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|  Posté le 12-06-2004 à 11:33:24   
| Frank Williams confirme qu'il a rencontré Jacques Villeneuve
Presse Canadienne
Le nom de Jacques Villeneuve figure bel et bien sur la liste des candidats pour l'obtention d'un volant chez Williams la saison prochaine et une rencontre a même eu lieu entre le pilote Québécois et les dirigeants de l'écurie britannique.
Frank Williams a confirmé, vendredi, en marge du Grand Prix du Canada, qu'il avait rencontré Villeneuve, question de renouer le contact avec le pilote qui lui a procuré son dernier championnat du monde (1997).
"Nous avons eu un entretien avec Jacques il y a deux mois, a mentionné Williams à RDS. Mon partenaire Patrick Head et le directeur technique de l'équipe Sam Michael m'accompagnaient. Nous voulions savoir ce qu'il avait en tête."
Et aux dires de Williams, Villeneuve a été convaincant.
"Nous avons constaté qu'il a une énorme volonté d'effectuer un retour en F1. Et il est dans une forme splendide. Nous avons été impressionnés."
Mais Williams a prévenu qu'il n'est pas le seul candidat en lice.
"Nous avons seulement une place disponible, peut-être deux. Nous prendrons une décision vers le mois d'août et je suis sûr que le nom de Jacques va revenir sérieusement dans nos conversations au moment de prendre la décision."
Il faudra attendre
Ces commentaires semblent contredire ce que Villeneuve a confié lui-même la semaine dernière à un journaliste de La Presse.
"Je ne comprends pas comment on a pu écrire que j'ai passé une journée chez Williams. Je n'y suis pas allé. Je n'ai pas d'offre, je n'ai pas eu l'occasion de négocier quoi que soit", a-t-il dit lors de son récent passage à Montréal.
Villeneuve a toutefois répété qu'il espère effectuer un retour en F1. Il s'est même acheté deux casques et s'est fait préparer des visières et deux combinaisons.
"Si on m'appelle, j'ai une condition physique et une préparation qui me permettent de monter dans une voiture de F1 tout de suite", avait-il ajouté à La Presse.
Mais Villeneuve aura une forte concurrence pour l'obtention d'un volant chez Williams. Si le transfert de Ralf Schumacher chez Toyota se confirme _ Juan-Pablo Montoya est déjà sous contrat chez McLaren pour 2005 _ Williams a plusieurs candidats de choix pour occuper ses baquets.
Sa liste de prédilection comprend, outre Villeneuve, les noms de Mark Webber (Jaguar), David Coulthard (McLaren), Giancarlo Fisichella (Sauber).
En tout cas, Williams a écarté l'éventualité que Villeneuve effectue des essais sur une Williams avant qu'on procède à l'annonce des pilotes pour l'an prochain.
"Nous aimerions voir Jacques dans une Williams, si bien sûr il reste sur notre liste, en août ou septembre."
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| Posté le 12-06-2004 à 11:34:11
| Golf: Couples domine à la classique Buick
Presse Canadienne
L'acupunctrice personnelle de Fred Couples pourrait être à Shinnecock Hills la semaine prochaine si ce dernier continue de jouer de la sorte.
Après deux séances - une en soirée et une en matinée - avec l'acupunctrice Halina Snowball, Couples, 44 ans, a remis une carte exempte de bogey de 65, vendredi, pour prendre les devants au terme de la deuxième ronde de la classique de golf Buick.
"Dès que j'ai quitté son cabinet, hier, je n'avais plus aucune douleur au dos", a dit Couples, qui totalise 132 coups, soit dix sous la normale.
"Je ne comprends pas, mais je vais continuer le traitement. C'est incroyable ce qu'ils peuvent faire."
Deuxième au tournoi Memorial la semaine dernière, Couples a inscrit le birdie lors de ses deux derniers trous sur les allées du Club de golf Westchester pour devancer d'un coup Vijay Singh, Fredrik Jacobson et son jeune partenaire de jeu, Luke Donald.
"J'ai gardé la balle en jeu, ce qui est la clé ici", a dit Couples qui sera à Shinnecock Hills la semaine prochaine pour l'Omnium de golf des Etats-Unis. L'épouse de Couples, Thais, voulait que son mari se retire du tournoi mercredi, afin d'être frais et dispos pour le U.S. Open.
"J'ai quitté la maison jeudi, alors qu'elle dormait encore, a dit Couples. Elle est en ville avec les enfants, Quand je vais lui apprendre que je domine le tournoi, elle risque d'avoir une crise cardiaque."
Couples a tiré parti d'un double bogey (7) de Jacobson au neuvième trou, une normale cinq.
"Ca aurait pu être un neuf", a dit le Suédois, dépité.
Il a conclu avec un 69, Donald a joué 66 et Singh a enchaîné un 70 à sa ronde inaugurale de 63. Les trois golfeurs sont à 133.
"J'ai frappé beaucoup de coups avec des demi-élans, a dit Singh, vainqueur en 1993 et 1995. Quand tu es entre deux bâtons, c'est très difficile d'être proche du fanion."
David Morland IV, d'Aurora, en Ontario., a retranché trois coups à la normale en trois jours. Pour sa part, Mike Weir de Bright's Grove, Ont., a raté la qualification du week-end par un coup, lui qui était à moins un après 36 trous.
Stephen Ames de Calgary a lui aussi raté le rendez-vous de fin de semaine avec une fiche de deux coups au-dessus de la normale.
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| Posté le 12-06-2004 à 11:34:53
| Golf: Bean, Harris et Doyle se partagent la tête au tournoi Bayer Advantage
Presse Canadienne
Andy Bean, John Harris et Allen Doyle ont égalé le record du parcours grâce à des scores de 65, sept coups sous la normale, vendredi, et ils partagent le premier rang après le premier parcours du tournoi pro-am des célébrités Bayer Advantage.
Mark James et Morris Hatalsky suivent à un coup du trio de meneurs tandis que six joueurs ont retranché cinq coups à la normale.
En tout, 20 golfeurs sont à quatre coups de la tête à la veille de la deuxième de trois rondes.
Dave Barr a ramené une carte de 73 ce qui le laisse au 47e rang.
Bean s'est hissé au sommet du classement une semaine après avoir dû se retirer de la ronde finale de la classique Farmers Charity, en raison d'une allergie alimentaire.
Bean, qui partageait le premier échelon avant le dernier parcours, s'est évanoui et il a été incapable de prendre le départ.
Il a ainsi laissé filer la chance de signer une première victoire depuis son triomphe à la classique Byron Nelson en 1986.
"Je ne mangerai pas de muffins et de saucisses au déjeuner!", a blagué Bean, vendredi.
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| Posté le 12-06-2004 à 11:35:33
| Angelos acceptera à contre coeur un transfert des Expos à Washington D.C.
Presse Canadienne
Si les Expos de Montréal devaient être vendus à un groupe d'hommes d'affaires de Washington D.C. ou de la Virginie du Nord, Peter Angelos, le propriétaire des Orioles de Baltimore, se pliera à contre-coeur à la décision des autorités du baseball majeur.
"Malheureusement, je n'ai pas le choix, a admis Angelos, lors d'une conversation téléphonique vendredi soir. Après tout, Washington est également ma capitale."
Malgré tout, Angelos demeure totalement opposé au transfert des Expos à Washington D.C. ou en Virginie du Nord.
Il est convaincu qu'il est impossible d'opérer avec succès deux équipes évoluant à l'intérieur de marchés aussi rapprochés.
"Une autre équipe des ligues majeures dans un rayon aussi rapproché aurait pour effet de créer deux concessions médiocres sur le plan compétitif", a affirmé le propriétaire des Orioles.
Selon Angelos, une formation située dans un rayon de 100 kilomètres de Baltimore priverait les Orioles d'une importante source de revenus, car plusieurs de leurs supporters proviennent de la banlieue de Washington D.C..
Toutefois, Angelos ne s'objecterait pas au transfert des Expos à Norfolk, en Virginie, une autre ville qui cherche à se doter d'une équipe des ligues majeures.
"C'est à 180 milles (288 kilomètres) de Baltimore, a fait remarquer Angelos, en parlant de Norfolk. Nous sommes situés à 100 milles (160 kilomètres) de Philadelphie, et tout va bien."
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| Posté le 12-06-2004 à 11:36:11
| Roger Cedeno suspendu pour quatre parties, et Steve Reed pour trois
Presse Canadienne
Le voltigeur Roger Cedeno des Cardinals de St.Louis a été suspendu pour quatre matchs et le releveur Steve Reed des Rockies du Colorado pour trois, à l'issue d'altercations avec des arbitres.
Les deux joueurs, qui ont aussi été mis à l'amende pour des sommes non dévoilées, ont interjeté appel de leur suspension respective. Ainsi, les sanctions entreront en vigueur une fois qu'ils auront rencontré les dirigeants du baseball majeur.
Cedeno a craché en direction Rick Reed mardi après que celui-ci l'ait chassé du match contre les Cubs de Chicago pour avoir brisé son bâton sur le marbre.
Cedeno critiquait à sa façon la décision de l'arbitre d'avoir appelé une troisième prise alors qu'il jugeait avoir retenu son élan.
Reed a longuement protesté et lancé son gant en direction de Bruce Dreckman, frustré que l'arbitre ait envoyé A. J. Pierzynski au premier but après avoir été atteint au coude, procurant du même coup une avance de 10-2 aux Giants de San Francisco, dimanche.
Reed prétendait que Pierzynski n'avait rien fait pour tenter d'éviter son lancer.
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| Posté le 12-06-2004 à 15:09:18
| Coup d'envoi à Porto de l'Euro-2004 de football
LISBONNE (AFP), le 12-06-2004
La France, championne d'Europe en titre, l'Italie, finaliste malheureux, et, dans une moindre mesure, le Portugal, pays organisateur, comptent parmi les principaux favoris de l'Euro-2004 de football qui débute samedi avec Portugal-Grèce à Porto, premier des 31 matches prévus jusqu'à la finale le 4 juillet à Lisbonne.
De Porto à Lisbonne, en passant par Braga, Guimaraes, Aveiro, Coimbra, Leiria et Faro-Loulé, le Portugal, qui a investi en tout près de 650,5 millions d'euros pour être à la hauteur de l'événement, va vivre au rythme du ballon rond pendant près d'un mois. Hormis la Turquie, 3e du dernier Mondial, et, dans une moindre mesure, la Belgique et la Serbie-Monténégro, pas un grand nom du football européen ne manque à l'appel pour la XIIe édition d'une épreuve dont le niveau croît tous les quatre ans.
Parmi les seize sélections appelées à se disputer la Coupe Henry-Delaunay, et au nombre desquelles figurent tous les vainqueurs depuis 1960, l'équipe de France de Zidane et Henry recueille la majorité des suffrages, notamment parmi les grands anciens comme Eusebio ou Beckenbauer, devenant l'équipe à battre du tournoi. En cas de parcours parfait, le vainqueur pourrait toucher un maximum de 18,3 M EUR selon les calculs effectués par l'Union européenne de football (UEFA).
A 48 heures de son premier match contre l'Angleterre, dimanche à Lisbonne, l'équipe de France de football s'est livrée à un entraînement ludique, se répartissant en plusieurs ateliers, vendredi après-midi au stade de Santo Tirso (nord de Porto). Sous un chaud soleil et devant un gros millier de spectateurs, les Bleus dont aucun ne manquait à l'appel, se sont répartis en plusieurs ateliers sitôt l'échauffement achevé. David Trezeguet, victime d'une entorse à la cheville droite la semaine passée, a confirmé son retour en forme en s'entraînant tout à fait normalement.
Ainsi, certains ont pris part à une partie de tennis-ballon, tandis que d'autres ont travaillé les corners devant un but gardé par Grégory Coupet. De l'autre côté du terrain, Thierry Henry et Zinédine Zidane se sont exercés avec application aux coups francs et aux reprises de volée sur centre, bombardant sans ménagement Mickaël Landreau, le 3e gardien qui n'était pas à la fête. De leur côté, Marcel Desailly, Lilian Thuram et Bixente Lizarazu se sont contentés d'un travail très léger, fait de courses et d'étirements.
Signe de la décontraction et de la bonne humeur ambiante, plusieurs bleus, Zidane en tête, sont allés sacrifier à une séance d'autographes pour les curieux massés derrière le grillage. Vainqueurs en 1984 puis en 2000 aux Pays-Bas et en Belgique, au terme d'une finale au dénouement tragique (2-1 b.e.o face à l'Italie), les Français, délestés d'une suffisance qui leur avait coûté cher au Mondial-2002, semblent disposer de tous les atouts pour se succéder à eux-mêmes. Après un parcours parfait en qualifications (8 victoires en autant de matches) dans un groupe de moyenne envergure, les Français, remis en selle par Jacques Santini et invaincus depuis 18 rencontres (16 victoires et 2 nuls), vont néanmoins être rapidement fixés sur la réalité de leurs ambitions face aux Anglais, dimanche.
Rarement inspirée par l'épreuve, l'Angleterre semble avoir trouvé ses marques avec le Suédois Sven Goran Eriksson. Tombeurs de la Turquie en qualifications, les quarts de finaliste du Mondial-2002 semblent être arrivés à maturité avec une sélection bâtie autour du massif Sol Campbell en défense, de l'icône David Beckham au milieu et du vif Michael Owen en attaque. Respectueux à l'égard des Français (neuf d'entre eux évoluent en Premier League), mais pas craintifs, les Anglais vont également devoir faire face à la Suisse, prochain pays co-organisateur avec l'Autriche, et à la solide Croatie, les deux outsiders du groupe B.
Dans le groupe C, l'Italie est l'autre grande nation favorite. Finaliste malheureuse de l'édition 2000 qui lui a échappé pour quelques secondes, la Squadra azzurra, à la recherche d'un titre depuis le Mondial-82, enrage d'être devenue "toujours placée, jamais gagnante". Avec Totti, Del Piero, Buffon, Nesta et autres Vieri, les Italiens de Giovanni Trapattoni, et qui ne pointent paradoxalement qu'à la 10e place au classement de la Fédération internationale (FIFA), s'annoncent redoutables.
Mais ils devront d'abord se débarrasser de la Bulgarie, du Danemark, le vainqueur surprise de l'Euro-92, et de la Suède au premier tour. Trois équipes sans grandes vedettes mais dotées d'un collectif qui a remarquablement fait ses preuves lors des qualifications.
Le Portugal recueille lui aussi la majorité des suffrages pour la victoire finale... parmi les Portugais. C'est dire si l'attente est grande dans le pays organisateur. Demi-finalistes en 2000, les Portugais, pris en charge depuis 2003 par le sélectionneur brésilien Luiz Felipe Scolari, vainqueur du Mondial-2002, veulent absolument s'imposer à domicile comme la France en 1984. La talentueuse génération des trentenaires Figo, Rui Costa et Couto, épaulée par les prodiges Cristiano Ronaldo et Deco, doit l'emporter pour ne pas s'en aller sans un titre.
Dans le groupe A, les Portugais vont pourtant devoir faire avec la méconnue Grèce, la fantasque Russie, et, surtout, avec le voisin ibère, l'Espagne. Troisième nation au classement de la FIFA, regorgeant de joueurs d'exception (Raul, Morientes, Valeron), la sélection espagnole, la plus jeune de l'Euro (25,6 ans de moyenne), ne compte pourtant pas parmi les grosses cotes. Tout cela parce que les Espagnols, vainqueurs de l'Euro-64 (leur seul trophée international), ont pris la fâcheuse habitude de caler dès les quarts de finale en 1996 et en 2000. "Je crois que cette fois nous pouvons devenir champions", annonce pourtant l'attaquant Fernando Torres qui, à 20 ans, représente la nouvelle génération espagnole, dénuée de complexes.
Enfin, dans le groupe D, en apparence le plus difficile, ils vont être trois à se disputer les deux premières places synonymes de quarts. Ce n'est en effet pas faire injure à la Lettonie, invitée surprise, que de la mettre "hors jeu" dans la lutte que vont se livrer la République tchèque, l'Allemagne et les Pays-Bas. Autour du Ballon d'or Nedved, du gardien Cech et du géant Koller (2,02 m) en attaque, les Tchèques, finalistes de l'édition 96, sont les gros outsiders de la compétition. Ils ont survolé leur groupe qualificatif devant les Pays-Bas et, depuis deux ans, ne se sont inclinés que deux fois (pour 16 victoires et 5 nuls).
Les Pays-Bas justement qui, en plus des conflits internes qui minent régulièrement leur groupe, vont devoir se montrer plus convaincants que lors de leurs deux derniers matches amicaux, deux défaites face à la Belgique puis l'Eire (1-0). "C'était un match indigent", enrageait après coup le sélectionneur néerlandais Dick Advocaat.
Une phrase qu'aurait pu reprendre à son compte son homologue allemand Rudi Voeller après les défaites en amical face à la Roumanie (5-1) et la Hongrie (2-0). La Mannschaft ne s'était rarement présentée en si piteux état dans une grande compétition. C'est dire si le premier match des vice-champions du monde, mardi face aux Néerlandais, s'avère d'ores et déjà crucial. Et cela même si les Allemands sont toujours fidèles au rendez-vous, même et presque surtout quand on les croit en crise.
Calendrier et horaires de la phase finale (heures GMT):
. Groupe A: 12 juin: (16h00) Portugal - Grèce à Porto (Dragao) (18h45) Espagne - Russie à Faro/Loulé 16 juin: (16h00) Grèce - Espagne à Porto (do Bessa) (18h45) Russie - Portugal à Lisbonne (la Luz) 20 juin: (18h45) Espagne - Portugal à Lisbonne (Alvalade) (18h45) Russie - Grèce à Faro/Loulé . Groupe B: 13 juin: (16h00) Suisse - Croatie à Leiria (18h45) France - Angleterre à Lisbonne (la Luz) 17 juin: (16h00) Angleterre - Suisse à Coimbra (18h45) Croatie - France à Leiria 21 juin: (18h45) Croatie - Angleterre à Lisbonne (la Luz) (18h45) Suisse - France à Coimbra . Groupe C: 14 juin: (16h00) Danemark - Italie à Guimaraes (18h45) Suède - Bulgarie à Lisbonne (Alvalade) 18 juin: (16h00) Bulgarie - Danemark à Braga (18h45) Italie - Suède à Porto (Dragao) 22 juin: (18h45) Italie - Bulgarie à Guimaraes (18h45) Danemark - Suède à Porto (do Bessa) . Groupe D: 15 juin: (16h00) R.tchèque - Lettonie à Aveiro (18h45) Allemagne - Pays-Bas à Porto (Dragao) 19 juin: (16h00) Lettonie - Allemagne à Porto (do Bessa) (18h45) Pays-Bas - R.tchèque à Aveiro 23 juin: (18h45) Pays-Bas - Lettonie à Braga (18h45) Allemagne - R.tchèque à Lisbonne (Alvalade) Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les quarts de finale.Quarts de finale: 24 juin: 1. (18h45) Vainqueur Gr. A - 2e du Gr. B à Lisbonne (stade de la Luz) 25 juin: 2. (18h45) Vainqueur Gr. B - 2e du Gr. A à Lisbonne (stade Alvalade) 26 juin: 3. (18h45) Vainqueur Gr. C - 2e du Gr. D à Faro/Loulé 27 juin: 4. (18h45) Vainqueur Gr. D - 2e du Gr. C à Porto (stade Dragao) Demi-finales: 30 juin: 1. (18h45) Vainqueur quart N.1 - Vainqueur quart N. 3 à Lisbonne (Alvalade) 1er juillet: 2. (18h45) Vainqueur quart N.2 - Vainqueur quart N. 4 à Porto (stade Dragao)Finale le 4 juillet (18h45) à Lisbonne (stade de la Luz) Il n'y a pas de match pour la troisième place
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| Posté le 12-06-2004 à 15:12:55
| 24 Heures du Mans auto: deux Audi en première ligne
LE MANS (AFP), le 11-06-2004
Audi, vainqueur avec ses propres autos à trois reprises et une fois par procuration avec Bentley, ces quatre dernières années, sera favori des 72e 24 Heures du Mans automobiles, samedi et dimanche sur le circuit de la Sarthe, en dépit de la résistance des écuries Zytek et Pescarolo.
Le constructeur allemand n'apparaît pas officiellement: les prototypes R8 sont engagés par des écurie privées, en relations avec les filiales du groupe Audi en Grande-Bretagne, au Japon et aux Etats-Unis.
Le risque d'avoir des autos moins compétitives n'existe pas vraiment, dans la mesure où la maison mère surveille ses voitures et assure un soutien technique et technologique.
"La différence entre officiel et privé se situe au niveau de la presse et des relations publiques, pas sur l'auto et le personnel", souligne ainsi le Danois Tom Kristensen, qui tentera au volant de l'Audi "japonaise" de l'écurie Goh de glaner son sixième succès aux 24 Heures et de rejoindre ainsi le Belge Jacky Ickx.
Audi, grâce à la structure britannique Veloqx, a placé deux autos en première ligne, avec la N.88 des Britanniques Johnny Herbert, Jamie Davies et Guy Smith, qui partira en position de pointe, et sa soeur jumelle, la N.8 des Allemands Frank Biela, Pierre Kaffer et du Britannique Allan McNish.
Ces deux autos se sont montrées souveraines lors des essais, contrairement aux deux autres Audi. Ces dernières ont en effet montré quelques faiblesses et ont été débordées par la Zytek de l'Australien David Brabham, du Britannique Andy Wallace et du Japonais Hayanari Shimoda, qui s'intercale en 3e position.
L'Audi "japonaise" vient ensuite, devant la première Pescarolo C60 Judd des Français Sébastien Bourdais, Nicolas Minassian et Emmanuel Collard, 5e, et la dernière Audi, "l'Américaine" de l'écurie Champion, 6e.
Les Dome ont été les principales victimes de cette bataille des essais et se retrouvent 7e et 8e sur la grille, avec d'abord la N.9, à moteur Mugen, des Japonais Hiroki Kato, Ryo Michigami et Ryo Fukuda, puis la N.15 du Néerlandais Jan Lammers (l'âme de ce projet) du Britannique Rob Barff et du Portugais Joao Barbosa.
Pendant la course, cette hiérarchie devrait se vérifier. Les Audi d'après les pilotes concurrents sont également avantagées car elles ont une consommation raisonnable par rapport aux autres protos.
Toutefois, la modification du règlement cette année en ce domaine, qui réduit la capacité des réservoirs de 90 à 80 litres, devrait amoindrir cet avantage pour les voitures allemandes.
Ensuite interviennent des questions de stratégie de ravitaillement, apparaissant comme autant de casse-têtes pour les écuries.
Celles-ci auront le choix entre adopter un rythme moindre pour obtenir une consommation plus basse et donc effectuer moins de ravitaillements, ou pousser les voitures au maximum, quitte à s'arrêter plus souvent que ses adversaires.
La course s'annonce également serrée en catégorie GT, où Corvette et Ferrari sont de nouveau très proches. Ferrari a enlevé la première manche, réussissant le meilleur temps de la catégorie aux essais. Mais elle ne possède que trois dixièmes d'avance sur la première Corvette, qui tentera de prendre sa revanche dimanche à l'arrivée.
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| Posté le 12-06-2004 à 15:15:12
| GP du Canada: Michael Schumacher et Ferrari toujours
MONTREAL (AFP), le 11-06-2004
Comme d'habitude lors des premières séances d'essais libres vendredi matin, Michael Schumacher et Ferrari se sont montrés les rapides au Grand Prix du Canada, 8e épreuve du Championnat du monde de Formule 1, sur le circuit Gilles-Villeneuve dans l'Ile Notre-Dame à Montréal.
L'Allemand a devancé son coéquipier, le Brésilien Rubens Barrichello, les pilotes-essayeurs, Anthony Davidson (BAR-Honda) et Ricardo Zonta (Toyota), les Renault de Jarno Trulli et Fernando Alonso, la BAR-Honda de Jenson Button et les Williams-BMW de Juan Pablo Montoya et Ralf Schumacher.
Dès ses premiers tours, le sextuple champion du monde a réalisé le temps de référence avant d'améliorer régulièrement lors d'une séance courue sous un ciel ensoleillé (18 degrés, 39 sur la piste). Quant aux McLaren-Mercedes, elles ont encore paru en retrait: Kimi Raikkonen et David Coulthard ne réussissant respectivement que les 13e et 16e temps.
Le Belge Bas Leinders (Minardi) en panne, le Suédois Bjorn Wirdheim (Jaguar) victime de problèmes, et Giogio Pantano (Jordan), immobilisé dans son stand, n'ont pas pu réaliser de temps.
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:14.013 (moyenne: 212,119 km/h)
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:14.291 Anthony Davidson (GBR/BAR-Honda) 1:14.519 Ricardo Zonta (BRE/Toyota) 1:14.952 Jarno Trulli (ITA/Renault) 1:15.428 Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:15.606 Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:15.905 Juan Pablo Montoya (COL/Williams-BMW) 1:15.928 Ralf Schumacher (ALL/Williams-BMW) 1:15.948 Olivier Panis (FRA/Toyota) 1:15.997 Giancarlo Fisichella (ITA/Sauber-Petronas) 1:16.340 Cristiano Da Matta (BRE/Toyota) 1:16.475 Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) 1:16.570 Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:16.655 Mark Webber (AUS/Jaguar-Cosworth) 1:16.820 David Coulthard (GBR/McLaren-Mercedes) 1:16.947 Nick Heidfeld (ALL/Jordan-Ford) 1:17.135 Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:17.447 Timo Glock (ALL/Jordan-Ford) 1:17.890 Christian Klien (AUT/Jaguar-Cosworth) 1:18.463 Gianmaria Bruni (ITA/Minardi-Cosworth) 1:18.828 Zsolt Baumgartner (HUN/Minardi-Cosworth) 1:18.959 Bas Leinders (BEL/Minardi-Cosworth)
Bjorn Wirdheim (SUE/Jaguar-Cosworth)
Giorgio Pantano (ITA/Jordan-Ford)
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| | fredchoucas | | Administrateur | | | 8568 messages postés |
| Posté le 13-06-2004 à 11:36:25
| Euro-2004: France/Angleterre, le choc des titans
LISBONNE (AFP), le 13-06-2004
Inscrite dans la légende des siècles, la rivalité entre la France et l'Angleterre trouve dimanche une nouvelle fois à s'exprimer avec l'un des chocs les plus attendus du premier tour (groupe B) de l'Euro-2004 de football.
Une défaite ne serait pas irréversible. Une victoire constituerait un avantage psychologique certain. Un nul ne mortifierait personne. Comme pour corser encore une confrontation pimentée par tradition, les ennemis d'un soir en sélection nationale sont souvent frères en club pendant la saison.
Qu'il s'agisse des Madrilènes du Real, Zinédine Zidane et David Beckham, ou des Londoniens d'Arsenal, Thierry Henry et Sol Campbell, pour ne citer que les plus célèbres, les duos habituels doivent céder la place aux duels. Tenants du titre, les Français entendent partir du bon pied dans l'espoir de conserver leur trophée. Et faire oublier un Mondial-2002 calamiteux. Jamais couronnés au niveau européen, les Anglais - inventeurs du jeu - aimeraient corriger cette injustice de l'Histoire. Une victoire sur le champion sortant leur donnerait un bel élan.
L'autre rencontre du jour est moins chargée de symboles mais, dans l'ombre du match phare, la Suisse et la Croatie jouent une partie tout aussi importante. Maillons faibles présumés, l'une et l'autre savent que les points à venir seront encore plus difficiles à prendre face aux deux favoris du groupe.
Samedi, le Portugal, pays hôte de l'Euro-2004 de football, a été humilié par la Grèce (2-1) en match d'ouverture au Stade du Dragon de Porto (groupe A). La Selecçao a fait naufrage dès les premières minutes. Karagounis, profitant d'un ballon perdu au milieu du terrain, a ovuert le score d'un tir au ras du poteau, plongeant les 52.000 supporteurs portugais dans l'effroi (0-1, 7). Mais le cauchemar s'est poursuivi pour le sélectionneur brésilien du Portugal quand Basinas a concrétisé un penalty après une faute sur Seitaridis de... Cristiano Ronaldo.
Au cours du second match de la journée, dans la soirée, L'Espagne (groupe A) a pour sa part sauvé l'honneur ibérique en battant la Russie 1-0 (mi-temps: 0-0) à Faro, grâce à un but de Juan Carlos Valeron à la 60e minute, 36 secondes après être entré sur le terrain à la place de Morientes.
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| | fredchoucas | | Administrateur | | | 8568 messages postés |
| Posté le 13-06-2004 à 11:44:26
| F1: Ralf Schumacher en "pole", son frère en difficulté à Montréal
MONTREAL (AFP), le 13-06-2004
On attendait Michael Schumacher (Ferrari) et c'est le cadet, Ralf (Williams-BMW) qui occupera la première place sur la grille de départ du Grand Prix du Canada, huitième épreuve du Championnat du monde de Formule 1, dimanche sur le circuit Gilles Villeneuve dans l'Ile Notre-Dame à Montréal.
Samedi lors des qualifications, l'Allemand de la Scuderia n'avait rien pu faire face aux rivaux qu'il redoutait, BAR-Honda et Renault, mais aussi face aux Williams-BMW. Sixième à plus d'une seconde de son petit frère, la tâche s'annonce délicate dimanche pour le pilote Ferrari, lui qui vise sa septième victoire au Canada, la septième aussi cette saison.
"Ce sera difficile pour Ferrari", annonçait d'ailleurs Ralf Schumacher. Le sextuple champion du monde et Rubens Barrichello doivent en effet s'élancer non seulement derrière Ralf et Jenson Button (BAR-Honda), mais également derrière Jarno Trulli (Renault), Juan Pablo Montoya (Williams-BMW) et Fernando Alonso (Renault). Et encore, cela aurait pu être pire pour le "Baron rouge". Sans un tête-à-queue après la dernière chicane, à l'entrée de la ligne droite des stands, à quelques centaines de mètres de la ligne d'arrivée, le Japonais Takuma Sato aurait placé lui aussi sa BAR-Honda devant les Ferrari.
"On ne s'attendait pas à être aussi forts, surtout après les problèmes de freins rencontrés vendredi", reconnaissait Ralf Schumacher. Ce dernier venait d'obtenir sa première pole position de la saison, la cinquième de sa carrière, après avoir établi un nouveau record de la piste à plus de 217 km/h de moyenne.
Pour Ralf, la compétitivité des pneus Michelin a fait la différence. Samedi les températures avoisinaient les 22°C, 45°C sur la piste. L'idéal pour les gommes françaises. Et l'on prévoyait 27°C dimanche. D'où la confiance du clan Michelin, de BAR-Honda, de Renault et de Williams-BMW. De tous cependant, Button, Trulli et Alonso, paraissent les mieux placés pour faire chuter une nouvelle fois la Scuderia, le "Baron rouge" dimanche.
Le Britannique craint le départ foudroyant des voitures françaises. De plus, les Renault semblaient disposer d'une plus grande quantité de carburant embarquée que la Williams-BMW de Ralf Schumacher ou la BAR-Honda de Button. "L'écart qui nous sépare des deux de devant est trop important pour qu'il n'y ait pas une différence de carburant", analysait le responsable d'exploitation moteur de Renault, Denis Chevrier. D'où la confiance de Trulli, d'Alonso quant à la justesse de leur stratégie.
Encore faudra-t-il passer sans encombre la première chicane, ce goulet situé à moins de cinq cents mètres du départ. Michael Schumacher sait que tout peut se jouer à cet endroit. Surtout pour lui qui, partant sur le mauvais côté de la piste, pourrait perdre quelques places supplémentaires. "Ce n'est pas ce que nous espérions, admettait le directeur de Ferrari, Jean Todt. Cela va compliquer notre course". "Maintenant, cela va être intéressant de voir comment les pneus se comporteront en course et ce que nous pourrons gagner par rapport à ce que nous avons perdu en qualifications. J'ai remporté des Grands Prix en partant de plus loin sur la grille. Alors je reste confiant", se rassurait le "Baron rouge".
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| Posté le 13-06-2004 à 11:45:31
| Euro-2004: douche glacée pour le Portugal, l'Espagne assure
PORTO (AFP), le 13-06-2004
Le Portugal, pays hôte de l'Euro-2004 de football, a totalement manqué son entrée en scène en étant humilié (2-1) par la Grèce en match d'ouverture du tournoi samedi au Stade du Dragon de Porto.
L'autre favori du groupe (A), l'Espagne, est en revanche venu à bout (1-0) comme prévu de Russes qui, sous la baguette magique d'Alenichev, ont toutefois brillamment résisté une heure avant de baisser pavillon sur un but (60) marqué par Valeron 36 secondes après son entrée en jeu.
A l'issue de cette première journée, ce sont néanmoins les surprenants Grecs qui occupe la tête du classement provisoire au bénéfice de la meilleure attaque.
Chiffre symbolique de la culture portugaise, le 7 n'a pas porté bonheur aux coéquipiers de Luis Figo. A la 7e minute, Karagounis profitait d'une balle perdue pour faire mouche d'un tir au ras du poteau. Paniqués, les locaux réagissaient par des raids individuels d'autant plus voués à l'échec que Nikopolidis, le gardien grec, se montrait irréprochable.
Juste avant la 7e minute de la seconde période, le ciel tombait sur la tête des Portugais sous forme d'un penalty concédé par Cristiano Ronaldo qui avait remplacé Simao Sabrosa à la reprise. Basinas le transformait imparablement (51). La messe était dite, ponctuée par la bronca du public, et le but de Ronaldo, réduisant le score dans le temps additionnel (90+3), ne rendait même pas la défaite moins amère.
Les Portugais, trop fébriles pour assumer leur statut de favori, se sont vraisemblablement condamnés à battre la Russie mercredi puis l'Espagne le 20 juin pour accéder aux quarts de finale. Les Grecs ont à l'inverse empoché un précieux joker avant d'affronter ces mêmes adversaires. Désormais prévenus.
Les Espagnols auront tout intérêt à assurer leur qualification face aux Hellènes pour éviter un rendez-vous à quitte ou double avec les Portugais lors de la dernière journée. Encore faudra-t-il à ces derniers se racheter face à des Russes dont ce sera aussi la dernière chance.
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| Posté le 13-06-2004 à 11:46:30
| Top 16 de rugby: Stade Français, Bourgoin et Perpignan en demi-finales avec Toulouse
PARIS (AFP), le 12-06-2004
Le Stade Français, Bourgoin et Perpignan ont rejoint samedi, à l'issue de la sixième et dernière journée du play-off, le Stade Toulousain parmi les équipes qualifiées pour les demi-finales du Championnat de France de rugby (Top 16).
En demi-finale, le Stade Français affrontera Bourgoin le samedi 19 juin (16h00) à Lyon, alors que le Stade Toulousain sera opposé à Perpignan le dimanche 20 juin (17h30) à Montpellier.
Le Stade Français a décroché sa qualification en écrasant le Stade Toulousain (49-17), alors que Perpignan a assuré sa présence dans le dernier carré en battant Castres (23-7).
La victoire de Perpignan sur Castres profite à Bourgoin qui, bien que battu à Castres (28-22), accède aux demi-finales.
Les Berjalliens terminent à égalité avec Castres à la deuxième place de la poule A, mais ils devancent les Tarnais à la différence particulière de points (+2). Bourgoin avait été battu de sept points (18-25) à Castres, avant de s'imposer avec neuf longueurs d'avance (35-26) au match retour.
Biarritz, au moins demi-finaliste lors des trois derniers championnats, est le grand absent du dernier carré.
Les Biarrots se sont imposés pour l'honneur à Brive (37-20). Ils terminent à la troisième place de la poule B, derrière le Stade Français et le Stade Toulousain.
Les demi-finales constitueront le troisième rendez-vous de la saison entre les équipes. Bourgoin a battu le Stade Français à deux reprises lors de la première phase (36 à 22 le 25 octobre à Paris et 18 à 12 le 13 mars à domicile).
Le choc Stade Toulousain - Perpignan constituera une belle: les Toulousains l'avaient emporté (24-16) au match aller, avant de s'incliner au retour (32-3) avec une équipe "bis".
La dernière journée du play-off a également permis de décerner à Biarritz, troisième de la poule B, le dernier billet qualificatif pour l'édition 2004-2005 de la Coupe d'Europe.
Les Biarrots représenteront la France sur la scène continentale en compagnie des quatre demi-finalistes (le Stade Français, Bourgoin, le Stade Toulousain et Perpignan) et de Castres, vainqueur du Challenge Sud-Radio, compétition disputée en début de saison, en l'absence des joueurs internationaux.
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| Posté le 13-06-2004 à 12:14:38
| Ralf partira 1er, Michael 6e
Presse Canadienne
C'est bel et bien un Schumacher qui partira de la position de tête au Grand Prix du Canada, dimanche. Mais ce n'est pas celui qu'on attendait.
Ralf Schumacher, le dernier à s'élancer en piste lors des qualifications, a pulvérisé le record du circuit Gilles-Villeneuve, samedi après-midi, soufflant la pole au Britannique Jenson Button (BAR-Honda).
Schumacher, survolté au volant de sa Williams-BMW, a réalisé un tour parfait en une minute et 12,275 secondes, devançant in extremis Button de 66 millièmes de seconde lors d'une séance qui s'est déroulée dans des conditions idéales sur l'Ile Notre-Dame.
Le précédent record officiel du circuit (1:12,836) appartenait au Colombien Juan-Pablo Montoya depuis 2002.
Derrière ce duo de tête, la deuxième ligne sera occupée l'Italien Jarno Trulli (Renault) et Montoya (Williams-BMW).
L'Allemand Michael Schumacher (Ferrari) aura fort à faire s'il désire remporter une septième victoire en carrière à Montréal. Il partira de la 6e position sur la grille de départ, aux côtés de Fernando Alonso sur l'autre Renault.
Le Brésilien Rubens Barrichello, sur l'autre Ferrari, a signé le 7e temps.
Le sextuple champion du monde allemand a remporté le Grand Prix du Canada à six reprises, dont trois fois lors des quatre dernières années.
Le Japonais Takuma Sato (BAR-Honda), qui semblait en voie de réaliser un chrono qui lui aurait permis de s'installer sur la deuxième ligne de la grille, s'est montré trop téméraire. Il est monté un peu trop sur les vibreurs au dernier virage et il est parti en tête-à-queue. Il est toutefois parvenu à compléter son tour, inscrivant le 17e temps (1:17,004).
La recrue allemande Timo Glock, qui remplace à pied levé Giorgio Pantano chez Jordan, s'est classé 16e, à quatre secondes de la pole.
Avec 60 points en sept courses jusqu'ici, Michael Schumacher domine largement le classement du championnat du monde des pilotes devant Barrichello (46 points), Button (38) et Trulli (36).
Le départ du Grand Prix du Canada, présenté pour une 26e année à Montréal, se fera à 12h30, dimanche.
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| Posté le 13-06-2004 à 12:15:26
| La saison de Tomo Ohka est terminée
Presse Canadienne
Tomo Ohka, qui a subi une fracture de l'avant-bras droit, a été opéré avec succès samedi matin, en Floride.
L'opération a été pratiquée par le docteur Edward St.Mary, un spécialiste du Centre médical Wuestoff de Melbourne, où sont situées les installations des Expos en Floride. Le docteur St.Mary a inséré une plaque pour solidifier l'avant-bras d'Ohka.
Ohka devrait être à l'écart pendant environ trois mois et ses chances de revenir au jeu cette saison sont minces.
Il s'est fracturé l'avant-bras jeudi lors du deuxième match du programme double contre les Royals de Kansas City jeudi quand il a été atteint par un coup en flèche de Carlos Beltran, à la troisième manche.
Âgé de 28 ans, Ohka présente une fiche de 3-5 et une moyenne de points mérités de 3,01 en 12 départs.
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| Posté le 13-06-2004 à 12:16:40
| Cyclisme: Une erreur prive la jeune Audrey Lemieux de sa première victoire
Presse Canadienne
Une erreur de recrue pourrait-on dire. Samedi, lors de la quatrième étape du Grand prix de cyclisme féminin de Nature Valley qui se déroule au Minnesota jusqu'à dimanche, Audrey Lemieux (Quark) a raté une belle occasion de signer sa première victoire chez les professionnelles.
Très active durant une bonne partie de l'étape de 128 kilomètres, la coureuse originaire d'Alma se dirigeait vers la victoire d'étape.
Mais avec 200 mètres à faire, Lemieux s'est trompée de direction en se dirigeant dans la voie de déviation des véhicules de la caravane de course.
"J'ai contre-attaqué quand nous avons rejoint ma coéquipière Sarah Uhl et j'étais seule en tête. Un peu avant la ligne, c'était mal indiqué et je n'ai pas pris le bon chemin, ce qui a mêlé tout le monde. Je n'étais pas vraiment fière de mon coup!, a répété Lemieux à de nombreuses reprises durant l'entrevue, mais qui réussissait quand même à rire de sa mésaventure.
"Je m'en veux, mais dans un sens, les conséquences ne sont pas trop graves, a ajouté Lemieux, car Lyne (Bessette) termine deuxième au sprint."
Joanne Kiesanowski (Colavita Bolla) a remporté l'étape devant Bessette qui conserve son maillot de meneuse.
"Mes coéquipières ont très bien travaillé aujourd'hui (samedi), a analysé Bessette. Ce que nous voulions, c'est que personne ne prenne les temps de bonification car il y avait des sprinteuses bien placées au classement général à seulement 20 secondes de moi."
Avec une étape à faire et aucun temps de bonification disponible d'ici la fin, Bessette devrait logiquement conserver sa précieuse tunique. Ce maillot, comme elle l'explique, elle le doit en grande partie au travail de ses coéquipières.
"Je suis contente car ce sont des jeunes qui sont avec moi. Elles ont toutes moins de 23 ans. Elles sont fortes, nous faisons de petites erreurs, mais ce n'est pas grave. Elles prennent soin de moi, et je prends soin d'elles", a conclu Bessette.
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| Posté le 13-06-2004 à 12:17:23
| Les A's remportent un festival offensif, 12-11
Presse Canadienne
Jermaine Dye a cogné un simple alors que les coussins étaient tous occupés en neuvième manche, samedi, et les Athletics d'Oakland sont venus de l'arrière pour vaincre les Pirates de Pittsburgh par la marque de 12-11.
Marco Scutaro a amorcé la neuvième manche avec un double contre Mark Corey (0-1). Après le retrait au champ extérieur d'Eric Byrnes, Mark McLemore et Mark Kotsay ont reçu des buts sur balles intentionnels avant que Dye ne se présente à la pplaque.
Arthur Rhodes (3-3) a été victime d'un cinquième sabotage en 14 opportunités de sauvetage, le plus fort total dans la Ligue américaine. Le coup sûr opportun de Dye lui a cependant permis d'ajouter la victoire à son dossier.
Erubiel Durazo a fait marquer trois points pour les Athletics et Byrnes a cogné deux circuits.
Dans la défaite, Ruben Mateo a claqué deux circuits et Jason Bay a obtenu trois coups sûrs et deux points produits.
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| Posté le 13-06-2004 à 12:18:11
| Haltérophilie: Maryse Turcotte se paie un 12e titre canadien
Presse Canadienne
Le championnat canadien d'haltérophilie est venu confirmer ce que tout le monde savait depuis belle lurette: Maryse Turcotte participera aux Jeux olympiques d'Athènes.
Le total de 207,5 kg de Turcotte chez les moins de 58 kg a enlevé à ses rivales toute chance de la devancer au classement canadien.
Ce classement est établi selon un calcul mathématique qui tient compte des deux meilleures performances de chaque haltérophile.
Pour dépasser Turcotte, Miel McGerrigle (moins de 63 kg) et Pascale Dorcélus (moins de 69 kg), devront établir des records mondiaux de leur catégorie de poids lors de la deuxième journée du championnat canadien dimanche.
"C'est maintenant impossible qu'elles me rattrapent", a annoncé Turcotte, qui semblait soulagée de pouvoir parler ouvertement de sa qualification olympique, même si au fond elle le savait depuis longtemps.
"Le pire a été la qualification olympique en Colombie, car mon sort allait se jouer selon la performance de l'équipe canadienne. J'ai par contre eu un petit velours récemment, car la Fédération internationale a dressé sa liste des meilleures athlètes dans chacune des catégories et ils m'ont placée au dixième rang", a ajouté la Brossardoise.
Turcotte a soulevé des barres de 90 kg à l'arraché, égalant sa marque canadienne, et de 117,5 à l'épaulé-jeté, pour empocher un 12e titre canadien.
De plus (cela sera confirmé dimanche lors de la clôture des championnats canadiens), elle décrochera un huitième titre consécutif en tant qu'athlète par excellence du championnat, selon la formule Sinclair.
"Cette marque ne sera jamais battue!", a claironné son entraîneur, Pierre Bergeron fils.
"Je suis bien contente, car je ne pensais pas réussir un aussi bon résultat, a indiqué Turcotte en parlant de son total de 207,5 kg.
"Au début, nous voulions y aller de façon conservatrice pour éviter tout risque de blessure, mais l'entraînement avait bien été cette semaine et nous avons décidé de démarrer la compétition avec des barres un peu plus lourdes que prévu.
"En théorie, je devais commencer ma préparation pour Athènes, qui se déroule sur 12 ou 13 semaines, mais avec seulement une semaine de préparation pour la compétition, j'ai réussi à égaler mon meilleur total de la saison. C'est un très bon début d'été pour moi!"
Pour donner un petit aperçu de la domination de la Québécoise de 29 ans au sein même de sa catégorie, Valérie Lefebvre, de Huntingdon, a remporté l'argent en soulevant un total de 162,5 kg, soit 45 kg de moins que Turcotte.
"Si les filles ne font pas d'excellentes performances demain chez les 63 kg et 69 kg, il se pourrait fort bien que seules les participantes chez les super lourds (+75 kg) dépassent les totaux de Maryse!", a noté Bergeron fils, en conclusion.
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| Posté le 13-06-2004 à 12:18:55
| Golf: Allen Doyle menait par un coup après deux rondes au Bayer Advantage
Presse Canadienne
Allen Doyle a présenté une carte de 66, six coups sous la normale, samedi, pour prendre une avance d'un coup après deux parcours au tournoi pro-am des célébrités Bayer Advantage.
Doyle a réussi quatre birdies lors du neuf d'aller et trois autres en deuxième moitié de parcours pour se retrouver à 13 sous la normale avec un total de 131. Il était donc en bonne position pour récolter sa première victoire de la saison sur le circuit des Champion, sa première depuis la Classique Fleet Boston au mois d'août dernier.
Doyle n'a commis qu'un bogey, au 17e, mais il s'est tout de suite repris avec un birdie au 18e, ce qui lui a permis de devancer Jerry Pate. Ce dernier a égalé le record du parcours avec un 65, sept sous la normale.
Pate a gagné du terrain au classement grâce à trois birdies à ses cinq derniers trous.
Andy Bean (70), Mark James (69), Bob Gilder (68) et David Eger (68) étaient tous à quatre coups de la tête.
Le Canadien Dave Barr a ramené une carte de 68. Il se retrouvait à égalité au 20e rang avec un total de 141.
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| Posté le 14-06-2004 à 14:08:20
| Euro-2004: la France s'impose au finish face aux Anglais, l'Italie fait son entrée
LISBONNE (AFP), le 14-06-2004
Championne d'Europe en titre, l'équipe de France de football, longtemps menée au score, est parvenue à renverser la situation dans le temps additionnel pour battre finalement l'Angleterre (2-1) grâce à un doublé de Zidane, pour son 1er match de l'Euro-2004, dimanche à Lisbonne.
Alors que l'Angleterre semblait tout droit filer vers la victoire, les Bleus, à force de patience, ont finalement arraché la victoire sur un magnifique coup franc dans la première minute des arrêts de jeu (90+1), puis, deux minutes plus tard, un penalty, consécutif à une faute sur Henry, de Zinédine Zidane (90+3).
Au cours d'un match engagé mais sans violences, rarement les Bleus ne parvinrent à vraiment inquiéter le gardien anglais (aucun tir cadré en 1re période). Les Anglais, eux, très bien en place, surent d'abord attendre le bon moment pour dégainer. Et tout se joua sur un détail, puisque sur une faute de Lizarazu sur Beckham, le joueur du Real Madrid se chargea lui-même de tirer le coup franc, lequel trouva Lampard qui marqua de la tête (38).
Les Anglais pensèrent alors avoir fait le plus dur, opérant par contre, tandis que les Bleus, malgré leur combativité, ne parvenaient pas à se montrer dangereux. Les Anglais auraient même pu aggraver la marque si Barthez n'avait pas détourné un penalty de Beckham (73) à la suite d'une faute de Silvestre sur Rooney.
Un arrêt que l'on qualifiera de tournant du match puisque alors que l'on s'apprêtait à sabrer le champagne dans le vestiaire anglais, Zidane y alla de ses deux coups de pattes, laissant ses adversaires complètement abasourdis. Deux autres "détails" qui firent basculer le match.
Aux Bleus désormais, que l'on vit naturellement longtemps se congratuler au coup de sifflet final devant 30.000 supporteurs anglais ébahis, d'enfoncer le clou contre la Croatie, le 17 juin, pour le 2e match du groupe afin de s'ouvrir la porte des quarts de finale.
Auparavant dans le même groupe, la Suisse et la Croatie s'étaient séparées sur un résultat nul (0-0) à Leiria. C'est la Croatie qui peut le plus regretter de ne pas avoir remporté cette partie ennuyeuse et très engagée (9 avertissements dont 2 pour le Suisse Vogel, exclu à la 50e), puisqu'elle a joué à 11 contre 10 pendant près d'une mi-temps.
L'Italie entame lundi son Euro-2004 avec l'ambition d'effacer deux échecs qu'elle n'a toujours pas digérés: son élimination en huitième de finale du Mondial-2002 et, surtout, sa défaite in extremis contre la France en finale de l'Euro-2000.
Pour le premier match du groupe C, elle affronte à Guimaraes (nord-est de Porto) une équipe du Danemark toujours modeste, souvent sous-estimée mais qui n'aime rien tant que surprendre. Surtout les favoris, une caste à laquelle ressortit justement l'Italie.
Coutumière des querelles intestines, la Squadra Azzurra a été fidèle à sa tradition. Entre divas, on ne s'épargne pas et le Turinois Alessandro Del Piero a très mal vécu les éloges adressés par le sélectionneur Giovanni Trapattoni à son rival, le Romain Francesco Totti. Le capitaine Fabio Cannavaro a dû monter au créneau pour nier, à défaut d'endiguer, la zizanie: "L'Italie est unie", a-t-il proclamé.
Le sélectionneur danois Morten Olsen a, lui, joué dans son registre habituel, le profil bas. "L'Italie est favorite, c'est une grande équipe, avec des individualités de classe mondiale", s'est-il empressé de souligner. Humble mais pas résigné: "Nous pouvons faire un résultat contre n'importe qui. Mais il faudra être à plus de 100%". Les Italiens seraient bien avisés de se souvenir que, à l'Euro-1992, les Danois étaient arrivés sur la pointe des pieds. Mais ils étaient repartis avec la Coupe.
Dans l'autre match du groupe, Suédois et Bulgares en décousent à Lisbonne, bien décidés l'un et à l'autre à profiter à distance d'un éventuel faux pas de l'Italie.
. Le programme de lundi: Premier tour - Groupe C (17h00 locales, 16h00 GMT): Danemark - Italie à Guimaraes(19h45 locales, 18h45 GMT): Suède - Bulgarie à Lisbonne Résultats et classement du groupe B:
Suisse - Croatie 0 - 0France - Angleterre 2 - 1 Classement: Pts J G N P Bp Bc Dif1. France 3 1 1 0 0 2 1 +12. Suisse 1 1 0 1 0 0 0 02. Croatie 1 1 0 1 0 0 0 04. Angleterre 0 1 0 0 1 1 2 -1 Reste à jouer: 17/06: Angleterre - Suisse 17/06: Croatie - France 21/06: Croatie - Angleterre21/06: Suisse - France
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| Posté le 14-06-2004 à 14:18:46
| Euro-2004: en deux buts les Bleus ont assommé les Anglais
LISBONNE (AFP), le 14-06-2004
Quatre ans après sa victoire haletante en finale de l'Euro-2000 contre l'Italie (2-1, but en or), l'équipe de France de football a entamé l'Euro-2004 de la même façon en battant l'Angleterre (2-1), dimanche à Lisbonne dans le temps additionnel, sur deux coups de pied arrêtés de son capitaine Zinédine Zidane.
Pour remporter cette première victoire de leur histoire en phase finale contre l'Angleterre, les Bleus ont dû faire preuve d'une rage de vaincre très britannique, ce qui n'est pas le seul paradoxe d'un match qui a tenu toutes ses promesses.
Sur le plan tactique, la bataille a pourtant été gagnée dans le temps réglementaire par le sélectionneur suédois de l'Angleterre, Sven Goran Eriksson, qui a su faire jouer son équipe contre nature, un peu à l'italienne. Pendant 90 minutes, Thierry Henry et Robert Pires n'ont jamais eu les espaces dont ils profitent habituellement avec Arsenal alors que sur le flanc gauche, Zinédine Zidane se retrouvait seul, coupé de ses troupes.
Patrick Vieira avait beau promener sa grande carcasse aux quatre coins du terrain pour essayer de faire sauter les mailles du filet, les Bleus étaient dans la nasse.
Pendant 90 minutes, comme le reconnaissait Jacques Santini "les meilleures individualités des deux équipes ont été cadenassées par le collectif adverse". Sauf que Frank Lampard avait logiquement trouvé l'ouverture d'un coup de tête après un coup franc de Beckham et que les Anglais avaient le match en main.
"On ne devait pas perdre ce match vu la qualité de notre jeu. J'ai le sentiment qu'on a fait ce qu'il fallait, analysait à chaud Sven Goran Eriksson. Si ce match était à rejouer, je ne changerais rien à la tactique. Je demanderais juste à mes joueurs de rester plus concentrés dans les trois dernières minutes."
Car, heureusement pour les Bleus, le match a duré trois minutes de plus. Et c'est finalement grâce à un "fighting spirit" très britannique qu'ils ont renversé la vapeur.
L'histoire retiendra les deux coups de poignard de Zidane sur un chef d'oeuvre de coup franc (90+1) et sur un penalty tiré sans sourciller (90+3), comme contre le Portugal en demi-finale de l'Euro-2000.
Mais, en fait, ce match, qui ne pouvait se jouer que sur des détails tant les joueurs des deux équipes se connaissaient sur le bout des doigts, a basculé à la 73e minute grâce à Fabien Barthez.
"J'assume la responsabilité de mon penalty manqué", revendiquait à l'issue du match David Beckham, fidèle à son image de "gentleman". Mais c'est surtout son ancien équipier de Manchester United (MU) qui a réussi son arrêt grâce, selon le gardien français, à "90% de chance et 10% de concentration au moment de l'impulsion pour le plongeon".
"Le penalty arrêté par Barthez nous a aidés pour ne pas perdre pied aussi bien sur le plan physique que psychologique", reconnaissait Santini qui a eu le mérite de confirmer Barthez comme titulaire au moment même où Alex Ferguson ne voulait plus de lui à MU. "Il nous a galvanisés", insistait Zidane.
"Cela va donner une force terrible au groupe", analysait de son côté Bixente Lizarazu. Un peu comme si cette première victoire en match officiel contre les Anglais depuis 41 ans avait permis de chasser les vieux démons de 2002 qui planaient encore au-dessus du stade de Lisbonne à la fin du temps réglementaire.
Les Bleus vont encore devoir procéder à des réglages, notamment au niveau des automatismes entre Zidane et Henry, et sur leur capacité à modifier leur tactique en cours de match.
Mais, en prenant une option sur la qualification dans le groupe B, ils vont pouvoir continuer à travailler dans la sérénité. Car, de toute façon, seule la victoire est belle.
Résultats et classement du groupe B:
Suisse - Croatie 0 - 0France - Angleterre 2 - 1 Classement: Pts J G N P Bp Bc Dif1. France 3 1 1 0 0 2 1 +12. Suisse 1 1 0 1 0 0 0 02. Croatie 1 1 0 1 0 0 0 04. Angleterre 0 1 0 0 1 1 2 -1 Reste à jouer: 17/06: Angleterre - Suisse 17/06: Croatie - France 21/06: Croatie - Angleterre21/06: Suisse - France
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| Posté le 14-06-2004 à 14:20:40
| L'Italie entame son Euro-2004 avec des mauvais souvenirs à effacer
LISBONNE (AFP), le 14-06-2004
L'Italie entame lundi son Euro-2004 de football avec l'ambition d'effacer deux échecs qu'elle n'a toujours pas digérés: son élimination en huitième de finale du Mondial-2002 et, surtout, sa défaite in extremis contre la France en finale de l'Euro-2000.
Pour le premier match du groupe C, elle affronte à Guimaraes (nord-est de Porto) une équipe du Danemark toujours modeste, souvent sous-estimée mais qui n'aime rien tant que surprendre. Surtout les favoris, une caste à laquelle ressortit justement l'Italie.
Coutumière des querelles intestines, la Squadra Azzurra a été fidèle à sa tradition. Entre divas, on ne s'épargne pas et le Turinois Alessandro Del Piero a très mal vécu les éloges adressés par le sélectionneur Giovanni Trapattoni à son rival, le Romain Francesco Totti.
Le capitaine Fabio Cannavaro a dû monter au créneau pour nier, à défaut d'endiguer, la zizanie: "L'Italie est unie", a-t-il proclamé.
Le sélectionneur danois Morten Olsen a, lui, joué dans son registre habituel, le profil bas. "L'Italie est favorite, c'est une grande équipe, avec des individualités de classe mondiale", s'est-il empressé de souligner. Humble mais pas résigné: "Nous pouvons faire un résultat contre n'importe qui. Mais il faudra être à plus de 100%".
Les Italiens seraient bien avisés de se souvenir que, à l'Euro-1992, les Danois étaient arrivés sur la pointe des pieds. Mais ils étaient repartis avec la Coupe.
Dans l'autre match du groupe, Suédois et Bulgares en décousent à Lisbonne, bien décidés l'un et à l'autre à profiter à distance d'un éventuel faux pas de l'Italie.
. Le programme de lundi: Premier tour - Groupe C (17h00 locales, 16h00 GMT): Danemark - Italie à Guimaraes(19h45 locales, 18h45 GMT): Suède - Bulgarie à Lisbonne
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| Posté le 14-06-2004 à 14:22:20
| Basket NBA: Detroit à un match du sacre face aux Lakers
AUBURN HILLS (AFP), le 14-06-2004
Les Detroit Pistons, qui mènent désormais trois victoires à 1, se sont un peu plus rapprochés du sacre en Championnat nord-américain de basket-ball (NBA) après avoir dominé les Los Angeles Lakers (88-80), dimanche à Auburn Hills (Michigan).
Jamais aucune équipe n'a été remontée après avoir mené 3 à 1 en finale, et lors de son prochain rendez-vous à domicile mardi, l'outsider Detroit pourrait ainsi créer la surprise en remportant, face aux Lakers de Kobe Bryant et Shaquille O'Neal, son troisième titre après quinze ans de disette.
"Nous n'avons plus qu'à trouver un moyen de gagner encore un match et nous réaliserons notre rêve de gosse", espère maintenant Ben Wallace, auteur de 8 points et 13 rebonds.
Ses camarades, Rashed Wallace (26 points, 13 rebonds), Chauncey Billups (23 points) et Richard Hamilton (17 points, 6 passes) ont rendu inutiles les 36 points et 20 rebonds d'un Shaquille O'Neal en grande forme, dans ce qui fut le match le plus physique de la finale.
Les Detroit Pistons menaient de justesse (41-39) à la fin de la première période. Habitués à l'emporter dans le troisième quart-temps depuis le début de la série, ils ont eu cette fois plus de difficultés à se détacher. Mais ils finissaient par s'imposer dans le dernier quart-temps, en distançant leurs adversaires 32-24.
"Nous avons réussi à les tenir en dehors de la raquette et à nous positionner pour ne pas commettre trop de fautes tardives sur Shaq (O'Neal), a expliqué l'entraîneur de Detroit, Larry Brown. "J'ai dit aux garçons combien j'étais fier d'eux", a-t-il ajouté.
Résultats et programme de la finale NBA Detroit mène la série 3 victoires à 1 Dimanche 6 juin: Los Angeles Lakers - Detroit Pistons 75 - 87 Mardi 8 juin: Los Angeles Lakers - Detroit Pistons 99 - 91 Jeudi 10 juin: Detroit Pistons - Los Angeles Lakers 88 - 68 Dimanche 13 juin: Detroit Pistons - Los Angeles Lakers 88 - 80 Mardi 15 juin (01h00 GMT): Detroit Pistons - Los Angeles Lakers Jeudi 17 juin: Los Angeles Lakers - Detroit Pistons (si nécessaire) Dimanche 20 juin: Los Angeles Lakers - Detroit Pistons (si nécessaire)
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| Posté le 14-06-2004 à 14:43:42
| Richard Branson établit un nouveau record pour la traversée de la Manche
LONDRES (AFP), le 14-06-2004
Le milliardaire britannique Richard Branson a établi lundi matin un nouveau record de traversée de la Manche à bord d'un engin amphibie, a indiqué un porte-parole de son groupe, Virgin.
Le fondateur et propriétaire de Virgin a mis une heure, quarante minutes et six secondes pour parcourir les 35,2 kilomètres séparant Douvres (sud de l'Angleterre) de la ville française de Calais, pulvérisant de plus de quatre heures le précédent record détenu par deux Français.
Richard Branson, 53 ans, était aux commandes d'un engin révolutionnaire de conception britannique, le Gibbs Aquada, qui reprend le fonctionnement d'un jet-ski et peut rouler à 160 km/h sur route et atteint une vitesse de 50 km/h sur l'eau.
Ce record a été établi pour fêter le vingtième anniversaire de sa compagnie aérienne Virgin Atlantic. Toujours soucieux de mêler aventure et publicité, le patron de Virgin était habillé d'un smoking et d'un noeud papillon pour effectuer cette traversée. L'homme d'affaires ajoute ainsi une nouvelle ligne à son palmarès de records.
Sir Richard a entre autres établi en 1986 le record de vitesse pour la traversée de l'Atlantique en bateau, à bord de son Virgin Atlantic Challenger II. Il a été le premier avec l'aérostier suédois Pers Lindstrand à traverser l'océan Atlantique en ballon en 1987, puis l'océan Pacifique en 1991.
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| Posté le 14-06-2004 à 14:44:55
| Allégations de dopage concernant le cycliste Lance Armstrong
PARIS (AFP), le 14-06-2004
L'hebdomadaire l'Express publie dans son numéro daté du lundi 14 juin des extraits d'un livre intitulé "L.A confidentiel, les secrets de Lance Armstrong" qui formule des allégations de dopage à l'encontre du quintuple vainqueur du Tour de France cycliste.
Les auteurs de cet ouvrage, Pierre Ballester, ancien journaliste de l'Equipe, et David Walsh, journaliste au Sunday Times, citent notamment le témoignage d'une ancienne masseuse de l'US Postal, l'équipe d'Armstrong, Emma O'Reilly, qui a passé plus de trois ans au sein de la formation américaine, à partir de 1998.
Citée dans l'ouvrage, Emma O'Reilly affirme que Lance Armstrong l'a chargée, à l'issue du Tour des Pays-Bas 1998, de se débarrasser d'un sac de seringues vides qu'il avait utilisées pendant la course.
Toujours selon l'ex-masseuse de l'US Postal, le quintuple vainqueur du Tour lui aurait demandé, en mai 1999, lors d'un stage dans les Pyrénées, d'aller chercher en Espagne un flacon de comprimés qu'elle lui aurait ensuite remis sur un parking, dans la banlieue niçoise.
Lance Armstrong a déjà fait savoir, par courrier, à David Walsh, l'un des deux auteurs du livre, qu'il s'exposerait à des poursuites si l'ouvrage, qui n'a pas encore été publié, contenait effectivement des accusations de dopage.
Le livre rapporte également une conversation d'Emma O'Reilly avec Armstrong, lors du Critérium du Dauphiné Libéré 1999, au cours de laquelle le champion américain lui a révélé que son hématocrite n'était qu'à 41. "Mais qu'est ce que tu vas faire ?, lui aurait-elle demandé. Tout le monde dans le cyclisme sait qu'on ne peut pas gagner avec un taux de 41". "Emma, tu sais ce que je vais faire, je vais faire comme les autres", aurait répondu le champion américain. Une allusion implicite à l'usage de l'EPO au sein du peloton.
Armstrong, revenu à la compétition après un cancer des testicules, a toujours nié avoir fait usage de produits dopants. L'Américain a subi un contrôle positif aux corticoïdes lors du Tour de France 1999 mais a été blanchi par l'Union cycliste internationale (UCI), après avoir expliqué qu'il avait utilisé une pommade contenant une substance interdite pour soigner une blessure à la selle. Il n'avait toutefois pas mentionné l'usage de cette pommade sur le procès verbal du contrôle médical.
Le livre revient également sur les liens avérés entre le médecin italien Michele Ferrari, accusé d'avoir prescrit des produits interdits à des athlètes de haut niveau, et Lance Armstrong.
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| Posté le 14-06-2004 à 14:46:41
| Pelé, en larmes, 1er porteur de la flamme à Rio de Janeiro
RIO DE JANEIRO (AFP), le 13-06-2004
Le légendaire "roi Pelé", triple champion du monde de football, en larmes, a été le premier porteur de la flamme olympique, dimanche, au stade Maracana, pour son escale brésilienne.
Pelé a reçu la flamme sur la pelouse du stade mythique, où 2004 enfants des quartiers pauvres avaient formé les anneaux olympiques. Une foule immense a assisté à la transmission de la flamme du "sportif du siècle" à Marcio da Silva Santos, un enfant pris en charge par la fondation "Gol de Letra", créée par les anciens footballeurs Rai et Leonardo pour aider les jeunes en difficulté.
Très ému, le roi Pelé a rappelé qu'il n'avait jamais connu cet honneur bien qu'il ait débuté sa carrière à 16 ans.
La flamme était arrivée tôt (6H42 locales, 9H42 GMT) à la base aérienne de Galeao, en provenance du Cap (Afrique du Sud). C'est la première fois qu'elle voyage en Amérique du Sud, ce dont s'est félicité le président du comité olympique brésilien, Carlos Arthur Nuzman.
Pelé était le premier des 124 porteurs brésiliens qui devaient la transporter dans 55 rues de 19 quartiers de Rio sur un parcours de 49 km. Elle devait achever son périple brésilien sur la plage de Flamengo, dans la baie de Guanabara avec, comme dernier porteur, la star du Real Madrid (1re div. espagnole de football), Ronaldo (Luiz Nazario de Lima). Une immense fête devait ensuite clôturer la journée.
La flamme olympique, allumée le 25 mars à Athènes, a déjà traversé trois continents (Océanie, Asie, Afrique). Elle sera mardi à Mexico avant de traverser l'Amérique du nord et de revenir en Europe le 21 juin pour regagner la Grèce le 9 juillet après avoir visité 33 villes de 26 pays sur les cinq continents.
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