soleil malgré quelques nuages, par une température de 20 degrés. Un coureur était non partant: le Français Fréderic Bessy (Cofidis).
Pour ce retour en France après trois journées en Belgique, la course est partie au sud-est de Bruxelles du site de Waterloo, lieu historique de la défaite de Napoléon (1815) qui précéda l'abdication de l'empereur.
Sur le parcours, le Tour rend un double hommage au Tour des Flandres. Il passe à Meerbeke (Km 42), site d'arrivée de la célèbre classique, et franchit ensuite le mur de Grammont (Km 61), l'un de ses hauts lieux classés par la Grande Boucle en troisième catégorie pour le GP de la montagne.
Après l'entrée en France (Km 119) à l'approche de Saint-Amand-les-Eaux, les coureurs découvrent les premiers pavés, sur le secteur d'Erre (Km 146) long de 2800 mètres. Il traversent ensuite Mouchin, tout près de la frontière, et prennent la direction de Cysoing en prélude au court secteur pavé de Gruson (1100 m).
A cet endroit qui jouxte le carrefour de l'Arbre (l'un des points stratégiques de Paris-Roubaix), tout près de Bouvines, autre lieu de bataille (victoire, le 27 juillet 1214, du roi de France Philippe Auguste sur l'empereur germanique Otton IV), l'arrivée est distante seulement de 25 kilomètres dans la grande agglomération lilloise.
La ligne droite finale, majestueuse, s'allonge sur 1400 mètres dans Wasquehal (18.500 habitants), ville d'accueil du Tour à quatre reprises depuis 1988 et aussi d'un pôle France consacré au cyclisme.
L'arrivée est prévue à 17h05 locale (pour une moyenne horaire de 45 km/h) et 17h32 locale (pour une moyenne de 41 km/h).
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| Posté le 06-07-2004 à 14:07:27
| Super Grand Prix d'athlétisme à Lausanne: la réplique d'El Guerrouj attendue
LAUSANNE (AFP), le 06-07-2004
Le Marocain Hicham El Guerrouj doit réagir quatre jours après sa première défaite sur 1500 m depuis les JO-2000 en disputant l'une des courses les plus attendues de sa carrière lors de la réunion d'athlétisme de Lausanne, mardi.
Mardi soir vers 22h00, l'on saura si l'incroyable huitième place de El Guerrouj à Rome vendredi -son troisième revers sur 1500 m et le mile en 84 courses- était un simple accident ou si le quadruple champion du monde est vraiment en danger dans sa quête d'un titre olympique, le seul qui manque à son immense palmarès.
Régnant sans partage sur le royaume des milers depuis 1995, El Guerrouj a donné un indice inquiétant lundi en Suisse en parlant d'incertitude sur sa participation aux JO d'Athènes en raison d'une "gêne respiratoire".
Avant Rome, ses deux seules défaites étant les finales olympiques de 1996 et 2000, Guerrouj s'était fixé comme ultime objectif l'or à Athènes.
Or, à moins de cinquante jours du début des festivités grecques, le Marocain vient contre son gré d'offrir un immense espoir à ses adversaires, en tête desquels le Bahreïni Rachid Ramzi, le Kényan Bernard Lagat et Mehdi Baala, le podium de Rome.
La chance de El Guerrouj est que sur les hauteurs du Lac Léman, aucun des trois n'est présent.
Sans Baala, la délégation tricolore a quand même fière allure.
Outre Ronald Pognon (100 m), Naman Keita (400 m haies) et Romain Mesnil (perche), les Bleus sont représentés par Christine Arron et Muriel Hurtis qui s'affrontent sur 100 m, comme l'an passé.
Contrairement au quintette précédent, Leslie Djhone (400 m) et Ladji Doucouré (110 m haies) ont une belle occasion de se débarrasser des minimas olympiques.
Sur le plateau de la réunion suisse, toujours aussi alléchant, figurent également la Mozambicaine Maria Mutola, la spécialiste du 800 m dont ce sera la deuxième sortie de l'année, et la Russe Svetlana Lebedeva, qui a réussi dimanche en Grèce le deuxième triple saut de tous les temps (15,34 m) à 16 centimètres du record du monde de l'Ukrainienne Inessa Kravets (15,50 m en 1995).
Si la majorité des Américains est rentrée à la maison préparer les sélections olympiques (9-18 juillet à Sacramento), le public suisse peut néanmmoins se satisfaire de la présence du champion du monde du 110 m haies, Allen Johnson, et de la N.1 actuelle du 400 m, Tonique Williams.
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| Posté le 06-07-2004 à 14:08:03
| Copa America de football: la Colombie défend son titre dans un tournoi privé de stars
LIMA (AFP), le 05-07-2004
La Colombie, sacrée championne d'Amérique du sud en 2001 à domicile, remet son titre en jeu à partir de mardi lors de la Copa America 2004 de football disputée au Pérou jusqu'au 25 juillet, sans les meilleurs joueurs sud-américains évoluant en Europe.
Le Brésil avec un seul champion du monde (Kleberson) mais sans Ronaldo, Ronaldinho ou Roberto Carlos, l'Argentine sans Pablo Aimar ni Walter Samuel, la Colombie sans Mario Yepes: la Copa America 2004 est privée de plusieurs têtes d'affiches, qui ont privilégié (de gré ou de force) leur club en Europe à leur sélection.
La hiérarchie qui se dégage après sept journées dans le groupe Amsud des qualifications au Mondial-2006 (Brésil 1er, Argentine 2e, Chili 3e et Paraguay 4e) pourrait donc ne pas être respectée. D'autant qu'outre les dix pays sud-américains, le Mexique et le Costa Rica, invités appartenant à la CONCACAF (Amérique du nord, Amérique centrale et Caraïbes), vont essayer de mettre leur grain de sel.
Le Brésil cinq fois champion du monde et six fois vainqueur de la Copa America (1919, 1922, 1949, 1989, 1997, 1999) compte néanmoins sur la volonté de ses seconds couteaux, désireux de montrer qu'ils ont la stature de titulaires, pour se rapprocher de l'Argentine et l'Uruguay (14 victoires chacun).
"Je pense que nous avons une bonne équipe capable de conquérir le titre, a estimé le sélectionneur brésilien Alberto Carlos Parreira. De plus, ce sera aussi un bon terrain d'observation pour l'avenir."
Au premier tour, les champions du monde retrouveront le Costa Rica, qu'ils avaient balayé (5-2) au Mondial-2002, le Chili et le Paraguay, deux sélections qui ont accroché le Brésil en qualifications du Mondial-2006.
La Colombie tenante du titre sera quant à elle la favorite du Groupe A (Pérou, Bolivie, Venezuela) et l'Argentine devrait aussi pouvoir s'en sortir, même si le Groupe B est sans conteste le plus relevé (Equateur, Uruguay, Mexique).
Le match d'ouverture a lieu mercredi à Lima, entre la Colombie et le Venezuela (17h30 locales, 22h30 GMT).
Le plus vieux tournoi international entre sélections (1re édition en 1916) a lieu pour la 6e fois au Pérou, où il ne s'était plus joué depuis 1957.
Cette 41e édition, initialement prévue en 2003 selon le rythme biennal adopté depuis 1987, avait été repoussée d'un an par le comité exécutif de la Confédération sud-américaine (CSF), afin de se conformer au calendrier de la Fédération internationale (FIFA).
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| Posté le 07-07-2004 à 11:13:55
| Soccer
Deux affrontements Impact-Raging Rhinos en une semaine!
Presse Canadienne (PC)
Après s'être échangés le premier rang à tour de rôle depuis le début de la présente saison dans la A-League, l'Impact de Montréal (8-2-4) et les Raging Rhinos de Rochester (10-2-1) s'affronteront enfin cette semaine. Et deux fois plutôt qu'une, d'abord au Complexe sportif Claude-Robillard de Montréal, demain, puis vendredi au Frontier Field de Rochester.
Les Silverbacks d'Atlanta (10-3-1) et les Kickers de Richmond (9-4-3) se retrouvent également au plus fort de la course au championnat dans l'Association de l'Est cette année.
Mais les affrontements entre l'Impact et les Rhinos ont une saveur particulière. En plus de rivaliser pour le titre dans leur section à maintes reprises depuis l'arrivée de Rochester dans la A-League, en 1996, leurs chemins se sont croisés quatre fois en huit ans en séries éliminatoires.
«Tous les matchs entre l'Impact et les Rhinos sont un événement, souligne le capitaine Mauro Biello. Chaque fois qu'on les affronte, on dirait qu'on se bat pour la première place et c'est encore le cas cette année. Ils ont plusieurs nouveaux joueurs et nous aussi mais, à la fin, il y a toujours beaucoup d'intensité quand on joue contre eux.»
Pendant que les Rhinos remportaient leur quatre derniers matchs, la formation montréalaise vient de subir ses deux premières défaites de la saison et n'a pas remporté de victoire à ses cinq derniers matchs (0-2-3). Avec deux gains cette semaine, l'Impact pourrait toutefois se retrouver au sommet de l'Association, vendredi soir.
«Les deux prochaines parties seront comme des matchs des séries. On connaît des difficultés en ce moment, mais il n'y aurait pas de meilleur moyen de s'en sortir qu'en gagnant contre Rochester», a affirmé Biello.
L'Impact disputera son 15e match de la saison demain contre les Rhinos, ce qui signifie qu'il a atteint la mi-saison. Malgré les récentes difficultés de son équipe, l'entraîneur-chef Nick DeSantis a dressé un bilan positif des 14 premières rencontres. La troupe montréalaise n'a subi que deux défaites, le plus petit nombre dans l'histoire du club à ce moment de la campagne.
«Nous avons disputé 10 de nos 14 matchs sur la route et nous avons un dossier à l'étranger de 6-2-2. Notre objectif était de jouer pour ,500 ou mieux et c'est ce que nous avons fait, a fait remarquer DeSantis. domicile, nous avons une fiche de 2-0-2. D'ici la fin, nous devrons remporter nos matchs à la maison.
«Nous avons progressé comme équipe à l'intérieur du système que nous voulions adopter. Nous sommes plus à l'aise. Nous créons plus d'occasions de marquer qu'en début de saison, mais en ce moment, nous n'en profitons pas. J'espère que nous garderons le même rythme et je suis confiant que les buts viendront.»
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| Posté le 07-07-2004 à 11:15:00
| Cyclisme
Armstrong choisi dans l'équipe américaine
Associated Press (AP)
Lance Armstrong est parmi les huit coureurs qui ont été formellement nommés dans l'équipe olympique américaine de cyclisme sur route.
Armstrong, qui tente présentement d'établir un record en remportant le Tour de France pour une sixième fois de suite, sera accompagné dans l'équipe masculine par son coéquipier de U.S. Postal Service, George Hincapie. Les deux cyclistes prendront part aux Jeux olympiques pour la quatrième fois.
Tyler Hamilton, qui était aux Jeux en 2000, a aussi été nommé dans l'équipe masculine tout comme Bobby Julich et Jason McCartney, choisis pour la première fois.
L'équipe féminine de cyclisme sur route est composée de Christine Thorburn, Kristin Armstrong et Dede Barry. Elles n'ont jamais pris part aux Jeux.
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| Posté le 07-07-2004 à 11:16:07
| Jeux paralympiques
L'équipe canadienne misera sur l'expérience
Presse Canadienne (PC)
Le Montréalais André Beaudoin jure qu'il en sera à son chant du cygne en septembre prochain lorsqu'il prendra part à ses 5es Jeux paralympiques à Athènes. Et il a bien l'intention de compléter sa carrière d'athlète sur une bonne note, lui qui a déjà engrangé 10 médailles paralympiques.
«Je vise une médaille dans chacune des épreuves auxquelles je participe», a déclaré Beaudoin, mardi, lors du dévoilement de l'équipe canadienne paralympique qui se rendra à Athènes du 17 au 28 septembre.
«Et finir deuxième ne m'intéresse pas, ou le moins souvent possible», a-t-il ajouté, lui qui est inscrit sur 100, 200, 400 et 800 mètres en fauteuil roulant.
Même si le niveau de compétition ne cesse de s'améliorer aux paralympiques, Beaudoin, qui s'entraîne à raison de 25 à 30 heures par semaine, se montre confiant.
«L'euphorie des Jeux paralympiques, j'ai déjà vécu ça. Ca ne m'impressionne plus. Je vais là-bas pour compétitionner. Et j'ai passé un bon test le week-end dernier à Atlanta en participant à 4 courses par jour et tout s'est bien déroulé.»
À 45 ans, Beaudoin n'a pas encore songé à ce qu'il entend faire une fois sa carrière d'athlète à plein temps terminée même s'il entend s'accorder des vacances avec sa conjointe.
«J'ai fait l'acquisition d'un bateau et j'ai bien l'intention de prendre des vacances. Avec mon horaire de compétitions qui coïncide souvent avec les vacances de mes proches, ce n'est pas toujours évident.»
Beaudoin fera partie de la délégation canadienne composée de 144 athlètes, dont 30 du Québec.
Si l'équipe compte 18 athlètes de moins qu'à Sydney en 2000, elle misera sur des athlètes expérimentés. Certains en seront à leur sixième participation paralympique. C'est le cas du Sherbrookois Jacques Martin en athlétisme et de Chantal Benoit d'Orléans en basket-ball en fauteuil roulant.
«Nous ne sommes pas certains de pouvoir rééditer notre performance de 2000 lorsque nous avions remporté un nombre record de 96 médailles, a prévenu Louis Barbeau, chef de mission de l'équipe canadienne.»
«Notre objectif tourne plutôt autour de 80 médailles et du 7e ou 8e rang au classement. Mais nous demeurons confiants d'offrir un bon niveau de performance.»
Pour expliquer cet objectif à la baisse, Barbeau a avancé le niveau de compétition plus élevé des Jeux avec l'arrivée de nouveaux pays comme la Chine, le retrait du volleyball debout où le Canada avait remporté la médaille d'argent en 2000 et la non qualification d'athlètes en tir à l'arc, escrime et tennis de table.
France Gagné de Québec, qui en sera pour sa part à ses 4es Jeux, reconnaît que la compétition est effectivement plus féroce que jamais.
«Au lancer du javelot, seulement quatre athlètes avaient franchi la distance de 50 mètres à Sydney, a-t-il signalé, lui qui avait mérité la médaille d'argent dans cette discipline.»
«À Athènes, il faudra un jet d'au moins 54 mètres pour monter sur le podium. Un Chinois détient actuellement le record du monde à 58,28m.»
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| Posté le 07-07-2004 à 11:16:56
| Athlétisme
Hicham El-Guerrouj démontre de l'inquiétude en vue des Jeux
Associated Press (AP)
Largement battu à Rome vendredi soir sur 1500 mètres, sa distance de prédilection, Hicham El-Guerrouj a manifesté son inquiétude en signifiant qu'il n'est pas certain de se rendre aux Jeux olympiques d'Athènes en août prochain.
«Je suis inquiet. Si je ne vais pas aux Jeux, il manquera quelque chose au 1500 mètres», a déclaré le Marocain de 29 ans.
À propos de la réunion de Rome comptant pour la Golden League, El-Guerrouj, invaincu sur 1500 mètres depuis les Jeux de Sydney en 2000, avait seulement fini huitième dans le médiocre temps de 3:32,64, soit à plus de six secondes de son record du monde.
«Je ne peux pas me rendre aux Jeux avec la cinquième ou la sixième performance mondiale! Si j'y vais, ce sera avec la meilleure performance mondiale et moins de 3:29,00», explique El-Guerrouj.
Le Marocain quadruple champion du monde, qui était invaincu en meeting depuis la réunion de Bruxelles en 1995, prendra sa décision concernant sa participation aux JO d'Athènes le 6 août, après la réunion de Zurich.
El-Guerrouj fait valoir son «manque de courses» cette saison, mais aussi des ennuis de santé, pour expliquer sa contre performance de Rome.
En janvier, il avait connu des difficultés à respirer lors d'un entraînement à Ifrane, son site de préparation situé en altitude sur les contreforts de l'Atlas marocain.
À Rabat, les médecins avaient ensuite diagnostiqué «une gêne pulmonaire».
À Toulouse, une dizaine d'allergies ont été dépistées chez le demi-fondeur marocain. Il est traité depuis, et pour trois mois, avec des corticoïdes et des anti-histaminiques.
«Avec tout ça, je me sens fatigué, explique El-Guerrouj. Quand je prends des médicaments, ça stoppe le problème, mais ça ne le guérit pas. J'ai toujours cette gêne. Je respire très mal. Mercredi, je dois me rendre à Paris pour consulter un spécialiste.»
Ses médecins ont informé la fédération internationale d'athlétisme (IAAF) du traitement suivi.
À Rome, la victoire est revenue, en 3:30,25 à Rachid Ramzi, Marocain naturalisé Bhareïni, qui affichait seulement un record personnel de 3:39,30 la saison passée.
«J'avais organisé une course dans ma ville natale, et il avait fait 3:42. Et deux ans après, il fait 3:30, c'est vraiment étonnant, c'est une grande performance», déclare El-Guerrouj à propos de Ramzi.
Concernant sa propre course, El-Guerrouj estime qu'il a peut être mal préparé la réunion de Rome.
«J'avais fait une grosse séance quatre jours avant la réunion. C'est peut être aussi l'une des raisons de ma défaite. Et j'ai couru trois jours après ma descente d'altitude, alors que d'habitude c'est cinq jours après.»
Après ses échecs à Atlanta et Sydney, El-Guerrouj entend briller à Athènes, s'il s'y rend.
«J'espère bien doubler (NDLR: 1500m/5000m). Ce n'est pas un problème d'entraînement, je me suis bien préparé pour le réaliser», dit-il.
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| Posté le 07-07-2004 à 11:18:15
| Soccer
Marcel Desailly quitte Chelsea
Associated Press (AP)
L'ancien capitaine de l'équipe de France Marcel Desailly, qui a annoncé dimanche sa retraite internationale, a quitté aujourd'hui le club londonien, mettant fin à son contrat après consentement mutuel.
Le défenseur a passé six ans à Chelsea, y disputant 222 matches. Dans un communiqué diffusé sur son site, le club précise que Desailly va retourner dans le sud de la France pour réfléchir à son avenir professionnel.
Âgé de 35 ans, Desailly a disputé un record de 116 matches sous le maillot de l'équipe de France avec qui il a remporté la Coupe du monde 1998 et l'Euro 2000. Avec Chelsea, il a remporté la Super Coupe d'Europe, la FA Cup et le Charity Shield.
L'ancien joueur du FC Nantes, de l'OM et de l'Inter de Milan sera toutefois présent dans les gradins du stade de Stamford Bridge le 15 août en tant qu'invité d'honneur pour la reprise du championnat d'Angleterre face à Manchester United.
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| Posté le 07-07-2004 à 11:19:02
| LNH
Tom Renney restera à la barre des Rangers
Presse Canadienne (PC)
Les Rangers de New York ont confié de façon permanente le poste d'entraîneur-chef à Tom Renney.
Renney, 49 ans, a remplacé le directeur général Glen Sather le 25 février dernier et a conduit l'équipe à un dossier de cinq victoires 11 défaites et quatre matchs nuls.
Les Rangers n'ont récolté que 69 points au classement et raté les séries éliminatoires pour une septième saison d'affilée établissant un record d'équipe peu enviable.
Renney, qui était adjoint de l'équipe canadienne qui a pris part aux championnats du monde à Prague, le printemps dernier, demeure vice-président du développement des joueurs chez les Rangers.
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