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|  Posté le 16-05-2004 à 11:36:13   
| Baseball:Après cinq manches, les Expos menaient 4 0 contre les DiamondBacks
Presse Canadienne
Après cinq manches au Bank One Ballpark, les Expos avaient pris une avance de 4-0 contre les Diamondbacks de l'Arizona grâce au vétéran Tony Batista, qui avait produit trois points.
Les Expos se sont inscrits à la marque dès la manche initiale. Après deux retraits, Orlando Cabrera a soutiré un but sur balles à Casey Daigle.
Brad Wilkerson a suivi avec au simple au centre et Batista y est d'allé d'un coup en flèche sur la clôture de gauche.
Ce double lui a permis de produire un huitième point, une production bien inférieure à ce qu'on attendait de lui. Mais sa soirée de travail n'était pas terminée.
Les Expos ont perdu une belle occasion d'ajouter à leur avance en quatrième. Des simples de Terrmel Sledge et de Matt Cepicky et un but sur balles au receveur Brian Schneider leur ont permis de remplir les buts après un seul retrait.
Mais les Diamondbacks ont mis fin à la manche sans dégâts quand Claudio Vargas s'est commis dans un double retrait.
Les Expos ont marqué trois autres fois en cinquième grâce à la complicité des trois mêmes compères qui avaient fabriqué le premier point en première.
Après deux retraits, Cabrera a obtenu un double, son 200e en carrière, et Wilkerson a soutiré un but sur balles.
Batista a suivi avec un dur coup le long de la ligne du troisième. Son deuxième double du match a produit deux points.
Puis, Sledge a fait 4-0 avec un triple dans la droite. Il est capable de courir celui-là. En fait, il accomplit beaucoup de bonnes choses sur le terrain. Il a du potentiel.
Son coup en flèche a chassé la recrue Daigle du monticule.
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| Posté le 16-05-2004 à 11:36:54
| Golf:Sergio Garcia devance Tiger Woods au Championnat Byron Nelson
Presse Canadienne
Sergio Garcia a arraché les devants à Tiger Woods et s'est forgé une avance de deux coups au Championnat de golf Byron Nelson, samedi, à la suite d'une ronde de 65, cinq coups sous la normale.
Sans victoire depuis deux ans au sein du circuit de la PGA en raison des modifications apportées à son élan, Garcia a eu des chances de birdie sur tous les trous du parcours TPC Las Colinas. Le jeune Espagnol a présentement en mains une séquence de 23 verts consécutifs atteints en coups règlementaires.
Il a été particulièrement brillant lors des normales trois, obtenant des birdies sur trois d'entre eux pour porter son total à 199 coups, 11 sous la normale.
"Je me suis placé en position de réussir beaucoup de birdies, a dit Garcia. Malheureusement, mon fer droit n'était pas à son mieux aujourd'hui. Mais la qualité globale de mon jeu, elle, est à la hauteur."
Jerry Kelly n'a pas commis de bogey lors de son parcours de 67 et il vient seul au deuxième rang, à 201.
Pour une deuxième semaine de suite, Woods a laissé une avance forgée après 36 trous lui filer entre les mains. Il a perdu les devants au deuxième trou,
à la suite d'un vert de trois roulés.
Woods n'a pu inscrire de birdie lors de ses sept derniers trous et il a joué 70. Il accuse trois coups de retard sur Garcia.
"En plein centre de l'allée et au milieu du vert", a dit Woods après sa ronde durant laquelle sa balle s'est souvent retrouvée dans l'herbe longue.
"C'est ce que je dois m'appliquer à faire demain. Je dois être dans l'allée et me donner de meilleures chances de birdies. Aujourd'hui, je n'ai rien fait qui vaille."
Woods a 202 coups à sa fiche, tout comme le Sud-Africain Deanne Pappas qui a joué 66.
Vijay Singh a remis une carte de 68, ce qui le place au sein groupe de golfeurs qui totalisent 203 coups. Mark O'Meara (70) et l'Anglais Luke Donald sont du nombre.
Mike Weir de Bright's Grove, en Ontario, a joué 69, ce qui le laisse à 207, trois coups sous la normale.
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| Posté le 16-05-2004 à 11:38:02
| Sept Québécois pourraient être les premiers Canadiens sur l'Everest en 2004
Presse Canadienne
Après des semaines d'inconfort passées à attendre des conditions météo favorables, sept Québécois répartis dans trois expéditions distinctes ont l'espoir d'être les premiers Canadiens à atteindre le sommet du mont Everest cette année.
Trois Québécois, membres d'une équipe canado-mexicaine, sont arrivés tôt, samedi matin, au dernier camp de la montagne avant le sommet. Ce secteur, appelé "zone de la mort", se situe à 8000 m au-dessus du niveau de la mer. Les alpinistes québécois ont encore 850 m à gravir vers le sommet.
"C'est un rêve qu'ils avaient depuis longtemps et ils veulent le réaliser", a déclaré, samedi, Georges Vaillancourt, de sa résidence dans la région de Montréal. M. Vaillancourt est le webmestre de l'équipe et le beau-père de l'alpiniste Martin Boileau.
Les grimpeurs poursuivaient leur parcours, sur la versant sud de l'Everest, et ils espéraient pouvoir atteindre le sommet de la montagne dimanche matin.
Agé de 39 ans, M. Boileau, ophtamologiste qui pratique aux hôpitaux de Sainte-Agathe et Saint-Jérôme, est en compagnie de Richard Cartier, âgé de 42 ans, lui aussi médecin à Saint-Jérôme, et du guide de montagne Tom Masterson, un Québécois maintenant établi au Colorado.
Les trois alpinistes souhaitaient être les premiers Canadiens à atteindre le plus haut sommet du monde sans l'aide de bonbonnes d'oxygène, mais samedi, M. Cartier était le seul à ne pas y recourir.
Dans quelques jours, une équipe dont font partie trois autres Québécois commencera son ascension de l'Everest par le flanc sud. Il s'agit de Claude St-Hilaire, âgé de 40 ans, de Mario Dutil, âgé de 45 ans, et de Maxime Jean, âgé de 35 ans. Un septième Québécois, Patrick Bernier, âgé de 28 ans, fait partie d'une autre équipe qui compte gravir le pic par le versant nord.
Habituellement, le mois de mai présente les conditions les plus favorables à l'ascension de l'Everest et les équipes d'alpinistes prolifèrent sur la montagne à cette période de l'année.
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| Posté le 16-05-2004 à 11:38:57
| Hockey:Keith Primeau mène les Flyers à la victoire dans le quatrième match
Presse Canadienne
A quoi pensaient les dirigeants de l'équipe canadienne lorsqu'ils ont décidé d'exclure Keith Primeau de la formation qui représentera le pays à la Coupe du monde ?
A la lumière de la série entre les Flyers de Philadelphie et le Lightning de Tampa Bay, cette décision est simplement incompréhensible. Primeau se veut l'âme et le coeur des Flyers. Grâce à lui, l'équipe de Ken Hitchcock se présentera au cinquième match de la finale de l'Association est à égalité (2-2) dans la série face au Lightning.
Samedi, au Wachovia Center, le capitaine des Flyers a offert une autre étincelante performance dans un gain de 3-2 du Philadelphie contre Tampa Bay.
Primeau a marqué un but en désavantage numérique, il a préparé celui de John LeClair et, en début de match, il a donné le ton à la rencontre en appliquant une percutante mise en échec à Nolan Pratt. Encore une fois, il aura été l'inspiration des Flyers.
Mark Recchi a été l'autre marqueur des vainqueurs. Fredrik Modin et Vincent Lecavalier ont déjoué Robert Esche, solide après sa contre-performance dans le troisième match.
Gagné au banc des pénalités
Modin a profité de l'absence de Simon Gagné pour inscrire le premier but du match à 12:43 de la première période. Le Suédois a saisi un retour après que Pavel Kubina eut frappé le poteau à la droite de Esche. Gagné s'était vu imposer une pénalité de quatre minutes pour avoir accidentellement atteint Cory Sarich au visage de son bâton.
Les Flyers sont parvenus à écouler le reste de la pénalité à Gagné, puis une autre à Esche. Un moment important pour les Flyers puisqu'ils ont réussi
à prendre les devants avant la fin de la période.
LeClair a créé l'égalité à 16:55 d'un violent tir de l'enclave. Primeau était parvenu à conserver le disque avant de le remettre à LeClair. Recchi a suivi à 18:20. L'ancien attaquant du Canadien a fait dévier un lancer de Mattias Timander que NicolaJi Khabibulin n'a jamais pu bloquer.
Primeau a concrétisé la victoire des Flyers à 11:50 du deuxième vingt durant une pénalité à son coéquipier Vladimir Malakhov. Primeau a profité de la chute de Dave Andreychuk à la ligne bleue des Flyers pour s'échapper à deux contre un. Patient, il a attendu à la dernière seconde avant de déjouer Khabibulin d'un tir du côté de la mitaine.
Pitkanen blessé
Joni Pitkanen a été blessé en deuxième et il n'a pu terminer le match. Le défenseur des Flyers a été pris en sandwich par Tim Taylor et Dimitry Afanasenkov le long de la clôture. Pitkanen aurait été frappé par un train que le choc n'aurait pas été plus violent.
En troisième période, le Lightning a obtenu quelques occasions de marquer. Lecavalier a réduit l'écart à un but d'un puissant tir à 19:27 durant un avantage numérique.
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| Posté le 16-05-2004 à 12:02:37
| Lyon quasi-champion, Paris nouveau dauphin
PARIS (AFP), le 15-05-2004
Lyon, malgré sa défaite à Paris face au PSG (1-0, samedi pour la 37e journée de L1 de football, est quasiment certain d'être sacré champion de France pour la troisième saison d'affilée alors que les Parisiens deviennent, à une journée de la fin, leurs nouveaux dauphins.
Le revers de Monaco (3e) à domicile face à Rennes (4-1) offre en effet le titre aux Lyonnais (76 pts), que, mathématiquement, ils fêteront dimanche 23 mai à Gerland face à Lille, à moins d'un invraisemblable retournement de situation.
De son côté, Paris (73 pts), a ravi la 2e place à Monaco et se trouve en position idéale pour décrocher un billet direct pour la C1, qui serait l'aboutissement inespéré d'une saison surprenante.
Le PSG ne pouvait rêver meilleure mise en action quand, dès la 6e minute, Pauleta ouvrait la marque en force à la réception d'un centre de Ljuboja dévié par Fiorèse. Pour le dernier match de la saison au Parc, le Portugais gratifiait le public parisien de son 17e but en L1.
Lyon était KO d'entrée, et manquait de céder de nouveau quand Mbami concluait une percée, relayée par Pauleta, d'une frappe du gauche de peu à côté (11e). Dans la foulée, un coup-franc de l'artilleur brésilien Juninho, mal capté par Alonzo, faisait frissonner le Parc.
La partie s'équilibrait, même si Sorin gâchait une belle offrande de Fiorèse avec un plat du pied trop mou (19e). Très discret jusqu'alors, Elber répliquait d'un tir cadré (22e). Mais le milieu lyonnais, pourtant fort de cinq éléments, peinait à trouver le tandem Elber-Luyindula, serré par une défense intraitable.
Convoqué pour la première fois en équipe de France, Mendy se signalait souvent sur la droite, empoisonnant Berthod avec ses débordements et un tir cadré (25e). Le PSG, avec un Mbami impressionnant d'engagement, retrouvait les vestiaires sans avoir été vraiment inquiété par les champions de France en titre.
Mais les Lyonnais entamaient la deuxième période tambour battant, avec trois occasions très nettes en moins de dix minutes. Sur la dernière (52e), Alonzo sauvait sur sa ligne une tête d'Essien, les Lyonnais pensant que le ballon était entré. Paris pliait mais ne rompait pas, adoptant la contre-attaque.
Juste entré en jeu, Govou manquait toutefois de concrétiser la domination lyonnaise en butant seul devant Alonzo (62e) pour son premier ballon. Puis Déhu se sacrifiait en se jetant sur une balle de but promise à Elber, servi par Govou (68e).
La fin de partie était entièrement lyonnaise, notamment par Juninho de la tête (90+3). Malgré la défaite, les joueurs lyonnais se précipitaient vers leur 2000 supporteurs pour célébrer un triplé historique.
. Samedi Auxerre - Nantes 2 - 0Guingamp - Nice 1 - 2Lens - Ajaccio 2 - 0Lille - Bastia 2 - 0Metz - Bordeaux 3 - 1Monaco - Rennes 1 - 4Montpellier - Strasbourg 1 - 2Paris SG - Lyon 1 - 0Sochaux - Le Mans 3 - 0Toulouse - Marseille 2 - 1 Classement: Pts J G N P bp bc Dif1. Lyon 76 37 23 7 7 61 26 +352. Paris SG 73 37 21 10 6 49 28 +213. Monaco 72 37 20 12 5 56 29 +274. Auxerre 64 37 19 7 11 59 33 +265. Sochaux 63 37 18 9 10 53 39 +146. Nantes 57 37 16 9 12 44 34 +107. Marseille 54 37 16 6 15 49 44 +58. Lens 53 37 15 8 14 34 45 -119. Lille 51 37 14 9 14 41 38 +310. Bordeaux 50 37 13 11 13 39 40 -111. Rennes 49 37 13 10 14 52 44 +812. Nice 49 37 11 16 10 41 38 +313. Metz 42 37 11 9 17 33 39 -614. Strasbourg 42 37 10 12 15 43 50 -715. Bastia 39 37 9 12 16 33 48 -1516. Toulouse 38 37 9 11 17 31 44 -1317. Guingamp 38 37 10 8 19 35 56 -2118. Ajaccio 37 37 9 10 18 30 54 -2419. Le Mans 35 37 8 11 18 32 57 -2520. Montpellier 31 37 8 7 22 41 70 -29
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| Posté le 16-05-2004 à 12:04:52
| Euro-2004 de judo: l'Espagne hisse ses couleurs
BUCAREST (AFP), le 15-05-2004
Avec quatre médailles, dont deux en or, l'Espagne, arrivée en Roumanie avec l'obligation de faire des résultats dans l'optique des quotas pour les jeux Olympiques d'Athènes (13-29 août), a hissé ses couleurs lors de la deuxième journée des Championnats d'Europe de judo, samedi à Bucarest.
Au total, avec les cinq premières catégories disputées vendredi, les Espagnols ont engrangé six podiums. Un très joli score qui donne envie notamment à des Français ou des Russes pour l'instant largement en-deçà de leurs résultats internationaux habituels.
D'abord, Sara Alvarez (-63 kg) a réussi à conserver son titre. C'est l'une des rares à être parvenue à cette performance avec sa coéquipière Isabel Fernandez (-57 kg), vendredi. Alvarez n'a que peu tremblé jusqu'en finale face à la Polonaise Aneta Szczepanska (ippon).
Au rayon des succès, son coéquipier Kioshi Uematsu (-73 kg) a grimpé sur la plus haute marche du podium en dominant l'Israélien Yoel Razvozov. En revanche, Cecilia Blanco (-70 kg) a dû se contenter de l'argent après avoir été battue par la régulière Néerlandaise, Edith Bosch (waza-ari).
Blanco a eu le mérite de sortir notamment le vainqueur du dernier Tournoi de Paris, la Française Amina Abdellatif, en demi-finale. Elle a ainsi contribué à la non qualification de la France pour les JO dans une catégorie, une première depuis 1996 et l'instauration des quotas.
Ricardo Echarte a arraché, lui, le bronze aux dépens du Britannique Euan Burton (-81 kg). Il a gagné sur décision en or (yuko) et complété une collection espagnole déjà bien garnie à l'issue d'un très bon parcours en repêchage qui suivait sa défaite contre le Grec Nikolaos Ikiadis, médaillé d'or.
Le Grec a d'ailleurs été le plus spectaculaire de la journée et montré le plus beau judo. Dans l'ordre, il a dominé le Lituanien Giedrius Karavacks (ippon) puis le Russe Dimitri Nossov (ippon) et pour finir l'Allemand Oleg Bischof (ippon).
Face à la moisson espagnole, les autres nations ont eu du mal à exister. Plusieurs ténors étaient absents et d'autres ont été très décevants à l'image du Russe Vitaly Makarov (-73 kg) ou de la Française Lucie Decosse (-63 kg). C'était d'ailleurs une bien mauvaise journée pour les Français.
"C'est comme ça", a lancé le directeur du haut niveau français, Stéphane Traineau, fataliste. Mais pas question pour lui de tirer un bilan définitif sur cette épreuve, généralement d'un très bon niveau car avec beaucoup d'athlètes décidés à se qualifier pour les Jeux.
D'autres, enfin, ont réussi à limiter la casse. C'est par exemple le cas de la Slovène Rasa Sraka qui après avoir perdu son titre continental en s'inclinant devant Abdellatif a réussi à se faufiler jusqu'à une belle médaille de bronze.
Un métal que la Roumanie n'a pas remporté après les deux titres de vendredi. Comme quoi, un jour ne ressemble jamais à un autre. C'est ce que veulent croire les Français, les Belges ou les Russes mais sûrement pas les Espagnols.
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| Posté le 16-05-2004 à 13:46:53
| Baseball - Vargas, Batista et Sledge procurent une victoire aux Expos en Arizona
Presse Canadienne | Le 16 mai 2004 - 07:23
Claudio Vargas a connu sa plus longue et sa plus fructueuse sortie de la saison samedi soir au Bank One Ballpark et il a conduit les Expos à une victoire de 5-0 contre les Diamondbacks de l'Arizona, leur deuxième victoire de suite après une série de quatre revers.
Le match a sonné le réveil en attaque du joueur de troisième but Tony Batista.
S'il n'avait rien à se reprocher en défensive, on attendait depuis longtemps qu'il mette l'épaule à la roue en attaque. Il l'a fait samedi avec deux doubles et il a produit trois points.
Les deux autres points ont été produits par le jeune Terrmel Sledge, qui fait tout très bien. Il a claqué un simple, un triple d'un point et son quatrième circuit de la saison.
A ses 16 derniers matches, Sledge a obtenu 21 coups sûrs en 48 présences pour une moyenne de ,438 avec trois doubles, un triple, quatre circuits et 10 points produits.
Le jeune homme s'acclimate très bien aux ligues majeures, semble-t-il, après un début de carrière plus difficile.
Vargas (3-2) se souvenait de son premier départ en Arizona le 5 août dernier. Il avait subi la défaite, étant chassé après deux manches à la suite d'une blessure au coude.
Samedi, ce n'est pas le même lanceur que les Diamondbacks ont affronté. Sûr de lui, en possession de ses moyens, il a espacé six coups sûrs en sept manches et plus de travail pour mériter la victoire.
Il a quitté après avoir cédé deux simples en huitième. Luis Ayala s'est ensuite montré intraitable et a fermé la porte.
La recrue Casey Daigle (2-2), qui en était à son septième départ dans les grandes ligues, aurait pu s'en tirer beaucoup mieux n'eut été de quelques tirs trop au goût de Tony Batista, qui a produit trois points grâce à deux doubles.
En quatre manches et deux tiers, le droitier de 23 ans, fiancé à Jennie Finch, membre de l'équipe olympique américaine de balle-molle, a donné sept coups sûrs et quatre buts sur balles. Ca faisait beaucoup de circulation sur les sentiers.
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| Posté le 17-05-2004 à 14:51:43
| Tennis: Mauresmo bat Capriati et remporte le tournoi de Rome
ROME (AFP), le 16-05-2004
Amélie Mauresmo, tête de série N.2, a enfin remporté le tournoi de tennis de Rome après avoir échoué à trois reprises en finale, en battant l'Américaine Jennifer Capriati (N.5) 3-6, 6-3, 7-6 (8/6) en finale dimanche.
Toujours placée depuis sa première apparition en 1999 dans cette épreuve du circuit féminin WTA, mais jamais gagnante, Mauresmo, finaliste en 2000, 2001 et 2003, aurait pu finir par se croire maudite.
"J'espère que cette 4e fois sera la bonne", avait-elle commenté samedi à l'issue de sa demi-finale victorieuse face à la Russe Vera Zvonareva. Son souhait a été exaucé au bout d'un match palpitant et indécis jusqu'au dernier coup de raquette.
Visiblement émue, Mauresmo indiquait à l'issue du match que personne n'avait mérité de perdre cette partie. "C'était très dur mais je suis tellement contente d'avoir enfin gagné ici. Cela aurait pu tourner dans un sens comme dans l'autre", commentait-elle. "J'avais mes chances mais Amélie a mérité sa victoire", lui répliquait Capriati.
Pour décrocher son deuxième tournoi de la saison, Mauresmo a en effet dû batailler ferme et écarter notamment une balle de match. Une physionomie de match à l'opposé de celle de la demi-finale du tournoi de Berlin il y a une semaine, où la Française de 24 ans avait expédié Capriati en deux sets (6-2, 6-0).
Après deux premiers sets partagés équitablement, basculant l'un et l'autre dans l'escarcelle de celle qui osait le plus, les deux joueuses se sont lancées têtes baissées dans une troisième manche à rebondissements.
C'est d'abord l'Américaine, 28 ans, qui prenait les devants, profitant d'une baisse de régime de Mauresmo au service pour mener 4-2. La Française se reprenait aussitôt pour revenir à hauteur.
La rencontre menaçait dès lors de basculer à tout moment. Capriati se procurait même une balle de match à 5-4. Mais Mauresmo sauvait et réussissait à atteindre le jeu décisif. Elle s'y procurait à son tour une première balle de match que Capriati écartait d'un passing en bout de course époustouflant.
Deux points plus loin, l'Américiane plaçait cette fois son coup droit hors des limites au terme d'un échange interminable.
"Je ne pouvais pas rêver mieux avant de disputer un Grand Chelem", souriait Mauresmo. Tous les esprits sont désormais tournés vers Roland-Garros.
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| | fredchoucas | | Administrateur | | | 8568 messages postés |
| Posté le 17-05-2004 à 14:52:29
| Tennis à Hambourg: Federer bat Coria en finale
HAMBOURG (AFP), le 16-05-2004
Le Suisse Roger Federer, tête de série N.1, a confirmé sa forme ascendante et pris date pour les Internationaux de France de Roland-Garros en surclassant l'Argentin Guillermo Coria (N.2) 4-6, 6-4, 6-2, 6-3 en finale du tournoi de tennis de Hambourg, 5e Masters Series de l'ATP doté de 2.425.500 euros.
Le N.1 mondial a mis, en 2 heures et 21 minutes, le point final à une semaine de suprématie au cours de laquelle il a battu quatre excellents joueurs de terre battue, dont l'Espagnol Carlos Moya, l'ex-N.1 mondial australien Lleyton Hewitt et enfin Coria, une référence sur la surface, qu'il rencontrait pour la première fois.
"C'est de la folie la façon dont je joue en ce moment!, s'enthousiasmait le vainqueur lors de la cérémonie. Je suis très très fier. Il y a quatre ans, lorsque j'ai joué pour la première fois à Hambourg, je pensais que je n'y ferais jamais rien. Aujourd'hui, j'y ai déjà gagné deux titres."
La finale a pourtant péniblement commencé pour le Suisse, victorieux du tournoi allemand en 2002. Après avoir perdu son service d'entrée, Federer, auteur de fautes inhabituelles, ne put que s'incliner dans le premier set.
Durant la deuxième manche, les deux joueurs perdaient leur engagement à tour de rôle, jusqu'à ce que Federer prenne le service adverse sur le dernier jeu, s'emparant alors du contrôle du match pour ne plus le lâcher. D'autant plus que Coria, gêné par une ampoule à un doigt de la main droite, n'était pas en pleine possession de ses moyens.
"J'ai bien vu qu'il avait un problème physique mais je me suis concentré sur mon jeu et j'ai essayé de rester agressif", confirmait le vainqueur.
Moins impérial dimanche que lors de certaines de ses apparitions - surtout face à Moya où il frôla la perfection - Federer n'en a pas moins confirmé son statut de favori pour les Internationaux de France qui débutent le 24 mai à Paris.
Ses divers adversaires n'ont d'ailleurs pas été avares de compliments à l'image de Lleyton Hewitt qui estimait après sa défaite que le Suisse serait "très difficile à battre pour qui que ce soit", à Hambourg comme à Paris.
"Les deux dernières années, je suis allé à Roland-Garros avec de grands espoirs et ça a été mentalement très difficile pour moi de perdre au premier tour. Cette année, je suis beaucoup plus détendu. Je sais qu'il faudra être très fort pour me battre", a expliqué le Bâlois qui empoche, à 22 ans, le 15e titre de sa carrière, le quatrième de l'année après ses victoires à l'Australian Open, Dubaï et Indian Wells.
Coria, lui, a échoué à poursuivre sa série de 31 victoires consécutives sur terre battue, un record inégalé depuis les 40 victoires de l'Autrichien Muster en 1996. Au delà de sa gêne au doigt, il n'a eu qu'une explication: "Roger était trop fort."
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| | fredchoucas | | Administrateur | | | 8568 messages postés |
| Posté le 17-05-2004 à 14:53:11
| Euro-2004 de natation: bilan historique pour la France
MADRID (AFP), le 17-05-2004
La France s'est régalée au festin madrilène des Championnats d'Europe de natation qui ont pris fin dimanche sur un bilan historique de 15 médailles, dont 5 d'or.
A moins de trois mois du rendez-vous olympique d'Athènes, ce bilan est évidemment encourageant même si cet Euro espagnol était dévalué par l'absence de nombreuses vedettes alors que l'Allemagne et la Grande-Bretagne présentaient en Castille des sélections indignes d'une compétition internationale.
"D'accord, cet Euro n'était pas le plus relevé. Mais ce qui est acquis est acquis et les absents ont toujours tort. Nous venons de vivre une semaine historique en assistant à la naissance d'une grande équipe pour le futur", se félicitait le président de la Fédération française (FFN) Francis Luyce.
Le directeur technique national, Claude Fauquet, insistait lui sur le nouvel esprit de ses nageurs.
"Quand j'avais pris la parole en début de semaine, j'avais dit aux nageurs que malgré tous nos progrès, il y avait une chose qu'on ne savait pas encore faire, c'est gagner. Maintenant, nous savons que nous en sommes capables", se réjouissait-il, avant de pointer les satisfactions individuelles.
Au premier rang desquelles se situe évidemment Laure Manaudou, la reine de la semaine avec ses deux médailles d'or individuelles (100 m dos et 400 m nage libre) et sa participation au relais victorieux sur 4x100 m 4 nages.
"Laure est une championne olympique en puissance. Dès cet été à Athènes, c'est possible", espérait Claude Fauquet.
Fauquet et Luyce n'avaient pas assez de superlatifs pour décrire la prestation d'ensemble des Bleus, dimanche au soir de sept jours d'euphorie. Mais ils tournaient aussi leur regard ambitieux vers Athènes.
"Maintenant, le piège serait de vouloir en faire trop. Attention à la surcharge de travail. Il reste onze semaines. Il faudra arriver aux JO reposé psychiquement et évidemment en bonne forme physique. Que les nageurs se méfient aussi de la pression médiatique", avertissait Fauquet.
"Je ne crois pourtant pas que nos nageurs vont s'emballer. Athènes, c'est un défi fantastique. Ca va être chaud. De quoi sommes nous capables? Personne ne le sait", pensait le DTN.
Reste que désormais les espoirs olympiques sont grands.
"Manaudou peut décrocher l'or. Malia Metella possède un potentiel énorme. Franck Esposito se présentera extrèmement détendu en Grèce. Et Solenne Figuès est au sommet de sa forme. L'espoir est là", poursuivait Claude Fauquet.
"Et puis il y a les relais. Nos six équipes à Madrid sont médaillées, c'est un signe de bonne santé. Nous sommes 2e au tableau des médailles (derrière l'Ukraine) mais aussi au classement par point (derrière la Russie). Il y a dans notre délégation une excellente mentalité, d'excellents comportements mais surtout des nageurs de qualité. L'Europe a remarqué la bonne santé de notre natation et l'enthousiasme des athlètes", insistait le président Luyce.
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| Posté le 18-05-2004 à 12:06:29
| Suspense sur les villes candidates aux JO 2012
LAUSANNE (Suisse) (AFP), le 18-05-2004
Le Comité international olympique (CIO) aura conservé jusqu'au bout le secret quant aux villes dont il retiendra la candidature pour accueillir les JO-2012 et, jusqu'à l'annonce attendue mardi 13h30 (11h30 GMT), les neufs prétendantes pouvaient nourrir à la fois espoir et crainte.
Un suspense qui, depuis l'ouverture lundi à Lausanne (Suisse) des travaux de la Commission exécutive du CIO, l'instance en charge de la décision, entretient les spéculations.
A en croire la majorité des pronostics, quatre métropoles - Paris, Londres, New York, Moscou - semblent assurées de rester en lice, trois - La Havane, Istanbul et Leipzig - seraient condamnées et deux - Madrid et Rio de Janeiro - seraient en balance.
Même si le Belge Jacques Rogge, président du CIO, a réaffirmé lundi que la Commission avait le droit de ne rejeter aucune des neuf requêtes, il a implicitement admis que cette hypothèse n'était pas la plus probable.
"Celles qui ne seront pas retenues ne devront pas se décourager mais plutôt préparer une candidature pour les Jeux de 2016 et au-delà", a-t-il averti.
Un message qui semble avoir déjà été reçu par La Havane, seule des neuf villes à ne pas avoir dépêché une délégation à Lausanne. Pas de renoncement perceptible en revanche chez les représentants de Leipzig ou d'Istanbul.
Paradoxalement, les favorites faisaient assaut de prudence en répétant que rien ne serait joué avant que la porte-parole du CIO Giselle Davies n'annonce mardi le nom des villes qui seront dès lors officiellement considérées comme candidates.
Commencera alors pour elles le plus dur: peaufiner leur dossier et leurs arguments jusqu'au vote du Congrès du CIO qui, le 6 juillet 2005 à Singapour, élira la ville hôte des JO-2012.
Ces Jeux de 2012 pourraient être les premiers depuis ceux de Berlin en 1936 à enregistrer l'élimination d'un un plusieurs sports du programme olympique.
Le CIO a en effet écarté, sauf scandale lié au dopage ou à l'éthique au sein d'une fédération, tout changement pour les Jeux de 2008 à Pékin. Les 28 sports qui enverront des représentants à Athènes seront encore présents dans la capitale chinoise.
Mais, pour 2012, le Congrès du CIO examinera en juillet 2005 s'il y a lieu d'exclure certains sports afin de pouvoir en inscrire d'autres car le président Rogge a été catégorique. "Pour qu'un sport fasse son entrée, il faut qu'au moins un autre sorte", a-t-il réaffirmé.
Les candidats les mieux placés pour apparaître en 2012 sont le squash, le rugby (à VII), le golf, le karaté et le patinage à roulettes. Les plus menacés d'éviction sont le taekwondo et le pentathlon moderne.
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| Posté le 18-05-2004 à 12:07:58
| JO-2004: menace sur la présence du football à Athènes
LAUSANNE (Suisse) (AFP), le 17-05-2004
La Fédération internationale de football (FIFA) a relancé lundi son épreuve de force avec l'Agence mondiale antidopage (AMA) dont elle se refuse à reconnaître l'autorité suprême même si cela devait remettre en cause la présence du football aux jeux Olympiques.
"M. Dick Pound, président de l'AMA, nous a informés samedi à Zurich qu'il ne pouvait pas faire d'exception dans le Code mondial antidopage", a annoncé M. Blatter à Paris, au terme du comité exécutif de la FIFA.
"Si nous n'arrivons pas à cet accord, nous lutterons seuls contre le dopage", a ajouté M. Blatter en prenant acte que cette attitude risquait de valoir à son sport une exclusion des Jeux, qui s'ouvrent le 13 août à Athènes, si la FIFA ne signe pas le Code avant cette date.
En juillet 2003, le CIO a en effet inscrit dans sa Charte le principe selon lequel seules les Fédérations ayant adopté le Code mondial antidopage seraient désormais autorisées à participer aux Jeux.
"Je suis certain que le monde entier ne comprendrait pas que le football ne soit pas présent aux JO alors que 400.000 billets ont déjà été vendus, a souligné M. Blatter. Mais, où est le problème? Il s'agit tout simplement de faire preuve d'un peu de flexibilité ou de bonne volonté."
La FIFA devait en principe signer le Code vendredi dans la capitale française en présence du président du Comité international olympique (CIO), Jacques Rogge. Mais, elle a fait savoir lundi qu'une signature ne serait possible que "lorsque l'AMA aurait approuvé par écrit les conditions élaborées en collaboration avec la FIFA".
Ces conditions portent essentiellement sur la caractère automatique de la sanction (deux ans de suspension) prévue par le Code en cas de contrôle antidopage positif d'un athlète ainsi que sur la possibilité pour l'AMA de saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS) lorsqu'elle juge une sanction inappropriée.
Interrogé au téléphone par l'AFP à Paris où il est arrivé dans la journée en provenance de Lausanne, M. Pound, qui avait rencontré M. Blatter samedi à Lausanne, s'est dit surpris. "Je suis sorti de cet entretien avec le sentiment qu'il avait pleinement compris, a-t-il expliqué à l'AFP. Le Code est à accepter tel quel ou pas du tout".
M. Blatter pourrait bénéficier dans son bras de fer du soutien au moins implicite des autres Fédérations internationales, très réticentes à accepter la tutelle de l'AMA en matière de sanctions.
A l'exception de la FIFA et de l'Union cycliste internationale (UCI), toutes les Fédérations de sports olympiques d'été ont déjà signé le Code mondial antidopage.
"Mais cela ne signifie pas que la discussion soit close", a précisé lundi le président de l'Association des fédérations de sports olympiques d'été (ASOIF), Denis Oswald, lors d'une conférence de presse à Lausanne, à l'issue d'une réunion de travail entre l'ASOIF et le CIO.
"La plupart des fédérations continuent de plaider en faveur d'une gestion individuelle des cas plutôt que pour une sanction unique, fixe et automatique", a-t-il ajouté.
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| Posté le 18-05-2004 à 12:13:35
| Roland-Garros: l'éternel retour de Martina Navratilova
PARIS (AFP), le 18-05-2004
L'Américaine d'origine tchèque Martina Navratilova, bénéficiant d'une invitation, fera un retour une fois de plus inattendu, à 47 ans, dans le simple dames des Internationaux de France de tennis qui commencent lundi.
Le 15 novembre 1994, elle perdit contre l'Argentine Gabriela Sabatini, 6-4, 6-2, dans le cadre du Master féminin, ce qui devait être le dernier match de sa carrière. Au cours d'une émouvante "Nuit Martina Navratilova", on lui offrit une grosse Harley Davidson et la bannière étoilée flotta sur le Madison Square Garden de New York.
Née le 18 octobre 1956, Navratilova, qui avait passé 21 de ses 38 ans sur le circuit, n'était déjà plus toute jeune. Huit mois plus tard, elle réapparaissait à Wimbledon, où elle gagnait le double mixte associée à son compatriote Jonathan Stark.
Elle n'avait plus remis les pieds sur un court en 1997, 1998 et 1999, allait sur ses 44 ans et semblait définitivement entrée dans la légende du tennis quand elle en ressortit au printemps 2000 pour un double dames à Madrid en compagnie de la Sud-Africaine Mariaan de Swardt.
Un pari avec son entraîneur en fit en 2002, à Eastbourne, la gagnante la plus âgée d'un simple sur le circuit de la WTA. A 45 ans et 8 mois, elle battit en effet la Russe Tatiana Panova, 22e joueuse mondiale, 6-1, 4-6, 6-2. Il y avait sept ans et demi, depuis ses adieux new yorkais, qu'elle n'avait pas joué en simple.
Au début de l'année 2003, elle gagna le double mixte des Internationaux d'Australie associée à l'Indien Leander Paes. Elle avait 46 ans et 2 mois et battit le record de la gagnante la plus âgée d'un titre dans un tournoi du Grand Chelem, détenu depuis 1962 par l'Américaine Margaret Osborne avec 44 ans et 4 mois.
Une nouvelle victoire avec Paes porta le nombre de ses titres à vingt à Wimbledon. Record de l'Américaine Billie Jean King égalé! On fit le compte: les quatre tournois du Grand Chelem confondus, cela faisait un total de 58 titres.
Navratilova aurait pu alors goûter un repos bien mérité. Au lieu de quoi on la retrouva à Moscou, en finale de la Fed Cup, où elle donna à l'équipe américaine son seul point contre la France, victorieuse 4-1. Associée à Lisa Raymond, elle remporta là en double sa 39e victoire dans le cadre de la Coupe Davis féminine, à laquelle elle n'avait plus participé depuis huit ans.
La revoici à Roland-Garros, dans un simple dames qu'elle gagna en 1982 et 1984 et qui vit son élimination au premier tour lors de sa dernière participation, en 1994. Plus âgée que jamais, son rêve de surpasser l'Australienne Margaret Court, titulaire de 62 titres dans les tournois du Grand Chelem, paraît désormais irréalisable.
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| Posté le 19-05-2004 à 11:10:38
| Le joueur de ligne offensive des Stampeders Fred Childress prend sa retraite
Presse Canadienne
Les Stampeders de Calgary ayant décidé de miser sur la jeunesse, le joueur de ligne offensive Fred Childress a annoncé sa retraite ce mardi.
"C'est un jour triste quand tu dois quitter quelque chose que tu adores vraiment", a déclaré Childress.
Six fois sélectionné sur les équipes d'étoiles de la section Ouest, Childress, qui est maintenant âgé de 37 ans, a appris il y a plusieurs mois qu'il ne faisait plus partie des plans d'avenir de l'équipe.
Le joueur de ligne de six pieds, cinq pouces et 310 livres a raté plus la moitié de la dernière saison à cause d'une blessure au bas du dos subie le 8 août contre les Lions de la Colombie-Britannique.
Childress a remporté deux fois la coupe Grey en huit saisons avec les Stampeders.
Il a amorcé sa carrière dans les rangs professionnels en 1989 à titre de choix de deuxième tour des Bengals de Cincinnati. Il a roulé sa bosse dans la NFL avec les Raiders de Los Angeles, les Patriots de la Nouvelle-Angleterre et les Browns de Cleveland.
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| Posté le 19-05-2004 à 11:11:28
| Jeux Olympiques - Les athlètes canadiens dévoilent l'uniforme officiel des Jeux d'Athènes
Presse Canadienne
Le rêve olympique se matérialise peu à peu pour les athlètes qui se rendront à Athènes.
« C'est comme un rêve, confie la joueuse de softball Kim Sarrazin. J'ai l'ai vraiment réalisé à 100 jours des Jeux. Le fait de porter l'uniforme officiel aujourd'hui me rapproche encore plus de ce rêve. »
L'uniforme rouge et blanc a été présenté au public, mardi, par neuf athlètes au cours d'une parade de mode agrémentée de musique grecque. « C'est joli, n'est-ce pas? », demande la judoka Marie-Hélène Chisholm à sa coéquipière Amy Cotton. Les deux amies avaient fière allure dans leurs habits canadiens avec une seule idée en tête: « Bien se battre aux Jeux! »
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| Posté le 19-05-2004 à 11:12:14
| Hockey - La finale de la coupe Stanley va débuter le mardi 25 mai
Presse Canadienne
C'est maintenant officiel, la finale de la coupe Stanley va débuter mardi prochain et se poursuivre à tous les deux jours à l'exception d'un jour de congé supplémentaire entre le quatrième et le cinquième match, qui va être apprécié puisque les déplacements seront longs.
La série débutera sur la patinoire de l'équipe qui a accumulé le plus de points au classement général, de sorte que seuls les Flames de Calgary (94 points) sont assurés de commencer à l'extérieur.
Le Lightning a présenté la meilleure fiche (106 points), suivi des Sharks de San José (104) et des Flyers de Philadelphie (101).
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| Posté le 19-05-2004 à 11:12:55
| Les propriétaires du baseball ne décideront pas du sort des Expos
Presse Canadienne
Les propriétaires du baseball majeur ne devraient pas régler le sort des Expos lors de leur réunion de deux jours qui commence mercredi à New York.
Le comité chargé d'étudier le transfert de la concession des Expos se réunira mercredi et tous les propriétaires seront sur place le lendemain. Ce n'est que dans quelques semaines qu'il pourrait y avoir des nouvelles au sujet des Expos quand le commissaire Bud Selig rencontrera les membres du comité.
Les villes de Las Vegas; Monterrey, au Mexique, Norfolk en Virginie, le Nord de la Virginie, Portland en Oregon, San Juan à Porto Rico et Washington tentent d'obtenir cette concession.
Au cours des dernières semaines, on a présenté des plans de financement d'un nouveau stade à Washington et Portland. Bob DuPuy, directeur général du baseball majeur, espère toujours annoncer dès la mi-juillet une décision définitive dans le cas des vagabonds du baseball.
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| Posté le 19-05-2004 à 11:13:33
| Baseball - Les Expos remportent une quatrième victoire de suite pour la première fois
Presse Canadienne
Les Expos ont remporté une quatrième victoire de suite pour la première fois de la saison en battant les Brewers de Milwaukee 3 à 2 au Stade Hiram Bithorn, mardi. Ils ont une longue pente à remonter et ce n'est rien pour crier trop fort mais c'est une séquence encourageante.
Seulement 8 387 personnes ont assisté à la rencontre, la plus petite foule en deux ans à Porto Rico.
Zach Day (3-4), qui avait subi la défaite à ses trois derniers départs, a alloué huit coups sûrs, trois buts sur balles, un intentionnel, et un point en six manches pour renouer avec la victoire.
Day a éprouvé de la difficulté à la première quand il a accordé le premier point mais Juan Rivera l'a bien appuyé en harponnant un coureur au marbre et il s'est ensuite bien débrouillé, obtenant, entre autres, deux roulants à double-jeu.
Rivera a produit le premier point des Expos à l'aide d'un simple à la deuxième, puis Brad Wilkerson et Brian Schneider ont réussi des simples d'un point contre Doug Davis, à la quatrième.
A son premier match depuis le 14 avril, Carl Everett a réussi un simple en trois présences. Il a joué au champ gauche plutôt qu'au champ droit tel qu'il avait été annoncé et il a été remplacé par Terrmel Sledge lors d'un double substitution au début de la septième.
Davis (3-3), un gaucher, a travaillé six manches. Il a accordé trois points et sept coups sûrs.
Tirant de l'arrière 3-1, les Brewers ont inscrit un point contre Chad Cordero à la septième à l'aide d'un simple de Keith Ginter.
Cordero a travaillé deux manches, allouant trois coups sûrs, puis Rocky Biddle s'est amené à la neuvième pour enregistrer son neuvième sauvetage.
Lyle Overbay, des Brewers, un joueur de premier but qui a été acquis des Diamondbacks de l'Arizona, a frappé en lieu sûr dans un 18e match de suite.
Les Brewers ont réussi 12 coups sûrs et les Expos, sept seulement.
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| Posté le 19-05-2004 à 11:14:15
| Le baseball majeur en bref...
Presse Canadienne | Le 19 mai 2004 - 00:01
À Philadelphie, Mike Lieberthal a brisé l'égalité avec un circuit et Pat Burrell a claqué la longue balle deux fois quand les Phillies de Philadelphie ont battu les Dodgers de Los Angeles 8 à 7. Bobby Abreu et Jim Thome ont aussi bouclé le circuit pour les Phillies, qui ont remporté huit de leurs 11 derniers matches pour s'approcher à un demi match des Marlins de la Floride au premier rang de la section est.
Abreu, Burrell et Thome ont entrepris la quatrième manche avec des circuits consécutifs. C'était la deuxième fois que le trio réussissait un tel exploit cette saison. Jason Grabowski a claqué deux circuits et Adrian Beltre en a obtenu un autre de trois points pour les Dodgers, qui ont pourtant subi cinq victoires de suite.
Vicente Padilla a remporté sa troisième victoire de suite. Guillermo Mota a été le perdant.
À Chicago, Jason Schmidt n'a donné qu'un coup sûr et a retiré 13 frappeurs sur des prises tandis que Barry Bonds a procuré aux Giants de San Francisco l'étincelle qu'il fallait, mardi, en route vers une victoire de 1 à 0 contre les Cubs de Chicago. Schmidt n'a alloué qu'un simple à l'avant-champ à Michael Barrett en cinquième manche, ainsi qu'un seul but sur balles, si bien qu'il a pu récolter le sixième blanchissage de sa carrière, ainsi qu'un 14e match complet.
Schmidt a aussi égalé son sommet personnel pour le nombre de retraits au bâton. C'était son premier match complet depuis le 30 juin 2003, contre les Cardinals de St. Louis, et son premier blanchissage depuis le 19 juin 2003, à Los Angeles contre les Dodgers.
Bonds, de retour dans la formation après avoir raté la série contre les Pirates de Pittsburgh à cause de spasmes au dos, a marqué le seul point. Pedro Feliz, qui amorçait un premier match au poste d'arrêt-court, a cogné un simple après deux retraits en quatrième pour empocher un 23e point produit, un sommet d'équipe cette saison. Matt Clement a subi des revers consécutifs pour la première fois cette saison, même s'il n'a alloué que cinq coups sûrs et deux buts sur balles en huit manches.
À Arlington, Carlos Beltran et Matt Stairs ont tous deux claqué des circuits de trois points et les Royals de Kansas City ont comblé un déficit de cinq points quand ils ont battu les Rangers du Texas 7 à 6. Mike Sweeney a aussi bouclé le circuit pour les Royals, qui ont mis fin à une série de trois défaites en remportant leur quatrième victoire seulement à l'étranger.
Angel Berroa et Benito Santiago ont récolté trois coups sûrs chacun pour les Royals, qui en ont totalisé 16, un sommet cette saison. Scott Sullivan a été le gagnant, même s'il a accordé un circuit à Herbert Perry. Ken Dickey a été le perdant.
À Cincinnati, Jeromy Burnitz et Matt Holliday ont frappé des circuits consécutifs en deuxième manche puis encore en septième, mardi, pour mener les Rockies du Colorado vers un gain de 8 à 3 contre les Reds de Cincinnati. Les deux circuits en solo de Burnitz lui en donnent 12 depuis le début de la saison et quatre en quatre matchs au Great American Ball Park.
Les Rockies ont totalisé 14 coups sûrs, dont sept pour plus d'un but, aux dépens de Cory Lidle et trois releveurs. Ils ont ainsi signé une troisième victoire de suite pour la deuxième fois seulement cette saison. Shawn Estes a laissé les Reds remplir les buts avec aucun retrait en première manche. Il a donné deux points à la suite de roulants, mais le gaucher s'est ensuite retrouvé. Il a finalement alloué quatre coups sûrs en sept manches pour récolter un quatrième gain à ses cinq plus récentes décisions.
À Atlanta, Randy Johnson est devenu le lanceur le plus âgé de l'histoire du baseball majeur à réussir un match parfait, mardi, alors qu'il a retiré chacun des 27 frappeurs à lui faire face en route vers une victoire de 2-0 des Diamondbacks de l'Arizona contre les Braves d'Atlanta.
Le gaucher de 40 ans a retiré 13 frappeurs sur des prises et n'a donné un compte de trois balles qu'à un frappeur, Johnny Estrada, en deuxième manche. Ce dernier a frappé trois balles fausses de suite avec un compte de 3-2 avant d'être retiré sur élan.
Il s'agissait du 17e match parfait dans les annales du baseball majeur, le 15e depuis le début de l'ère moderne en 1900 et le premier depuis que David Cone a réussi l'exploit avec les Yankees de New York aux dépens des Expos de Montréal, le 18 juillet 1999. Jusqu'ici, c'était Cy Young, à l'âge de 37 ans, qui avait été l'artilleur le plus âgé à avoir réussi un match parfait. Il l'avait complété en 1904.
C'était la deuxième fois de sa carrière que Johnson ne cédait aucun coup sûr au cours d'une rencontre. Il l'avait d'abord fait le 2 juin 1990, au profit des Mariners de Seattle contre les Tigers de Detroit.
À Miami, Lance Berkman a bouclé le circuit et a obtenu quatre des 15 coups sûrs des Astros de Houston mardi quand ils ont battu les Marlins de la Floride 9 à 2. Brad Ausmus a lui aussi bouclé le circuit et a produit trois points pour aider Wade Miller à remporter la victoire. Dontrelle Willis, qui avait effectué 91 tirs pour compléter son matrch le 12 mai dernier contre les Astros, a effectué 96 tirs en quatre manches mardi. Il a été chassé après avoir cédé 11 coups sûrs et quatre buts sur balles et conq points. Les Marlins ont perdu pour la troisième fois en quatre matches.
À Cleveland, Jon Garland a été solide pendant sept manches et a permis aux White Sox de Chicago de disposer des Indians de Cleveland 4 à 2. Garland n'a permis qu'un seul point à la suite de cinq coups sûrs, mettant fin à la série de cinq victoires des Indians.
Paul Konerko a obtenu un simple de deux points dans une poussée de quatre points des White Sox en quatrième contre le perdant Chad Durbin.
À Toronto, Miguel Batista, Jason Frasor et Terry Adams n'ont permis que cinq coups sûrs et les Blue Jays de Toronto ont infligé à Johan Santana son premier revers en 20 départs quand ils ont battu les Twins du Minnesota 5-3. Reed Johnson et Carlos Delgado ont produit deux points chacun pour les Blues Jays et Adams s'est sorti d'un mauvais pas en neuvième.
Santana a perdu pour la première fois depuis le 23 juillet 2003 à Kansas City. Il avait remporté 10 victoires de suite depuis lors. Le gaucher de 25 ans a cédé cinq points, dont quatre mérités, en cinq manches et un tiers. Batista a remporté sa deuxième victoire de suite.
À St Petersburg, Tim Wakefield n'a donné qu'un point en sept manches et Mark Bellhorn a cogné un circuit de trois points ce mardi, alors que les Red Sox de Boston ont vaincu les Devil Rays de Tampa Bay 7 à 3. Wakefield n'a alloué que trois coups sûrs et deux buts sur balles à son premier départ depuis la naissance de son fils, Trevor Stephen, samedi dernier. Le droitier a une fiche à vie de 9-1 contre Tampa Bay.
Bellhorn a frappé la longue balle au cours d'une poussée de cinq points en septième. Mark Hendrickson (3-3) a concédé six points et huit coups sûrs en plus de six manches. Tino Martinez a produit deux points pour les Devil Rays.
À New York, Kazuo Matsui a égalé les chances avec un simple après deux retraits en neuvième, même si on lui a fracassé le bâton dans les mains, et Cliff Floyd a suivi avec un autre simple d'un point qui mettait fin au match quand les Mets de New York ont battu les Cardinals de St. Louis 5 à 4. Tirant de l'arrière 4-3, les Mets ont profité pleinement du fait que Jason Isringhausen a donné un but sur balles à Mike Cameron pour commencer la manche. Un amorti-sacrifice l'a poussé au deuxième et Karim Garcia a lui aussi soutiré un but sur balles.
Eric Valent a été retiré sur des prises, mais Matsui y est allé d'un ballon à l'entre-champ droit pour égaler les chances. Floyd, qui avait frappé un circuit de deux points en sixième, a suivi avec un simple, son troisième coup sûr du match. Le releveur Ricky Bottalico a lancé pendant deux manches pour mériter sa première victoire dans les grandes ligues depuis 2001.
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| Posté le 19-05-2004 à 13:22:30
| Coupe de l'UEFA: Marseille affronte Valence en finale
GOETEBORG (AFP), le 19-05-2004
A l'issue d'une saison totalement ébouriffante, l'Olympique de Marseille joue mercredi à Goeteborg la deuxième finale de la Coupe de l'UEFA de football de son histoire contre le club espagnol de Valence, estampillé favori pour l'ensemble de son oeuvre récente.
L'attaquant vedette de l'OM Didier Drogba, un temps incertain en raison d'un écrasement musculaire à la hanche, pourra tenir sa place dans le onze olympien.
"Il jouera, ça va très bien. On a mis du temps à le soigner, mais il sera présent et on espère qu'il nous apportera le maximum de chances. S'il est aligné, c'est qu'il sera à 100%", a déclaré Anigo devant la presse.
Pour surprenante qu'elle soit, la présence de Marseille aux agapes finales de Suède ne doit au fond rien au hasard des choses. Car la manière dont l'OM a privé de dessert des convives du calibre de Liverpool, l'Inter Milan ou Newcastle, qui auraient tous fait de beaux vainqueurs sur le papier, a forcé le respect.
Comme le dit le président du club français, Christophe Bouchet, ces éliminations sont "excessivement logiques". Il ne s'est trouvé personne en effet pour en contester de bonne foi la légitimité. Seul peut-être le manageur général de Liverpool Gérard Houllier, mauvais perdant, se trompa de cible en stigmatisant l'arbitrage du 8e de finale retour au stade Vélodrome.
C'est que, en adepte de l'école buissonnière du Championnat où ses contre-performances successives ont fini par plomber toutes ses ambitions (même revisitées à la baisse), l'OM a trouvé sa véritable respiration sur le terrain européen. L'élargissement européen comme salut.
Mais voilà, avec la chute progressive en Championnat (7e, à 18 points de la 3e place), seule la victoire face à Valence permet désormais à la formation de José Anigo de retrouver l'UEFA la saison prochaine. Au-delà de la quête du trophée, sur lequel lorgnait José Anigo avec des yeux d'enfant mardi lors des présentations d'avant-match, le jeu devient vraiment enjeu. L'OM saura-t-il gérer l'indéniable pression liée à cet impératif ?
"De la souffrance naît le bonheur", répond le coach marseillais. L'histoire de cet homme-là est au demeurant formidable: il entraînait encore les quasi-ados de l'équipe de CFA en janvier, avant d'être nommé patron après le limogeage d'Alain Perrin en janvier. Sûr qu'un triomphe à Goeteborg aurait de l'allure pour ce Marseillais, dont les parents espagnols avaient fui Franco en 1936.
Ce serait aussi un opportun lifting de la vitrine aux trophées du club. Depuis un anecdotique titre de champion de D2 en 1995, "succédant" au fait d'armes du 26 mai 1993 de la victoire en Ligue des champions, la plus populaire des équipes françaises (avec Saint-Etienne) ne l'a pas rouverte.
Valence doit plonger bien plus loin dans ses archives pour trouver trace de sacre continental. On y remonterait une Coupe des coupes, en 1980, et une supercoupe d'Europe la même année. Et basta !
Mais derrière ce palmarès maigrelet, se cache une constance de résultats au plus haut niveau, depuis le tournant du siècle, qui force le respect.
Tout juste sacré champion d'Espagne, pour la deuxième fois depuis 2002, le club espagnol joue aussi mercredi sa troisième finale européenne en quatre ans. Dont deux en Ligue des champions, en 2000 (nettement battu par le Real Madrid 3-0) et 2001 (défait aux tirs aux buts par le Bayern Munich, qui ne lui était pas foncièrement supérieur). Aucun club européen ne présente de tels états de services sur la même période.
Il s'agit donc, pour les Espagnols, de finir le travail, de se défaire de l'étiquette de maudit d'Europe qui commence à leur coller au maillot. "C'est une année historique pour Valence. Cette finale est essentielle pour l'histoire du club", affirme ainsi le milieu espagnol David Albelda.
Histoire aussi de combler leur déficit de prestige international face aux présumés grands d'Espagne, le FC Barcelone et le Real Madrid, que Valence regarde pourtant désormais droit dans les yeux.
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| Posté le 19-05-2004 à 13:24:09
| Football au JO-2004: un terrain d'entente a été trouvé
PARIS (AFP), le 19-05-2004
Un terrain d'entente, sur la base d'une déclaration commune, a été trouvé entre la Fédération internationale de football (FIFA) et l'Agence mondiale antidopage (AMA) sur la signature du Code mondial antidopage, apprend-on mercredi à Paris de sources proches du dossier.
"Nous sommes sortis de l'impasse", précise-t-on de même source et la signature du Code devrait intervenir vendredi à Paris, comme cela était initialement prévu, lors du 54e congrès de la FIFA.
"Une déclaration commune, en passe d'être finalisée, devrait permettre à la FIFA de signer le Code", confirme-t-on à la FIFA où l'on se déclare "optimiste". "En fait, souligne-t-on à la FIFA, ce n'est pas le fond qui est discuté mais la forme."
Joseph Blatter, président de la FIFA, et Dick Pound, président de l'AMA s'étaient rencontrés une première fois mardi à Paris mais la finalisation des négociations avait buté sur un point de détail.
M. Pound avait en effet insisté sur le fait que la FIFA devait accepter le Code "tel quel ou pas du tout" alors que la FIFA estimait qu'une signature ne serait possible que "lorsque l'AMA aurait approuvé par écrit les conditions élaborées en collaboration avec la FIFA".
En fait, précise-t-on de source proche du dossier, ces négociations achoppaient sur un problème de principe, M. Pound ne voulant pas signer un "accord d'exception" pouvant ouvrir une brèche dans laquelle se seraient engouffrés toutes les autres fédérations signataires.
Le document négocié, actuellement en cours de traduction, détaille la manière de procéder afin d'arriver à une déclaration commune, vendredi à Paris, en présence de Jacques Rogge, le président du Comité international olympique (CIO).
La FIFA est, avec l'Union cycliste internationale (UCI), l'une des deux fédérations à ne pas avoir encore signé le Code mondial antidopage, une condition imposée par le CIO pour pouvoir participer aux jeux Olympiques.
Les négociations entre la FIFA et l'AMA durent depuis quinze mois.
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| Posté le 19-05-2004 à 13:25:09
| Roland-Garros: la terre promise en vue pour Roger Federer
PARIS (AFP), le 19-05-2004
La terre promise de Roland-Garros est en vue pour le Suisse Roger Federer, vainqueur du Masters Serie de Hambourg une semaine avant les Internationaux de France de tennis, qui commencent lundi.
A son tableau de chasse, le N.1 mondial a inscrit quelques seigneurs de la terre battue, comme l'Argentin Gaston Gaudio, l'Equatorien Nicolas Lapentti et l'Espagnol Carlos Moya, récent vainqueur à Rome, avant de ridiculiser son prédécesseur au sommet de la hiérarchie mondiale, l'Australien Lleyton Hewitt, en demi-finale. Puis il a mis un terme en finale à la série de 31 victoires sur terre battue de l'Argentin Guillermo Coria, dernier vainqueur à Monte Carlo.
Deux ans auparavant, il avait déjà triomphé à Hambourg en battant Lapentti, le Roumain Adrian Voinea, le Brésilien Gustavo Kuerten et le Russe Marat Safin au cours d'une finale d'anthologie. Ce qui ne l'avait pas empêché de se faire sortir en trois sets par le Marocain Hicham Arazi, au premier tour, à Roland-Garros.
"Je m'étais mis beaucoup trop la pression", reconnaît-il aujourd'hui. Après une deuxième élimination au premier tour, l'an dernier, face au Péruvien Luis Horna, 88e mondial, on a eu tôt fait de tracer le parallèle avec l'Américain Pete Sampras, pour qui Roland-Garros fut toujours un tournoi maudit.
Pourtant, chacun s'accorde à reconnaître que de tous les N.1 mondiaux plus ou moins éphémères qui ont succédé au grand Sampras, Federer est celui qui a le jeu le plus complet. Le jeu simple, à la fois relâché et puissant, d'un garçon exemplaire doublé d'un génie du tennis capable de briller sur toutes les surfaces.
Il n'avait pas encore tout à fait 20 ans et en était à sa troisième participation aux Internationaux de France quand il parvint en quarts de finale en 2001. "C'est la preuve que je peux et que je sais jouer sur terre battue", commentera-t-il après s'être incliné seulement devant l'Espagnol Alex Corretja.
Dans la première biographie qu'il vient de lui consacrer (Editions Favre, Lausanne), Roger Jaunin, journaliste au Matin, rapporte combien les deux échecs au premier tour qui ont suivi l'ont marqué. "Si j'ai déjà réalisé beaucoup de progrès et quelques petites choses intéressantes sur terre battue, je suis encore loin du compte", a reconnu Federer.
Comme tous les grands champions, le héros du tennis suisse apprend très vite. Il n'a pas apprécié les commentaires qui ont accompagné ses deux dernières sorties parisiennes et ne l'a pas caché: "Certains écrits m'ont fait du mal. J'en est été blessé". Enfin, depuis l'année dernière, il a pris une dimension phénoménale et l'on peut s'attendre à une belle réaction d'orgueil.
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| Posté le 20-05-2004 à 11:19:14
| Hockey - Les Flames se qualifient pour la finale de la Coupe Stanley
AgenceNews
Pour la première fois depuis 1994, une équipe canadienne accédera à la finale de la coupe Stanley. Grâce à des buts de Jarome Iginla et Martin Gélinas, les hommes de Darryl Sutter ont vaincu les Sharks de San Jose par la marque 2-1, mercredi soir, pour ainsi remporter un premier match à domicile dans cette série en trois tentatives.
Les Flames remportent donc cette série finale de l'Association de l'Ouest en six parties.
La formation albertaine, qui a récolté ses trois victoires précédents sur la patinoire des Sharks, accède donc à la finale de la coupe Stanley pour la troisième fois de son histoire et pour la première fois depuis 1989. Elle est aussi devenue la première équipe canadienne a accédé à la finale depuis les Canucks de Vancouver.
Alyn McCauley a inscrit l'unique filet des Sharks qui tiraient alors de l'arrière 2-0.
Miikka Kiprusoff a effectué 18 arrêts devant la cage des Flames.
Evgeni Banokov a quant stoppé 26 rondelles.
En finale, qui débutera mardi prochain, les Flames affronteront la formation gagnant de la finale de l'Est qui oppose le Lightning de Tampa Bay aux Flyers de Philadelphie. Le Lightning domine la série 3-2.
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| Posté le 20-05-2004 à 11:19:48
| Baseball - Les Expos mettent fin à leur séquence de quatre victoires
Presse Canadienne
La pluie était au rendez-vous ce mercredi et ce fut une longue soirée qui s'est terminée par une défaite des Expos.
Même s'ils ont inscrit deux points à la première, les Expos se sont inclinés 6 à 3 contre les Brewers de Milwaukee, ce qui a mis fin à leur séquence de quatre victoires.
On a annoncé une assistance de 8 157 personnes mais il n'y avait environ que 3 000 personnes et il ne restait que quelques centaines d'irréductibles à la fin du match.
Il a plu à boire debout pendant environ deux heures au début de la soirée et le match a débuté avec une heure de retard. Il a ensuite été interrompu pendant 43 minutes au milieu de la cinquième alors que les Expos tiraient de l'arrière 4-2 à la suite d'une poussée de quatre points contre Sun-woo Kim, à la quatrième.
La pluie a cessé pendant plus d'une demi-heure pour permettre de commencer le match mais elle s'est remise à tomber à la première alors que les Expos ont inscrit deux points contre Victor Santos.
Kim affrontait les Brewers pour la deuxième fois en six jours et il a encore été malmené alors qu'il a semblé incommodé par la pluie. Après avoir cédé sept points en quatre manches et deux tiers à Milwaukee, il a concédé quatre points en trois manches et un tiers.
Kim a bien lancé lors des trois premières manches mais il a été chassé à la quatrième. Il a accordé un triple de trois points à Bill Hall et un simple d'un point à Ben Grieve.
Santos a travaillé cinq manches. Il a alloué deux points et six coups sûrs avant de céder le monticule à Brooks Kieschnick, qui a accordé un circuit en solo à Brian Schneider, à la septième.
Avant la rencontre, les Brewers ont perdu les services de Wes Helms, qui s'est blessé dans le corridor menant au vestiaire. De l'eau s'était répandue à l'intérieur et Helms a glissé sur le tapis de caoutchouc. Il a subi une entorse au genou droit et il doit retourner à Milwaukee jeudi.
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| Posté le 20-05-2004 à 11:20:26
| Coupe Memorial - Les Olympiques s'amusent avec le Storm
Presse Canadienne
Les Olympiques ont non seulement sorti le Storm de Guelph du tournoi de la coupe Memorial, en signant ce mercredi une victoire sans appel de 7 à 2, les champions de la LHJMQ ont aussi amélioré leurs chances d'accéder directement à la finale de dimanche.
Ce qu'il faut savoir, c'est que les Olympiques (2-1) ont maintenant besoin d'un gain des Tigers de Medicine Hat (1-1) aux dépens des Rockets de Kelowna (2-0), jeudi. Un gain par un écart de deux, trois ou quatre buts ou encore par une marque élevée de 3-2, 4-3 ou plus.
Ce qu'il faut aussi savoir, c'est que les Rockets se retrouvent dans la meilleure position. Ils se qualifieront évidemment pour le match de championnat s'ils l'emportent, mais même s'ils perdent 1-0 ou 2-1, selon le système de départage fort compliqué de la LCH.
Les Tigers, eux, devront gagner par un gros score, 5-0 ou mieux, afin de passer.
Peu importe l'équipe qui se retrouvera en finale, les deux autres joueront la demi-finale, samedi.
Quant au Storm (0-3), il retourne bredouille chez lui. L'équipe de Guelph avait été la dernière de l'Ontario, en 1996, à quitter le tournoi avec une fiche de 0-3.
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